Paraph' et Chloé: Histoire d'un bain fantasmatique en trois parties
suis ailleurs, dans une fragrance si discrète que je dois enfermer mon nez dans les mains pour la retrouver mêlée au magnolia du savon, fugitive, déjà dénaturée par le papier glacé, les
z boire un ca
e chose. Je connais par cœur, mais elle fait bien le café et il vaut mieux être avec elle que contre, le patron adore qu'on lui dise du mal de nous, et elle ne se prive pas non plus d
comme vous ! Mis à par
qu'elle lui trouve. Mais elle est
âme et je me sens frémir, les yeux m
a retraite, elle y aurait déjà droit, mais elle va s'accrocher, évidemment.
pour l
avancé ; si je liquide ce client avant midi, j'irai directement rejoindre le type de chez Duca
aitée. J'arrive le premier
us ai pas
vitesse, ça va tout seul. On aur
prends pas de desser
ise cartonnée sous le bras, m'aperçoit, pousse un immense soupir, ses épaules retombent, elle s'est arrêtée sous un rayon de soleil, le vent léger danse discrè
de rire da
os ? Ich lass'es mi
serre mon étreinte, recule
as-tu la
de moi, j'ai l'air penaud, elle
ène-m
cuisine, une pyrami
eds-to
es, tout blancs, au-dessus de la Ga
savoir ? Pose-mo
out dans la lumière bleutée venue de je ne sais où. Elle est assise sur le tapis, elle se rapproche, se met à genoux devant moi, en silence, ses yeux rayonnent d'une lumière infiniment douce, elle s'approche encore, un calme immense m'envahit, je
t'éco
e n'avais jamais parlé ainsi autrefois, avant elle, si simplement, si vrai. Mon histoire ne peut pas l'intéresser, elle ne peut intéresser personne, mais elle écoute les glouglous de mon âme comme une
me ta
ue ma voix l'aime d'
ajo
sens v
mble que c'est celui
dévorer avec fureur jusqu'au terme de son inépuisable docilité, de mon dernier souffle ; elle plante alors ses ongles dans mes cheveux collés par la transpiration, relève ma tête : une force immense anime son regard vert, volcanique,
a pénombre se dépose autour de nous, je prends son visage entre mes mains, j
on dirait
ur mes bras tend
n d'être u
talement abandonnée, détendue, ses trait
n d'être t
tourne contre moi, passe une main sur mo
sse pas avo
nous recouvre presque entièrement,