Le dernier coup de foudre
pit
uvait ,distinctement,lire«Accès interdit !». Cette exclamation péremptoire défendait quiconque ayant envie de se soulager de s'aventurer sur ces latrines. L'écriture paraissait encore neuve ,il se pourrait qu'elle y fût récemment mise. Pour empêcher les analpha
visiteurs des patients allaient passer des moments d'un entrain grotesque. Les rares oiseaux qui y avaient élu asile ne praissaient pas accéder au même plaisir que celui dont vivaient leurs hôtes qui n'y étaient point
it l'air tout neuf , tant ses badigeons brillaient comme s'ils venaient d'y être enduits. Quand Anselme arriva au pied
xclama-t-il,
. Mais , à toute circonstance désagréable doit suppléer une autre circonstance atténuante. Il dut résoudre de dévaler les marches qui y montaient. Le numéro «quatre»était lappremière salle quand on arri
it! Co
Une voix de femme lui
c'est
tendre à son tympan. Il se contint,un
riane. N'est-ce pas ici qu'
C'est le
s do
rez
de Lauriane qui ,étendue dans un lit, recevait,la figure pâle, une perfusion intraveineuse à une sorte de corbeille laissée à une poignée du lit o
n sans peine comme si sa langue é
lui tomba de la main,comme si une subite hémiplégie l'attaquait.
erci pour ton r
ée quand il le laissait choir par terre. Il ne s'était pas préoccupé d'elle quand il était entré alors qu'il devrait lui rendre le billet d'autorisation avant d'aller vers le
essible merci d'un état d'âme fougueux. Vous n'êtes pas goguenard.
infirmière,fit Anselme en
de son charisme ,il tendit la main droite à son interlocutrice.
r monsieur ,
oix d'Anselme, l'éclat de ses yeux qui ajoutait un supplément de charmes à sa figure qu'occupait au milieu sur le bout du nez un binocle bla
n des gens! remarqua,soudain,en libérant la main d
t des lèvres de l'infirmière. Elle roula des yeux
a qui vous êtes,vous qui emmenez un patient_entendez votre personnalité et votre réputation_,puis ,qui vo
que et sarcastique sortit de leurs
vaut le coup !
s'offrit à ses yeux. Elle le prit et l'ouvrit. Il était plus large que le premier. C'était l'ordonnance. Elle le parcourut du haut en bas et le laissa choir sur le lit. Après avoir examiné soigneusement chaque
Vous avez fait un t
u'il devrait retourner lui chercher quelque chose à mettre sous la dent. Elle
firmière,je
ant que l'infirmière lui comptait les pas. Il avait déjà ouvert la portière et était près de s'y installer quand il entendit l'infirmière le héler. Il referma la portière et s'y adossa. Il croyait à une
je vous cause,mais pourriez-vous me faire l'honn
t d'un coup. Et les yeux figés dans la
guez ! Mais ,si vous me le permettez, je suis Anselme SAHOUDO, c
firmière. Vingt-hu
e et voulut parler certes mais son interlocutrice ne lui donna
t-elle,un sorte d'excitation vi
,dame Firmine
poche de sa blouse et en sortit son
é de vous demander votre numér
locutrice,retira malgré lui le téléphone, y
e vous. Merci pour ce déploiemen
ls se séparèrent. Anselme regagna sa voiture et l'infirma
e obstination avec laquelle l'infirmière l'aborda au point de vouloir nouer de plus amples accointances avec lui. À la pensée qu'une pareille disposition pourrait
le lièvre dans un terrier. Je me prêterai au jeu,ave