Quand les sentiments se font la guerre
NTIMENTS SE
rt
é des uns, l'indif
savais pas quoi faire alors je baissa à
d'Asma: Sa
leykum
'est-ce que tu fais
mais je ren
-en désignant mon
: Vas-y avance,
rejoindre tes copains.
'Asma: Nan
is pas et no
t pas prudent pour toi wAllah,
pas le choix
onc fais attention. Tu t'
haïma
n d'Asma
abites le
elui-là, cel
Ah d'
ait totalement perturbé il y a déjà quelques mois é
de faire la fille indifférente même si il avait une rée
e devant mon immeuble
Chaïma et n'oublies
on immeuble après qu'il m'ait fait
ma chambre. J'avais besoin d'être seule pour repenser à c
ait-il souri au mariage de Ramy ? Pourquoi s'inquiétai
charme et je ne voulais pas qu'il m'utilise comme une fille parmi tant d'autre histoire de se jouer de moi puis d'aller voir ailleurs. Depuis tou
me questionner sur sa façon d'agir jusqu
on père était à la mosquée car sinon je pense que cela aurait dégénéré. Mon père détestait entendre quelqu'un crier chez lui, il
ois, il s'était calmé, il parlait calmement. D'habitude, je n'étais pas très curieuse mais
pour rembourser l'autre, j'cro
.:
i pas en tau
.:
et pour l'instant les ke
.:
i en tout cas j'vais pas renon
tendu alors j'entra dans ma chamb
riolage. Mon frère s'enfonçait dans cette saleté d'illicite et j'étais incapable de lui a
ta mère. Chez moi c'
mir à son entrainement de foot donc j'étais seule avec Rayan. Nous re
peux te dire q
an:
-moi de ne p
de saouler e
au téléphone hier. Tu veux v
lèvre et se br
i t'as dit d'écouter aux portes ?
répond
e que t'as entendu et tu
pas wAllah mais Ra
e tes affaires, me
Pense à maman un peu. Elle mérite pas de con
et me donna
de lui parler de cette manière mais là je l'avais fait par crainte pour sa liberté et la survie de no
a dans t
oue et fis ce q
larmes quand j'eus
: A
t-ce que c'est que
out ne t'en fa
u peux tout me dire
n'est pas la pein
t qu'on aille m
an ne vo
Passe
me prépara puis descendis quand elle me le demanda. En arrivant devant sa voiture, je vis qu
quoi Chaïma ? O
h, toi non plus, p
Sha Allah. Tu gères to
e, écoute. -
faut continuer tu
ller mais je pourrai savoir pourquoi tu
: Laisse-moi,
s arrivâmes au McDo. Nous commandâmes trois milshak
et ma soeur car c'était des personnes biens et de nos jours c'était très rare. Ils étaient si simpl
s chez moi. Ils montèrent voir mes parents
scuter par message avec Asma quand elle me
u aurais quelqu'un
ense oui,
n'est pa
ue pour l'instant je n'ai pas très
qu'il a entendu que t
is c'est
nt vraiment rien à
cord, c'est du gra
e mes frères apprennent cette fausse histoire ou que Farès n
estait sans cesse chez moi et qui ne sortais que pour a
irer de l'air frais et pure car ce qui m'entourait m'étouffer chaque jour un peu plus et c'était affreux comme sensation. Mes paupières étaient fermées et
e bi
os impressions e