RENCONTRE INESPÉRÉE
elle inconnue semblait avoir vidé son ventre. Elle était plus calme. Je sortis
enez pour v
ci mo
us accompagn
pas. Je me sens nettement mieux. E
pour votre sécurité. Je vous en prie laiss
pas monsieur. Je peu
e. Abidjan est très dan
sieur. Comme v
us tenir debout. Nous ne som
marcher to
z ma main. Nous marcherons
Je suis toute sale. Je
tire dans un lavage. Une vie humaine, elle une fois retirée ne revient plus.
une réponse de sa part. Je constatai qu'elle était dans les bras de Morphée. Elle avait l'air d'une princesse endormie. Je remuai la tête. J'éta
l. Je pris la direction de mon hôtel. L'un des vigiles m'aida à la mettre debout. Je la pris dans mes bras. El
bain. Elle fut surprise de ma requête. La réceptionniste m'apporta une femme de chambre. Celle-ci fit prendre un bain à mon inconnue. Je la posai à nouveau dans le lit. Elle était
chambre dégageait une forte d'odeur d'alcool. Je pulvérisai mon parfum. C'était mis
ambre d'hôtel avec une inconnue. Dans le passé, à chacune de
êchait de dormir. Elle bougeait dans tous les sens. Les bruits de ses ronflements étaient
𝘂𝗿 𝘀𝘂
�̂𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗖𝗹𝗲́
habitude de m'endormir sur elle. Elle n'y était pas. Je sursautai du lit. Je réalisai que je n'étais pas dans ma chambre. J'étais en pyjama. Mon cœur explosa. Je commençai à mener une enquête sur moi. Je mis ma main droite
canapé. Son drap était au sol. Son corps était à la merci de ma vue. Son boxer dévoilait la forme de son anatomie au repos. Ses muscles étaient en forme. Je devinais qu'il faisait du sport. C'était peut-être un sportif. Sa pe
possible. Je mis ma robe. Je cherchai un instant mes talons. Je les retrouvai en dessous du lit. Je me chaussai rapidement. Je pris mon sac- à main. Je vérifiai l'intérieur. Mon portefeuille y compris mes pièces étaient présents. J'avançai tout doucement vers
le part sans
z failli me donner
mon intention. J'avais même
our mo
tu sur la pointe des pi
e partais p
state. Je constate que
s peur de sa personne. Je pouvais lui donner trente-cinq ans. Il s'étira longuement. L'homme bâilla avec force. Puis, Il m'offrit un sourire taqu
obe dans le magasin de l'hôtel. Je crois que de l'aspirine aussi. Vous en aurez besoin. Ah ! Pendant que nous y sommes. J'ai une meilleure une idée. Composez le 109
isparu dans l'une des pièces de la chambre. J'étais indécise. J'avais le choix de rester ou de profiter de son absenc
aurait bien pu abuser de moi. Ses faits et gestes ne dégageaient rien d'alarmant. Bien au contraire, il avait l'air d'un homme digne de c
son geste. J'espérais impatiemment mon petit déjeuner. J'avais l'estomac dans les talons. Je trouvais que le servi
. Je pris une bonne posture dans le canapé. J'entendis ses pas. Il arriva dans la salle. Sa hanche était enveloppée d'une grande serviette blanche. C'étai
ser la commande d
en. J'ai
erviette. Il commença à s'habiller devant moi. Je restai surprise par son audace. Il av
ommande de mon petit
tré dans la salle de bain. Il avança vers la table de la suite. Il était très élégant. L'odeur de son parfum me fit éternuer. Il sentait
uvez fini
s dans mon ventre. Je pensais que le menu serait en petite
commença
ous n'êtes pas rassasié, vous pouvez passer
Franchement, les croissants de cet hôtel son
rtez quel
Pourquoi cette q
ne robe dans l'un des
Je peux m'en aller dans cette
étez pas. Je connais une réceptionniste qui a du goût. Elle vous trouvera une belle robe. Mon temps, ne me permet p
e peux laver la robe maintenant. Ensuite, si v
ois. Je préfère v
c'est gentil de votre part. Je
puis hier vous n'avez pas encore mangé ? Si cela ne vous dérange pas b
vaient éloigné de ma réalité. Il surgissait à nouveau. Une vague de tristesse m'inonda. Je me levai de la table. J'avançai vers les vitres de la suite. Je respirai un