Je vous salue Marie...
é de ma visite. Pourtant ce que je devais lui annoncer était une chose terrible dont il n'avait pas la moindre idée. J
an McCall, possède bien une Chrysle
sa préférée. Elle a eu un accident, c'est ça ? Je m'inquiétais
etrouvé sa voiture, et votre femme a été retrou
imperturbable, juste peut-être quelques mouvements imperceptibles
? Ou était-ce un accident ? Elle a heurté une autre v
tache aux détails techniqu
uis désolé, mais il s'agit en fait d'un me
e est anéantie devant ce genre de nouvelle avec les jambes qui flageolent et le besoin de s'asseoir. McCall est resté debout sans bouger pendant quelques secondes qui ont paru interminables. Son visage avait juste un peu pâli. Il res
s, c'était quoi ? Un vol
sur elle un collier, un bracelet et des bagues qui devaient représenter beaucoup d'argent, et son portefeuille contenai
impossible ! Mais alors quo
t de sa voiture au bord du canal prè
ns parfois nous balader ensemble de ce côté.
route et qui en s'approchant a vu la scène de crime. Je suis vraiment désolé. Monsieur McCall
ne de me prévenir. J'ai essayé de lui téléphoner, mais je suis tombé sur son répondeur. J'ai appelé ma fille qui ne savait pas non plus où elle pouvait être. Sa meilleure amie que j'ai également appelée m'a dit en revanche qu'elles s'étaient retrouvées au supermarché, et que ma femme lui avait déclaré vouloir rentrer rapidement pour préparer un dîner qui devait être
moins que vous n'y teniez absolument. Son permis de conduire retrouvé sur la scène de crime, ses affaires personnelles et ses empreintes
une mauvaise rencontre avec quelqu'un qui en voulait à son argent ou qui voulait l'agresser sexuellem
de rentrer chez soi pour préparer un repas. Ça a plus l'air d'un lieu de rendez-vous et dans ce cas il faudra déterminer qui elle avait l'intention de voir. Vous avez dit que c'est un endroit où vous aviez coutume de vous rendre en compagnie
c'est irréel. Que dois-je faire ? J'avoue que je su
encore sur les lieux pour récolter un maximum d'indices et va ensuite emporter la voiture dans nos loc
ux du meurtre, je veux voir de
ravail des experts médico-légaux. Monsieur McCall, en fonction de mon expérience, permettez-moi de vo
je vous remercie lieute
rester à la disposition de la po
e avait déjà été transporté à la morgue. Cela m'a permis de prendre congé en plaçant ma deuxième phrase enfonceuse de portes ouvertes, « croyez que nous allons tout faire pour retrouver le meurtrier de votre épouse et bien sûr, nous vous tiendrons informé des avancées de l'enquête ». Cela pouvait le rassurer et me per
t à entrer. Parfois dans l'obscurité je voyais briller sur le bas-côté, les yeux d'une biche égarée qui me regardait passer imperturbable. C'était vraiment un beau quartier et mon épouse adorait cette maison devenue maintenant trop grande pour moi seul. J'étais content de rentrer. Je savais que Cookie, ma petite chatte Korat, devait commencer à s'impatienter. Heureusement qu'elle pouvait entrer et sortir par la chatière que j'avais aménagée sur la porte donnant sur l'arrière de la maison vers le jardin. C'était ma seule compagne ; elle remplissait avec la plus grande affection la solitude qui parfois me pesait. Ce petit ani