Mariage sous tension
à me concentrer sur l'émission. Mon esprit vagabondait ailleurs, repensant à cette m
ortir de mes pensées. Je décrochai sa
op ?" demanda une voix fami
jetant un coup d'œil rapide à
u de temps avant de décoller,"
vas rester absent combien de temps déjà ?" lui
ondit-il en riant doucement. "Et toi, qu'est-c
op... J'imagine que je vais traîner avec
.." dit-il sur un ton qui se voulait sérieux, m
tion que je suive un type qui
léphone encore dans la main, le regard perdu dans le vide. Pourquoi cette conversation m
un paquet de chips à la main, me tirant brusquement de mes pensées. Il
u ciel. "T'as regar
épaules. "No
l restait des haricots que j'avais préparés plus tôt, je revins au salon. Mon frère dévora
ait un peu plus vite, et je ne pouvais m'empêcher de penser à Fabian... et à
ulais juste sortir un moment, être seul avec mes pensées, mais ça ne semblait jamais se passer comme prévu dans ce
e que tu veux, Sandra ? » Je croisai les bras, déjà fatigué de cette conversation avan
s'approchant, une espèce d
inquiéter. » Ma voix débordait de sarcas
Puis il se retourna comme s'il allait partir, mais bien sûr, il ne le fit pas. Il se retourn
uoi il demandait ça, maintenant ? Je fronçai
in sur les lèvres. « Donc, il a ton numéro. Il
u'il cherchait. Pourquoi ça l'intéressait tant
uant la porte derrière moi. Mon frère, assis sur le canapé devant la télé
e réfléchir à cette histoire de numéro. Est-ce que Fabian m'appréciait vraiment ? Je haussai l
un moment. « T'as l'
hocher la tête. « Ouais, ça va. J
tomber sur le lit. Mon esprit retournait encore et encore à cette conversation avec Sandra. Fabian... Il était
avant son arrivée. Je soupirai et posai l'appareil sur la table d
ion avec quelqu'un. J'écoutai, essayant de saisir des bribes de la conversation. « Fabian, mon frère, t'es en f
lon, un téléphone à la main. Il parlait à Fabian, en vidéo. Mon c
s le mariage ? » demanda mon fr
ais entendre la fatigue dans la voix de Fabian à travers le téléphone. Puis, soudain, une autre
gèrement pour voir l'écran et vis une fille brune se t
nonne, non ? » me lança-t-il en me regardant du coin de l'œil. Je haussa
e. Mais la vérité, c'est que
gorgée de lait directement de la bouteille, tentant de chasser cette colère irrationnelle qui me rongeait. Pourquo
sine, mon frère cria depuis l'
t déjeuner sur le banc, tu veux venir ? » demanda-t-il avec une innocence qui me donnait
l me lança un regard fatigué. « Fran
r. Peut-être qu'il avait raison... ou peut-être que tou
en voyant son nom s'afficher sur l'écran. Je décrochai, mais ma voix resta bl
s, le