RENCONTRE INESPÉRÉE
'entendis ses pas vers moi. Je restai in
? Veuillez m'excuser s
qu'il me prenne dans ses bras. Il posa ses mains avec tendresse sur mes joues. Le contact de sa paume sur mon corps me fit frémir. Une sensation de bien-être parcourut mon âme. J'étais sous l'effet de son charme. Il s'approcha plus près de moi. Mes lèvres étaient proches des siennes. Il commença à m'embrasser. Ses chaudes lèvres se posèrent sur le
n. Je fermai mes yeux. J'entrai dans le feu de l'action. Mon inconnu commença retirer ma robe. J'en fis de même. En une fraction de seconde, nous étions comme nos descendants dans le jardin d'Eden. Je découvrais à nouveau l'intimité sa belle silhouette qu'il m'avait offerte
e poussai un cri. Je venais de connaître à nouveau le plaisir sexuel. J'avais passé une année sans relation sexuelle. J'avais promis à Baudelaire Kassaraté de m'offrir à lui
nt toutes ses nombreuses questions ? Nous aurions dû y penser avant de céder aux plaisirs de la chair. Je l'invitai à continuer. Je passai mes mains sur ses fesses en sueur. Il gémissait avec fureur. Je l'entendis hurler une dernière fois. Puis, il s'allongea à mes côtés. Mon inconnu venait de vider sa semence en moi. M
côté de P
ôle de nos émotions. Je me levai du lit. Je pris la route de ma douche. J'étais en sueur. Je laissai mon inconnu étendu sur le lit. J'avais l'impression qu'elle était tout comme moi plongée dans une réflexion. Je ressortis quelques minutes plus tard de ma douche. Mon inconnue était absente. Je constatai que son sac à main n'y était pas. Elle avait pris le chemin de sa maison. Je sortis de vitesse de
ôté de Clé
e. Mon fils était assez curieux. Il m'aurait bombardé de questions sur ma tenue. Malgré ses 8 ans. Il était très éveillé. J'allumai la télévision. J'arrangeai quelque
tu éta
là mon f
'ai cherché
e. Mon grand va t'habiller. Tu m
je veux
Tu dormiras ce
e m'ennuie
uoi mon
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u vas te repose
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ton t
stant c'est à l'école. Regarde tantie Ahou t'attend. Je me change et nous s
abiller. N'oublie pas de p
an le
de Spi
ien d'embauche marche. J'étais épuisée des échecs. Je n'avais pas commis un crime pour essuyer tant d'échecs. Je pris la direction de l'école primaire « Les génies de demain ». J'arrivai avant l'ouverture des classes. Certains parents a
veux alle
Nathan. Tu veux que mam
n, m
maman. Retire
x yeux. Il sortit de la vo
urquoi pl
'école. Je veux aller avec
apa Baudelaire son travail c'est son école ? Maman ira à l'école tout de suite. En plus, ta
sais p
héri ? Tu ne me disais pas que
i. Le biscuit où il y a l
esse de t'en acheter
ge maman. Achète
a rejoindre t
s maman. Je r
e deux autres. La maîtresse me fit comprendre que je pouvais m'en aller. Elle gérait la situation. Je fis un câlin à Nathan. Je montai dans le véhicule. Il me restait quelques heures pour regag
Je descendis de mon véhicule. C'était un édifice de 10 étages. Le vigile m'indiqua la réception. Je trouvai une jeune dame. Son rouge à lèvres était d'un rouge intense. Son make-up était affreux. Ses mains caressaient sa perruque bombée de mèches naturelles. La jeune réceptionniste de l'entreprise « Attiéké & Ivoire » me dévisagea. Elle m'informa par la suite d'un ton h
Cette dernière décida de joindre les grands patrons. Elle désirait savoir si je pouvais être intervi
nez pour l'entretien d'
e suis présente
it être bien rassuré. Je n'arrive pas à joindre mes collègues chargés des ent
é contact
art de Mo
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r vos noms et prénoms s'il
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gré votre nom et
ut à
. Elle titilla les touches du clavier d'un ordinat
s verrez à la gauche un ascenseur. Au troisième étage se trouve le bureau de mon
beaucoup
ommencèrent à m'inonder. La porte s'ouvrit grandement. Nous étions au troisième étage. Je soufflai un grand coup. Je sortis d'un pas déterminé. J'entrai dans un autre couloir. Il était vaste. Des différents tableaux ornaient ses murs. Ma vue apercevait plusieurs portes. Elles portaient
tement la porte. Le vaste bureau du PDG se dévoila. Il était très vaste. La couleur blanche était à l'honneur dans ce bureau. Des rideaux au fauteuil, le blanc dominait. J'avais l'impression d'être au sein d'une suite d'un hôte
plaît, il y
mon être. J'étais toute tremblante. Mon sac à main tomba. Je n'eus pas le courage de le prendre. Je restai hypnotisée par l'apparence du PDG. J'étais pétrifiée. Il portait une chemise blanche. Les manches étaient retroussées. Je pouvais m'observer dans ses chaussures. Elles scintillèrent. Ses yeux marron
côté de P
rd. Je devinais que c'était elle. J'étais dans la salle de ma bibliothèque. Je recherchais un ancien livre. Ma secrétaire principale