Quand les sentiments se font la guerre
NTIMENTS SE
rt
tié peut se cacher
hoquée, perdue, jalouse, un mélange juste horrible. Je les observais entrain d'avancer et de plaisanter quand il croisa mon regard. Il semblait surpris, pas prêt à être pris sur le fait accompli pourtant c'était fait. J'étais déçue, prem
c'est, c
'en sa
r ce genre de fille à ma tante parce qu
n continue d'avancer, ils vont se prendre p
t nous avançâmes com
er ce qu'il faisait avec cette fille et pourquoi à ses côtés il avait l'air heureux, plus qu'à notre
idée de me rapprocher de lu
dans ma tête mais elle ne disait rien encore une fois. Elle savait que si je voulai
èvement mais l'ambiance n'était pas vraiment présente. Tout le monde tiraient la tête et réfléchissaie
de rire, nous voyions que des sourires et là c'était t
t atmosphère étouffant quand mon téléphone se mit à sonner, c'é
: A
C'est
! Comment tu v
tends des choses qui m
propos
fous quoi
du tout, de q
uis un nar
: N
us avec lui ? Pourquoi j'entends
ne après les cours vu qu'il fait sombre en hive
'crois que je vous aurai mis de
i:
stes avec des mecs ? C'est bien wAllah, c'est bien. A ma sortie on va régler ça de toutes fa
: O
us fort,
ui, d'
sse le Salam au
racc
C'était flippant de savoir que chacun de mes gestes étaient contrôlés et je me demandais comment Rayan allait réagir à sa sortie avec
t pas mal d'impact sur mon moral et fis part du bonjour q
.
our pour le bonheur de tous. Cet été, je ne restais pas en France, non, je quittais mon quartier pour rejoindre mon pays d'origine: l
t pour se ressourcer ! Vos croisières n'égalaient en aucun cas les journées en famill
je ne voulais accorder d'importance à personne, les seuls avec qui je voulais être et avec qui je voulais parler étaient a
elle sentait encore son odeur. Je voulais qu'il soit là à nous faire rire avec ses blagues de collège alors qu'il avait plus que passé l'âge, à m'embêter pendant que je discutais avec nos cousines et à me proposer d'aller nous balader le soir afin
temps nous allions à nouveau être séparée. On se racontait notre année en passant des rires au
es de mes parents, elle ne voulait plus s'en aller. Elle était en extase devant ce qui l'entour
ébé lui faisait mal alors elle ne voulait pas sortir et je m'étais pr
ant la télé qua
de partir avec les autres, on
, tu ne vois pas co
il ne vient pas
fier mais au fon
e manque ma
nonne, pourquoi tu
J'ai
ppelle que c'
s c'est lui là, il
le besoin car cela lui pesait. Elle n'avait pas passé de moment avec Ramy depuis des mois et cela ne pouvait plus durer. J'é
ant: Habille-
n aussi grand sourire qu
et vis mon
préférais cela que de savoir Ramy et Zeïna toujours
e temps de me lever de mon tapis de prière que j'aperçus que Samir était de retour. Il vint me saluer puis me dit que les autres étaient allés chez ma tante mais que lui
impatiente de revivre la même chose l'année prochaine In Sha Allah. Je me sen
tous très fatigués dans la voiture mais nous nous disions que notre quartier n'était plus qu'à quelques
de de zoner ici et j'avais une boule au ventre en me disant que j'allais revoir Fa
à passer chez elle. Je monta donc chez moi avec mes parents en les aidant à p
amie. Elle me complimenta en me disant que le Liban me réussissait vraiment car je revenais beaucoup plus belle, je la remercia touchée par ses paroles et au moment où nous nous apprêtions à rejoindre sa chambre, je vis que Farès était là ! Il était juste
ne m'as pas dit
serais pas
upirant- Et on peut sav
trés du Maroc alors il reste avec moi en
tête dans
s dans cet état, on vient
souriant: Tu as raison...alo
deux mois de séparation puis vers cinq heures du mati
gir contre cela. C'était horrible. Je me voyais tomber amoureuse de lui san
te de la chambre s'ouvrit et l
e tu veux ? Asma
ens dans
'est ça, b
Chaïm
n, lais
-y casse-t
Pauvr
en alla
s le salon, monsieur ne devait toujours pas dormir. Il m'agaçait mais comme une idi
au me
oujours pas, vas-y viens me v
da d'aller voir ce
e bi
os impressions e