Le dernier coup de foudre
pit
'un bâtiment sis à quelques encablures de l'automobile,en toute hâte,portant avec eux un brancard. Quand ils eurent arrivé près de la voiture,ils laissèrent choir le brancard au sol. Ils aidèrent Anselme à sortir Lauriane et à l'étendre sur le brancard. Un agent par devant et l'autre par derrière,ils emmenèrent Lauriane en salle de consultation. Partout alentour,tout s'était empêtré dans un mutisme mat. Dans l'air rôdait la mort-témoin des attroupements où l'on pouvait lire quelque chagrin...des pleurs en fusaient. L'un des brancardiers enten
e Lauriane ?
éger bond et s'é
vo
avons déjà administré les premiers soins. Voic
-le-champ. Ses deux mains emprisonnant le volant, le regard déjeté dans le vide inexpressif devant lui via le pare-brise,il s'absorba dans une longue réflexion. C'étaient des conjectures sans queue ni tête,qui se brouillèrent les unes aux autres. D'abord,il pensa aux réactions des parents de Lauriane au cas où il lui arriverait quelque chose de périlleux
ame. fit-il no
rendre pour une quincagénaire. Ses chaussures recousues récemment,ses vêtements déteints sur lesquels elle portait un tablier encrassé. Sa démarche manquait d'énergie . Son faciès tendu de rides étai
t pour une existence qui peut se défaire de n
était en ordre sur son corps sauf dans sa tête où le
exercice d'introspection au bout duquel , adossé à la portière côté chauffeur,les yeux mi-clos,il reçut Mr Bohouji. Après les salutations d'usage,le directeur s'enquit des nouvelles de Lauriane sans oublier de lui préciser de faire un escale chez les parents de Lauriane afin de leur porter l'information à la connaissance. Après l'appel, son cœur devint aussi dur que du marbre. Il savait que la l
ix gutturale, l'accent pé
as gaffée. Quand il fut à l'intérieur,quelle ne fut pas
vait mis toute son attention,les yeux surmontés d'un binocle . La climatisation était pondérée. À son chevet,se trouvait un tableau qui représentait son buste en blouse ,un stéthoscope au cou,le
je suis là. C'est le
sa le sachet sur la table sur laquelle reposait l'ordinateu
ication. Et vous connaisse
mme s'il n'était plu
ne connais pa
de papier sur lequel il lui griffonna une a
e ce papier , chère infirmière ! C'est un parent d
prenant le papier d'ent
à l'ordonnance de tout à l'heure devant laquelle tous ses efforts pour en déchiffrer le moindre mot n'étaient qu'indubitablement vains. Une écriture crabique,bardée de signes cabalistiques. Un langage ésotérique connu d'eux qui étaient des agents de santé seuls. Le sachet dans sa main gauche et l
t de papier. Une dame qui passait devant le manguier en proie à une sinistre inquiétude-témoin l'expression tendue de son faciès et sa démarche rapide
it-il, une esquisse de sou
ssion «s'i vous plaît» contraignirent la dame à lui offrir son regard. Elle dit se retourner
us dites ? Que pu
! Mais là,je vais au module BAS... pourriez-vous êt
suite. Elle se boucha lebbout du nez d'une main et de l'autre lui indiqua l'itinéraire
Tchès3! À quelques encablur
i, ma
ncevrait quelque outrage dans son attitude et précis
ésolé de vous t
quoi , m
ourire empreint de gratit