Le dernier coup de foudre
pit
rrivée à l'école,elle prit par le petit portail qui n'était qu'à quelques encablures de sa classe. Du Seuil de ce portail, lui parvenait invariablement les échos d'un vacarme qui se faisait non loin des environs de sa classe. Elle longea en toute hâte le perron
pleuvaient les coups de poings sans lasser les mains,
nd jamais, de pareilles couardises ! Il me faut te mettre les pieds derrière d
t'arroger sa possession ? Je dois te mettre hors d'état de toujours nourrir de pareilles imper
u seuil de la classe,le regard perdu dans le vide . Une subite hémiplégie parut la prendre . Elle défaillit , s
t évanouie...secours ! c
sait quand il entendit les appels à la rescousse que vociféraient une potée d'inflexions distinctes de voix. Il y courut,sans se résigner. Lauriane était étendue à même le sol sur
? Qui l'a frappée,
s pourraient éviter sans couacs quelque manège de gifles de sa part attendu qu'il s'obstinait souvent à ne l'employer qu'au faîte de la marmel
r davantage des intentions
ée au point qu'elle c
nt été là à lui dissimuler la vraie version sur son évanouissement. Mais ,pas de bave, pas de vomissures ! Aucune trace ne signalait quelque subit
surveillance,le temps que ses membres s
'était garanti des coups de son hôte. Aidé d'un gaillard de la classe terminale, Anselme emmena Lauriane dans son
che d'un manguier où il maraudait ,l'aperçut et en descendit. À pas feutrés ,il marcha derrière elle. Et quand il fut assez proche d'elle,il lui effleura les bass
yeux faisait des grimaces de sourd-muet selon son habitude en classe . Elle ne put cont
pas encore arrêter ces pu
jades non pour égayer une classe ou un professeur mais plutôt pour l'attendrir,elle,puisque souvent elle était d'humeur ombrageuse. En effet, bien que Lauriane exécrai
is-tu encore dans les parages de
t puis la prit par la taille. Elle n'opposa la moindre résistance.
itude nous cheminons ensemble pour que cela
uiesça d
u rentres souvent tard contrairement à nos camarades
tre pas préoccupé
di,me lâchent la bride,
acc
ù se lisait du reproche et de l'amertume. Elle en conçut
u à me regarder d
un lége
e mec vaniteux t'a fait
ntenancée par cette question que ven
ique et dépité,il m'a confié une pile de
de mensonge,attendu qu'en son âme et conscience il pouvait nier que Lauriane fût éprouvée par
Comme s'il partage sa paie ave
ut en s'attirant
ompagnie. Je te conjure de n'en être pas vraiment offusqué.
gauche un léger baiser dont le fruit mat la fit se débattre c
arles ! lui
e détail de leur entrevue fortuite. Il monta au fond de lui un feu de colère brûlant comme du samovar. Il s'était tapis dans le feuillage assez ve