Mariage sous tension
pensées, tourné vers Eric, jusqu'à ce que sa question me tire de ma rêverie. « Hmm ? » murmur
u racontes ? » Elle détourna les yeux, visiblement mal à l'ais
fâcher encore une fois. Je t'ai dit
tends, qu'est-ce que tu veux dire par là ? » mes sourcils se fronçant davantag
champ de vision. Je regardai Cadi avec sus
t-elle, en évitant soigneusement mon r
it un taxi, non ?! » Cadi se mordilla la lèvre, incapable de me
ste vif de la main. « Le
ais-je me comporter après tout ce que Cadi venait de m
eta un dernier regard avant de se glisse
dire quelque chose. Mais avant que je puisse parler, un k
, irritée. Mais Cadi, quant à elle, semblait de plus en plus nerveuse. Elle so
Fabian va me ramener. » dis-je rapidement. Paco hocha la tête, visibleme
e me retournai vers Fabian. Il avait ce sourire moqueur qu'il ne quittait j
« Allons-y, Fabian, j'en ai assez pour aujourd'hui. » Il
il démarrait. « On devrait aller manger quelque chose. » dit-il t
» répliqua-t-
gré moi. Il jeta un bref coup d'œil vers mo
de ne pas éclater de rire. C'était toujours pare
nous nous installâmes à une table. Fabian commanda san
s. « Pourquoi un demi ? Tu fais
te prendre un quart ? » Je lui lançai un rega
puisse réagir, Fabian l'avait déjà attrapé. « Donne-moi ça ! » g
» dit-il, les yeux pétillants de malice. Je croisai les bras e
grosse bouchée de mon sandwich, savourant chaque instant. C'étai
le dossier de ma chaise, satisfaite. « C'
» répondit Fabian, en finiss
la régler l'addition. Je le rejoignis, et il me tend
a voiture, il m'attrapa par la taille et me soulev
Il se tenait entre mes jambes, ses mains posées sur mes hanches. Je sentis son
ai précipitamment et attrapai l'appareil. Fabian le so
le nom affiché à l'é
nda Maryse, la voix
vec Cadi. P
vec Fabian. Je vou
pas quoi répondre. Fabian, lui, souriait toujours,
rtir. Mais Fabian m'attrapa par le br
ur. Il jeta un œil au message entrant et ses sourcils se froncèrent légè
t de murmurer, presque pour moi-même
, cherchant un peu de réconfort ou une réponse à cette drôle de tension qui planait. "Alors, tu restes ?" demandai-je, le ton plus insistant que je ne l'avais prévu. Il hau
ortir de la voiture quand sa main saisit doucement mon bras. "On ne se verra pas avant au moins deux jours," lâcha-t-il, sa voix douce, pr
ellement que je ne savais pas quoi dire. "Elle est d'ici ?" ajoutai-je rapidement, comme si cette question
. tu as des demi-frères, c'est ça ?" lui demandai-je, un peu incrédule. Un soupir de lassitude s'éch