RENCONTRE INESPÉRÉE
r mon esprit. L'alcool était le remède miracle qui me traversa l'esprit. Je n'aimais pas l'alcool. Ce soir-là, j'étais déterminée à m'unir à la boisson. Je préférais mouri
leurer. Je fis signe de la main à l'une des nombreuses serveuses du bar. Elle s'occupait d'un autre client. Quelques minutes plus tard, la serveuse s'approcha de moi. Elle était à moitié dénudée. Sa bouche remuait sous la cadence d'un che
ce à maintes reprises en disant que c'était juste sa stagiaire. Je n'étais pas aveugle. J'avais bien vu leurs deux âmes en former une seule dans son lit. J'avais fait plusieurs sacrifices pour Baudelaire. J
ependant, j'acceptais par amour. Or, au fond de moi, j'avais cette forte intuition qu'il me trompait. Je retrouvais parfois des pistes dans sa douche. Baudelaire avait de
lication de Baudelaire. Il m'avait taguée sur une photo prise lors de la fête des amoureux. Nous étions entrelacés sur cette image. J'étai
J'étais même fière de sa preuve d'amour. C'était évident qu'il m'aimait. Baudelaire m'avai
long. C'était mon avatar. Elle m'écrivait avec assez de preuve
a serveuse. Elle passait près de ma
tu peux me donner
e verre d
avez un verre plus
s désirez que je v
serai
ouci. Cependant, il
n'est pas un souci.
nir d'avance. Je n'aime
discours. Apporte vite m
e une commande. Je vous rev
rdon, mademoiselle. Re
s écoute
tre col
equ
ill
change avec notre boss
ès lui. C'est lui qui a l'hab
loup on voit sa queue. Le v
de s'occuper de Baudelaire et moi. Ils nous traitaient comme des clients Premium du Bar. En réalité, c'était l'un des amis d'enfance
émence Agré.
t aller
'est chaud
quoi W
nds de l
aiment envie ce soir.
tu ne trav
n plus, de quel bon travail tu me parles ? J
on. Sinon, demain, tu risq
? Il n'est pas
et imbécile. S'il te plait, laisse-moi
votre couple. Je compre
? S'il te plait, Willino. Je demande juste cela. Rien de
ve. Calme-t
quide transparent dans mon grand verre. Je lui demandai de
? Tu vas boire toute une
e dérange ? Je ne suis pas une gamine. Je t'inform
. Je ne peux pas te laisser vider cette bouteille
ger ? Tu as quel souci ? Va
ersation. Willino appela Baudelaire. Il le pria de me rejoindre dans le Bar. Je me dépêchai de terminer mon verre. La grande bouteille conten
le vertige. Je tentais de garder ma lucidité. C'était un
, l'agent de polic
ne si tu tiens sur tes pieds. Assieds-toi et attends mon ami. Il est en route
Alors sache que je connais le chemin de ma maison. Je suis entrée ici toute seule. Je sortirai d'ici toute seule, comme une grande fille. Je n'ai pas besoin de t
ôler. C'était impossible. J'avais l'impression de voir en double l'environnem
côté d'Ak
ct du bar « Entre Nous" L'un de mes collègues m'avait fait les éloges de ce Bar. Auparavant, lors de mes missions sur la capitale ivoirienne, j'optais pour le Bar « Marcory Gazoil ». Je me
on regard croisa le visage angélique d'une jeune fille. Je fus capté par sa silhouette. Elle était d'une beauté rare. La teinture dans sa coupe de cheveux avait
Barmen. Elle devait être une habituée du coin. C'était des filles qui ne laissaient aucun homme indifférent. Je pus bien la contempler lorsqu'elle décida de sortir du Bar. Elle était petite de taille. Ses fes
rice. Je désirais me rassurer qu'elle était en compagnie d'une personne. Sa sécurité m'importa immédiatement. Il faisait t
à genou au sol. L'inconnue avait la main sur le ventre. Ma belle du soir vomissait férocement. Je m'approchai calmement d'elle. J'avais aussi peur de sa réaction. Il lui
emoiselle. Vo
Je vais bien. Je cro
s pieds étaient remplis de petits déchets. Elle continua encore à rendre de toute sa force. Les déchets s'éparpillè