Paraph' et Chloé: Histoire d'un bain fantasmatique en trois parties
I
ur dans l'ascenseur, ne serait-ce que d'elle-même. Et puis, une femme ne se je
monde à T
sionnel, tu
Ou
r que je m'
ai rien
un problème, je veux dire un problème d'argent. Quand je viens ici, je repars en fin d'après-midi ; c'est suf
oui
été mariée ;
Si
regardé ses mains. Mais l
huit ans. Il est en classe
aussi, l'enfant de la séparation. Elle
vois sou
sans pr
s de problème d
rde par l
e ce cô
is. Elle s
hommes se méfient, même les copains, même la famille. Ne
à mon mariage. Elle en fait peut-être auta
ec. Ce n'est pas lui que je regrette, c'est le temps
tenant, t
peu m
d'une autre
e crains rien. Tu sais bien
ilence et je me demande ce que je fais là, chez moi. Il me semble avoir basculé, ou plutôt rebasculé dans un lieu connu. Je la considère, oui, mais qu'est-ce que
e de la verveine. Tu en as
Elle paraît tendue. Je me lève. Je m'approche d'elle. Je trouve ma voix
; vi
bocal vert, plein
ens
ser. Je ne bouge pas. Je m'étonne. Comme un chien iv
le a croisé ses bras autour de son ventre, penchée en avant, hoquetant, je m'appuie contre le placard, je vis. C'est fou, depuis quand n'avais-je plus ri comme ça ? Et elle ? Elle se précipite contre mo
ds de fumée, elle absorbe le soleil, elle a un profil adorable, elle ralentit, son haleine caresse mon cou, notre corps est parfait, nous le contemplons d'en haut avec tendresse, je remonte mes bras le long de son dos comme si elle ne me serrait
a main, elle me regarde, je devine le sourire félin, ce n'est pas elle qui va bondir sur sa proie, Chloé la
de Gottesanbeterin11, petite fille en attente du cadeau, de la communion, monstre froid aux appétits de survie, loi de la jungle, la cruauté de la séduction qui s'achève sous les mandibules. Elle lit à livre ouvert. Je suis nu. J'ai envie d'avoir envie d'être un homme et pas une ration de
un bon hôte
employé, de rentrer ne rien faire, éviter la salle de bain à cause du miroir. Elle est en bas, avec son sac, elle est en haut, elle est là. C'est moi qui suis ailleurs ; j'ose à peine m
ne chaleur soyeuse, je voudrais me coucher en r
afonnier, reprend sa place au milieu de mon séjour, la lumière est douce, son sil
e est seulement un
ce que j'
ndu, et je n'ai pas envie
au firmament, capable de dévier la boussole, elle est tout à la fois le récif, l'île au trésor, le tourbillon salvateur, la naufrageuse, la lumière du matin pour qui a su trouver son chemin sous la lune, l'épreuve de la nuit ; c'est elle qui saurait tenir la barre. Pour la lâc
hlo
s heur
a de jolis pieds. Je devine les
sé présent. Trop pré
'économiser
tir sans délai, ils pourraient lui répondre qu'elle ferait mieux de penser à autre chose, on n'est pas en guerre. Elle doute. Le tapis est trop g
evant cette image d'Andersen, je
r. La clef est sur le verrou. S
eurs de l'ancien temps. Un poids gigantesque s'écroule en avalanche de ses épaules, j'ai l'impression que le sol tremb
ce n'est pas
ouille
ma main droite la saisit au collet, se referme doucement, je p
ussi, c'est mille fois mieux qu'une caresse, elle nous adore en cet instant, mon poing est