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Trahison et sorcellerie

Trahison et sorcellerie

Mhd

5.0
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Chapitres

L'expérience a prouvé et a permis de comprendre que lorsqu'on met l'œil sur la chose d'autrui et qu'on la désire, on est capable du pire... C'est l'histoire de Jojo et Billy, deux jeunes battants dans un marché de la place qui par des idées convergentes vers des directions différentes finirons par avoir des chemins opposés dans des conditions pas commodes et douloureuses, l'un finira par emprunter ce chemin obscur et l'autre le chemin opposé. Tout ceci grâce à l'avarice, l'obsession par bien matériel, la convoitise.

Chapitre 1 Chapitre 1

Jojo : Jordane lève toi de ce lit avant que moi-même, je ne le fasse à place. Jordane : grand frère, j'ai encore sommeil. Jojo : c'est le sommeil-là que tu vas manger aujourd'hui comme tu blagues là. Jojo grondait son petit frère ce matin, l'orque, leur mère les à retrouver dans leur chambre. Maman : que se passe-t-il ici, je vous écoute depuis ma chambre ? Jojo : je réveille le bon monsieur, il me dit qu'il a encore sommeil. Maman : jojo, tu sais par rapport à toi, il est encore jeune mon fils.. Il est encore un peu trop tôt pour un enfant comme lui pour se lever...

tu sais, il n'a que 9 ans. Jojo : mais maman qui va donc m'aider dans les travaux derrière la maison ? Maman : fait ce que tu peux faire mon enfant et le reste, moi-même, je le ferai. C'est ainsi que jojo s'en alla derrière la maison et fit les tâches qu'il pouvait avant de s'en aller pour le marché là où il exerçait son activité de porteur. Jojo : maman, je suis prêt à partir, bonne journée. Maman : merci mon fils bonne journée, fait attention à toi. Jojo : merci maman, c'est compris. Il était encore quatre heures du matin lorsque jojo prit enfin la route pour le marché central... En chemin, il fit appel à son meilleur ami et collègue avec qui il portait les marchandises au marché Billy ; il composa son numéro sur son petit téléphone thoronko qu'il tenait en main, l'appel a été lancé et ce dernier décrocha. #AU_TÉLÉPHONE Jojo : yo bro tu fais comment tu ne sors pas aujourd'hui. Billy : gars le travail d'hier là m'a beaucoup épuisé, je ne vais pas moi sorti aujourd'hui. Jojo : d'accord, je suis en route pour le marché comme ça. Billy : d'accord, on se prend seulement en journée ou le soir. Jojo : d'accord après le travail, je vais même passer chez toi. Billy : je suis là, je t'attends. Jojo : je suis là, je t'attends. Il raccrocha puis continua son chemin. Environ trente minutes de marche après, il était enfin arrivé au marché et s'était directement dirigé vers sa première Cliente qu'il avait l'habitude de transporter le matin. Elle : hey mon fils, tu es toujours ponctuel... Pas comme les autres porteurs de ce marché, en plus d'être paresseux, ils ne viennent Jamais à l'heure. Jojo : merci pour le compliment la mère... Où est ta marchandise ? Elle : (en pointant du doigt) tous les cartons de poisson et les sacs de macabo que tu vois là-bas m'appartiennent, c'est toi que j'attendais. Jojo : ok donc je peux déjà commencer à porter ? Elle : tu vas porter ça comment ? Jojo : comme d'habitude noon ou bien ?? Elle : je préfère que tu ailles louer un pousse-pousse, car la marchandise est beaucoup aujourd'hui. Jojo : bon la mère voilà ce qu'on va faire hein... Comme ce n'est pas sûr de trouver le pousse-pousse à l'heure qu'il est, pendant que tu pars tenté de demander, moi, je commence à transporter ces sacs pour gagner en temps. Elle : ok, faisons comme ça, j'arrive. Jojo avait commencé par les charges les plus lourdes à transporter, heureusement pour le comptoir de sa cliente n'était pas tellement éloigné ce qui lui facilitait la tâche... Il avait transporté tous ces cartons et ces sacs des plus lourds aux plus légers. La dame des marchandises avant de revenir et en plus sans le pousse-pousse qu'elle allait chercher que jojo avait déjà terminé de transporter ses choses pour son comptoir. Elle : mince jojo, tu es fort mon fils, sans toi dans ce marché nous serions vraiment fichu, je t'assure. Jojo : hmm, c'est toujours comme ça que tu me flattes la mère-ci. Elle : je dis juste la vérité noon mon garçon vous êtes vraiment très serviable ton ami et toi !! En parlant même de celui-là, il n'est pas venu avec toi aujourd'hui ? Jojo : non, il dit qu'il est fatigué, aujourd'hui il ne sort pas. Elle : ok, je comprends voilà pourquoi je dis que tu es très fort malgré ton travail intense d'hier, te voilà encore aujourd'hui sûrement prêt à abattre un travail encore plus dur qu'hier. Jojo : je n'ai pas le choix, nous vivons plus de ce que je gagne ici ma famille et moi. Elle : oohh ok beaucoup du courage à toi fils. Jojo : merci beaucoup ma mère... Je fais comment pour ma paye ?? Elle : tu passes après quand j'aurai déjà vendu prendre ton argent noon ?? Jojo : ok sans soucis, après alors. C'est sur ces mots que jojo avait laissé cette commerçante pour aller servir d'autres... Aîné d'une fratrie de deux, jojo était tout seul à prendre soin de sa petite famille depuis le décès de son père... Âgé de seulement 20 ans, il avait arrêté les études en classe de terminal par manque de moyens et s'était lancé dans cette activité de porteur qui leur permettait au moins de manger le soir sa famille et lui avant de dormir... Son petit frère Dilane est en classe de cours moyen première année. Sa mère, elle tient une petite caisse de vente de cigarette en bordure de route dans le quartier new bell a Douala où ils vivent depuis le décès de son père. Et c'est de là que jojo quitte pour aller se battre au marché central de Douala pour apaiser les charges de la maison. . . Le travail de Jojo consistait exactement à transporter les marchandises des commerçantes qui achète en gros et revendent en détail pour déposer sur leur comptoirs, aussi de porté les achats des femmes qui viennent faire des achats ménagères et parfois même, il transporte le sac de ses femmes pendant leur achat en marchant derrière elles, dès qu'elles achètes quoi que ce soit sur le chemin dans le marché elle lance dans le sac et à la fin, il les raccompagne à la sortie du marché puis elles donnent un peu d'argent en fonction du service rendu. Ce jour, après avoir fait le tour du marché, jojo était retourné chez la dame du matin aux environs de 16 h pour récupérer son argent. Cette dame avait toujours du travail pour lui. Il l'avait rencontré assise derrière son comptoir ayant déjà épuisé presque toute sa marchandise. Jojo : hmm la mère, le marché là était bon aujourd'hui chez toi Hein. Elle : très bon mon même fils.. toi voilà tes poches qui pèsent au moins une tonne hahaha donc toi-même tu as fait fort aujourd'hui. Jojo : oui oui par rapport à souvent le travail était bon aujourd'hui. Elle : ok, tu as l'air fatiguée, je donne ton argent et tu vas aller te reposer. Elle lui avait donné une somme de mille francs CFA. Jojo : merci beaucoup la mère à demain. Elle : ok, même si demain, tu arrives que je ne suis pas encore là, tu commences à porter Hein. sur la même place parce que demain, je risque arrivé un peu tard. Jojo : d'accord, tu peux compter sur moi. Elle : donne moi même ton numéro, je vais t'appeler si j'arrive tard. Jojo : d'accord, ça marche. Ce qu'il fit. Il a pris la direction de chez eux, mais en chemin, il était d'abord passer chez son ami Billy comme il lui avait promis... Ce dernier était couché sur le sofa au salon en train de visionner. Jojo : (en riant) le grand est couché jusqu'à il a soulevé un pied en l'air, ton père ta même vue comme ça ? Billy : et puis tu n'as pas entendu les bruits partout partout ici? Jojo : j'ai d'abord confiance en lui noon, c'est un pater droit, il n'aime pas le faut. Billy : donc moi, je suis faut hein ? Jojo : si tu faisais ce qui était bon, il ne serait pas là à bavarder tous les jours comme il le fait. Billy : man(gars ) ndem moi hein(l'aise moi) , si tu es kem (venu) ici pour me faire la morale mieux tu go(pars). Jojo : ne mets pas le cœur combi (mon ami) je disais ça juste pour blaguer,, dans la paix. Billy : tu es toujours comme ça... Ok sinon le boulot de souffreteux comme nous là ses passés aujourd'hui ? Jojo : oui oui la mater (mère) qu'ont porte ses choses tous les matins-là, elle ta même demandé. Billy : bientôt, je vais même laisser le travail-là pour suivre ma destinée. Jojo : gars ne me fait pas rire, ta destinée tu dis, c'est quoi et où ? Billy : je suis un futur homme d'affaires et je me vois déjà à l'extérieur, je m'en n'irais loin de ce pays qui tue les jeunes. Jojo : les rêves sont permis, c'est vrai que le pays va mal mais toi tu ne te bat pas comme un vrai homme que tu es pour pleurer comme tu le fais.. Billy : jojo arrêt de m'insulter comme ça hein ? Jojo : tu n'aimes pas pas la vérité partenaires, la vie n'est pas rose comme tu penses Hein, il faut bosser dur. Billy : je n'ai pas besoin de tes conseils. Jojo : ok tu restes mon ami dans tous les cas... bon gars, je vais aller à la maison me reposer... En passant, je n'ai pas vu tes parents depuis que je suis là. Billy : ils sont allés à l'église avec leur faut pasteur là j'ai dit que je ne pars plus moi là-bas. Jojo : c'est de notre pasteur que tu parles comme ça Billy ? Billy : gars j'ai déjà entendu les scores du type dans cette ville et si dix, vingt ou trente personnes en parle c'est que c'est vrai. Jojo : qu'à t'il fait ? Billy : c'est un sorcier et c'est pouvoir de délivrance là il tient ça du diable. Jojo : en fait hein a demain, le genre de commentaires là je ne veux pas savoir je pars là-bas juste prié Dieu et c'est tout.. tu serais avec moi demain ? Billy : je pense. Jojo : d'accord, je vais t'appeler le matin pour savoir dans tous les cas. Billy : ok, donne moi-même deux cents là-bas je boire même le tapioca avec noon ?? Jojo : je vais toujours t'aider comme ça reste à la maison, tu dors. Il lui avait donné cinq cents sur l'argent qu'il avait travaillé ce jour. Billy : Merci partenaire de confiance, tu es d'ailleurs le seul vrai ami que j'ai hein. Jojo : ah, laisse latalaku on vous connaît, à demain. Billy : ok, merci. Puis il s'en alla... une fois chez eux sa mère était déjà là et elle les avait frit du riz et ils avaient mangé pour passer la nuit. Jojo : apparemment, tu as fait un peu de recettes aujourd'hui ? Maman : oui j'ai même acheté un carton de cigarette aujourd'hui et c'est le reste que j'ai cuisiné avec. Jojo : moi aussi j'ai eu de bons clients aujourd'hui d'ailleurs, tiens (en lui remettant à sa mère tout l'argent qu'il a travaillé au marché) c'est trois milles francs pour cuisiner demain et le reste tu peux compléter ta caisse avec... pour la nourriture d'après demain je vais me battre au marché demain. Maman : tu me donnes tout ? Jojo : ne t'inquiète pas ça vas aller maman, dans tous les cas tu en a plus besoin que moi. Maman : merci beaucoup mon fils. C'est ainsi que cette soirée était passée en beauté, jojo avait pris son bain puis est allé se coucher en rendant grâce à Dieu pour la journée écoulé. Le lendemain c'était la routine de tous les jours... Jojo avait appelé Billy comme tous les jours au téléphone, ils se sont rendus au marché pour leur travail de porteur. Et c'était ainsi tous les jours... Jusqu'au jour où vint ce fameux matin où comme tous les autres, jojos fit appel à son ami pour qu'ils se rendent au marché... Mais une fois qu'ils se sont rencontrés en chemin jojo avait remarqué que Billy était différent, plutôt distrait et pensifs.

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