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Le dernier coup de foudre

Chapitre 2 Piège mal tourné

Nombre de mots : 1237    |    Mis à jour : 05/06/2024

pit

és en possession du droit qu'ils réclamaient : un changement de salaire après dix ans de travail. Une bonne partie des apprenants,toutes classes confondues, ont déserté l'école. Lauriane prit son sac en bandoulière à son bras gauche,jeta un dernier regard à son casier afin de voir si elle n'y laissait rien. Elle rejoignit le censorat, à pas hâtés. C'était une pièce d'à peine six mètres de long sur quatre mètres de large : le tourniquet d'un brasseur suspendu au plafond détendait l'atmosphère légèrement caniculaire;un ensemb

tenu d'un carton ,dos contre porte d

e voici! fit Lauriane

obligé de dévisager son interlocutrice,un court instant au bout duquel il fit quelques pas vers son bureau ,empoigna un essuie-main dont il s'épongea l'échine déjà moite de sueur qui perlait le long de ses nuques. Un peu de crasse avait envahi sa chemise à la chemise à la poitrine ;il l'arrangea en y agit

, fit-il joignant

etien qu'Anselme avait à lui faire. De guerre lasse, elle dut tirer légèrement la chaise et s'y jucha. Anselme pinota sur quelques touches du clavier de l'ordinateur

ne,tout

it-elle avec un peu d

s les yeux. Il tendit ses mains au travers du bureau vers

,réclama Anselme à son

vant de répondre à l'invitation

sont fraîches,murmura-t-i

e de son plein. Il n'y re

es parents et je dois vite pour

ets-moi de te prendre encore

ue je suis assez surveillée à la maison pour perdre de temps avec v

e.» Il serra ses deux mains tendrement dans les siennes de façon à l'obliger à lui offrir son regard. Quand

ne aventure avec toi. Je voudra

d'un sentiment de défiance et de dédain se peignit sur le

rcevez-vous de ce dont vou

ces! Bien-sûr que je veux de toi dans ma vie,m

t un air

ue je suis votre apprenants et que quelqu

artit comme un éclair du réduit. Hors de la pièce, elle hâta fébrilement les pas pour échap

, se prit à s'adresser aux êtres

ce vrai ce que je viens de vivre?_ Aïe ! Mais,vous feuilles qui êtes là à me regarder,ne p

la table. Il happa l'essuie-main qui y gisait et y arrangea son sang. Tout semblait tourner autour de lui. Et bien que la ventilation fût mise à fond, tout son corps était en feu comme s'il était tombé dans une étuve. Il défit sa cravate,le jeta sans s'apercevoir qu'elle s'échouait à même le sol et déboutonna sa ch

qué de mordre à l'hameçon. Toutefois, j'aurai les moyens de le tire

ferma la porte à grands coups de pêne qui entrait dans la gâche. Cafard dans l'âme,il rejo

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