Je suis revenue à Strasbourg, écrasée par les dettes familiales, le poids de la honte sur mes épaules.
Pourtant, en rendant visite à ma grand-mère mourante, je suis retombée sur Léo Marchal, l'amour de ma jeunesse.
Ce n'était plus le Léo que j'aimais, mais un homme glacial dont les mots étaient des gifles, m'humiliant publiquement.
Pire encore, les créanciers me traquaient sans pitié, menaçant de me vendre à un réseau, et j'avais une cicatrice cachée, vestige d'une opération illégale pour éponger les dettes.
L'humiliation fut à son comble quand Léo m'a forcée à jouer sa cavalière lors d'un gala, m'exposant aux regards juges.