Quand les sentiments se font la guerre
NTIMENTS SE
rt
toi, res
n de l'autre ? Rien du tout. Nous étions toujours deux inconnus et de lui avoir embrassé la joue ne faisait pas parti de ma personnalité. Je m'en voulais d'avoir agis ainsi. C'était
e moment et cela m'inquiétait. Était-ce cet homme qui me pous
et une fois l'esprit libéré, je pris place sur mon b
Baba ne t'engueule plus pour que tu l'aides à réparer sa voiture, Samir n'est plus là à faire des partis de foot avec toi dans la maison et moi je ne suis pas là à te préparer tes repas spéciaux. J'ai mal de te savoir dans une cellule par ce froid, dans de mauvaises conditions et sans doute avec une personne qui déprime d'avoir été arrêté et qui ne pourra donc pas te remonter le moral. Au quartier, tout le monde
voulais que mon frère soit là quitte à être entrain de s'énerver car je n'ai pas rang
ur être sûre de ne pas oublier de la poster
ent chez moi et pour une raison bien précise. Il paraît qu'ils m'attenda
on père qui n'aimait pas vraiment p
e, Baba tu vas ê
futurs parents et nous nous mîmes déjà à faire un débat pour savoir si le meilleur était que ce soit une fille ou bien un garçon ainsi que quel prénom était le plus jolie. Au fi
lial quand il le désirait car c'était bien connu, dans beaucoup de famille, les garçons n'avaient pas vraiment les mêmes droits que les filles mais moi j'étais condamnée à rester ch
it, il faisait le chemin de la fac au quartier avec Asma et moi. Je ne lui av
it dit qu'il n'allait pas très bien. Il paraît qu'il avait minci, qu'il était de moins en moins bavard et que son visage démontrait toute la haine et la peine qu'il évitait de montrer aux autres. Cela m'attristait beaucoup, mon rêve
i souris et lui serra la main. Il me parlait et je voulais que ce moment dure encore des heures. Il m'impressionnait, il était si..Je ne sais pas, il m'avait piqué. J'étais limite
deux puis il me raccompagna chez moi. Le soir, j'étais en
: A
c'est moi.
r mais ce n'est pas grave. Tu
s: O
Dis
e proposer de passer la j
ons, où il me raccompagnait le soir, où l'on s'appelait et se parlait pendant des
fois commettre un acte nouveau: sortir toute seule avec un garçon et cela ne me mettait pas
à qui tu v
bizarrement et pour moi, il était hors de question de lui mentir alors je lui avoua que j'allais rejoindre un garçon. E
u avoir un corps, une tête et un caractère de vrai homme, il restait
une semaine après l'avoir fait, il nous prit des places sans me consulter puis nous montâmes. J'étais en panique mais devant lui je faisais celle qui gérais sauf que quand
s calme pour mon plus grand plaisir p
is je te suis,
même un petit il aurait
ment au bord de la crise d'angoi
bras autour
le prochain manège, c
vrai ? -e
s continuâmes notre après
cela, moi, je repensais à notre journée juste époustouflante. Je n'avais jamais passé un aussi bon moment. D'être qu'avec
ous nous serrâmes la main, il me dit qu'il me
confiance à person
à cause de tout ce qu'il se passait chez nous et que je me mette à sortir ne lui plaisait pas. Il me fit la morale pendant un t
s pourquoi il
pas vraiment la joie dans
C'est
que c'est alo
de et il a envoyé le mec à l'hosto.
urquoi il a fait ça ? -en me
, Dieu est avec
es bras et me ser
is plus petit que toi m
: M
faire une partie de pl
a dans sa chambre où nous jou
dans leur appartement mais Zeïna comptait passer quelques temps chez moi pour être seule. Elle avait l'air au bout du rouleau car depuis la prolongation de la peine
car ils ne pouvaient pas être dans des conflits alors
étais prête à aller me coucher quand quelqu'un toqua
dormir, Chacha. Je p
bien sû
estais la voir ainsi car ce n'était pas dans ses habitudes. Les raisons des crises de nerfs de Ramy étaient peut
s te voir comm
e me fait mal et il ne comprend pas qu
st dur mais essaye de lui e
ne m'écout
ger In Sha Allah, puis, bats-toi pour ce
me so
d'offrir ton amour à un homme qui le méritera
te le
nous endormîmes sur cette promesse
ébé alors je me leva doucement et me prépara pour aller en c
e bi
vos impressions