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Ma chute

Ma chute

Mhd

5.0
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Chapitres

Qu'est-ce qui peut pousser quelqu'un dont la vie semblait lui sourire, Ă  chuter du jour au lendemain?

Chapitre 1 Chapitre 1

: Je descends de ma voiture et Fabienne, la dame de mĂ©nage vient m'accueillir. Fabienne (Nerveuse) : Bonjour monsieur, vous rentrez tĂŽt. Moi (La regardant) : Hum, je suis juste venue rĂ©cupĂ©rer un document que j'ai oubliĂ© dans ma chambre. Elle : Mais Gaston (Le chauffeur) est lĂ , fallait pas vous dĂ©placez. Moi (Croisant mes bras) : Fabienne que ce passe t-il ? Elle : Heu madame est.... Moi : Oui Jenna est oĂč ? Elle : Dans votre chambre. Moi (Riant) : Roh lala, elle est tellement stupide cette fille.

Je me suis directement dirigĂ©e vers la porte d'entrĂ©e, je monte les marches des escaliers deux par deux. DĂšs que j'arrive devant la porte de ma chambre, je l'ouvre Ă  la volĂ©. Je tombe direct sur Jenna, ma trĂšs chĂšre femme, en train de se faire culbuter par un jeune homme. Moi (Souriant) : Dis-moi, tu n'as plus de dignitĂ© Jenna ? Jenna (Sourire satisfait) : J'en ai plus que tu le crois Alexandre. Moi (AmusĂ©) : Tu es sĂ»re ? Tu t'attaques maintenant au (Regardant le jeune) au prĂ©-pubĂšre. Le jeune homme : Je m'excuse monsieur. Moi (Ironie) : Vous vous excusez de quoi jeune homme ? D'avoir baisĂ© ma soi-disant femme ou c'est la peur qui vous faire ouvrir votre bouche devant moi. Lui : Heu.... Je ..... Moi (Allant vers ma table de chevet) : Bon je vais y aller, je vais demander Ă  Fabienne de me prĂ©parer une autre chambre (RĂ©cupĂ©rant le dossier) alors tu peux garer cette chambre aprĂšs tous il y'a 5chambre dans cette maison donc. Je me dirige vers la porte en souriant. Jenna : Je te dĂ©teste Alexandre. Moi (Souriant en la regardant) : Je te hais tellement Jenna que je suis sĂ»re que jamais rien ne pourra me faire te haĂŻr moins. Elle attrape vivement la lampe de chevet Ă  cĂŽtĂ© d'elle et elle la lance en ma direction. Je referme vite la porte et la lampe explose sur celle-ci. Je vous prĂ©sente ma femme, ma chĂšre Ă©pouse. Certains hommes disent que leurs femmes est celle qui Ă  illuminĂ© leurs vie, qui Ă  apportĂ© une touche de bonheur Ă  leur existence mais tu parles, la mienne m'a enterrĂ© six pieds sous terre. Elle m'a aidĂ© Ă  bĂątir ma maison enfer. Notre mariage n'est qu'une gosse mascarade. °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°11 Ans plus tĂŽt. °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° AprĂšs la mort de maman, j'ai bossĂ© dure pour avoir mon bac avec mention pour pouvoir obtenir une bourse. Avec de la chance, l'Ă©tat gabonais me donne une bourse pour le Ghana. Tonton Alain Ă©tait vraiment heureux. ArrivĂ©e Ă  Accra (Ghana) je vais dans une grande facultĂ© de commerce. Ne connaissant personne, j'ai commencĂ© Ă  traĂźner dans le cafĂ© oĂč il avait beaucoup de gabonais pour ne pas trop ĂȘtre dĂ©paysĂ©. LĂ  je rencontre Mathilde et Junior. On trainait ensemble et tous. Au bout d'un moment, je me suis tombĂ© amoureux de Mathilde, une belle fille mĂ©tisse avec une tousse de cheveux, elle Ă©tait naturelle, elle m'attirait vraiment. On s'est laissĂ© une chance, on s'est mit en couple. AprĂšs 2ans de relation, on a eu notre premier rapport sexuel. Moi je n'Ă©tais plus puceau (Contrairement Ă  elle) mais aprĂšs 2ans d'attenance, je considĂšre que ma premiĂšre fois Ă©tait avec Mathilde. Un jour j'Ă©tais Ă  la cafĂ©tĂ©ria de la fac avec Junior. On parlait de tous et de rien jusqu'Ă  ce qu'une voix derriĂšre moi viennent troublĂ©e mon esprit. La voix : Hey Junior. Junior : Ca va Jenna ? Quand je me retourne, je vois une fille petite de taille, avec des formes trĂšs pulpeuses. Elle Ă©tait trĂšs artificielle, elle avait toujours un tissage, maquillĂ© en bloc franchement ce n'Ă©tait pas mon genre de fille mais elle avait ce truc qui m'attirait sans savoir pourquoi. Jenna (Me souriant) : Bonjour. Moi (IntimidĂ©) : Bonjour. Jenna : Moi c'est Jenna et toi ? Moi : Alexandre. Jenna (Me regardant d'une façon gĂȘnante) : Hum... Junior : Alexandre, Jenna est ma cousine. Moi (A Jenna) : En faite tu te prĂ©nom Jennifer ? Jenna : Non, juste Jenna. On s'est regardĂ© pendant plusieurs secondes avant que Junior ne trouble ce moment. Elle s'est assise avec nous et mes yeux n'arrivaient plus Ă  la quitter. Elle m'avait comme ensorcelĂ©. AprĂšs ce fameux soir, j'avais commencĂ© Ă  la frĂ©quentĂ©. Moi j'Ă©tais en 3iĂšme annĂ©e et elle en 1Ăšre annĂ©e. Je l'aidais pour certains de ses cours et elle me payait en Ă©change. Ca me permettait de ne pas trop embĂȘter Tonton Alain dĂ©jĂ  qu'il s'occupait de Marcia, je ne voulais pas ĂȘtre une charge supplĂ©mentaire. Jenna a commencĂ© Ă  me faire des avances que je refusais parce que j'aimais Mathilde mais Jenna Ă©tait le genre de fille qui Ă©tait pourrie gĂątĂ©. Jenna et Junior Ă©tait nĂ© d'une famille trĂšs riche. Le pĂšre de Jenna Ă©tait un homme gabonais trĂšs commun dans les affaires donc elle ne manquait de rien. Pareil pour Junior mais ils Ă©taient diffĂ©rents. Junior Ă©tait noble contrairement Ă  Jenna Ă©tait trĂšs tape Ă  l'Ɠil. Un jour, Jenna m'avait encore fait des avances et j'avais cĂ©dĂ©. On a couchĂ© ensemble ce jour lĂ , et aprĂšs je me suis sentis mal car j'avais trompĂ© Mathilde. Je l'avais déçu. Je me sentais tellement coupable que je lui ai tout avouĂ©, je pensais qu'elle serait en colĂšre mais qu'elle me pardonnerait. Elle ne m'a jamais pardonnĂ©, elle a pĂ©tĂ© un cĂąble et elle m'a dit que je n'aurais pas dĂ» lui faire ça car elle avait placĂ© tellement d'espoir et de rĂȘver en moi. Pendant des jours j'ai tous fait pour lui parler mais rien, elle a dit que si je l'ai trompĂ© avec Jenna c'est parce que j'aimais plus Jenna qu'elle. Alors aprĂšs ça, je me suis mis avec Jenna, j'Ă©tais heureux. Elle arrivait Ă  m'envoĂ»ter. Elle avait une espĂšce d'emprise sur moi. Puis Marcia est tombĂ©e malade. Elle a fait une anĂ©mie aigue. Elle devenait de plus en plus faible. Elle passait son temps dans les hĂŽpitaux. AprĂšs le mĂ©decin, nous annonça qu'elle avait un problĂšme au niveau du rein droit, il ne fonctionnait plus bien. Pour aider tonton Alain, j'ai commencĂ© Ă  donner des cours Ă  plusieurs Ă©lĂšves Ă  la fac mais ça n'allait toujours pas. Jenna voulait m'aider mais je refusais son argent, je me disais que si j'acceptais, j'aurais l'impression de profiter d'elle. Mais elle m'a dit qu'elle en a parlĂ© Ă  son pĂšre et qu'il voudrait me voir. Je ne voulais pas paraĂźtre impoli alors j'ai acceptĂ© de rencontrer son pĂšre. DĂšs que je me suis retrouvĂ© devant son pĂšre, mon cƓur se mit Ă  battre comme pas possible. Le pĂšre de Jenna : J'ai beaucoup attendu parler de toi, et je sais que tu es un jeune homme trĂšs battant. Moi : Merci monsieur. Le pĂšre de Jenna : Jenna m'a parlĂ© de la maladie de ta petite-sƓur. Moi : Oui. Le pĂšre de Jenna : J'aimerais beaucoup d'aider. Moi : Merci beaucoup monsieur mais je ne peux pas accepter j'aurais l'impression de profiter de vous. Le pĂšre de Jenna : Hum, je vois. Moi : Ne le prenez pas mal mais je n'ai pas l'habitude d'ĂȘtre aider donc je prĂ©fĂšre me dĂ©brouiller tout seul. Le pĂšre de Jenna : Vous ĂȘtes en 4 annĂ©e de Commerce, c'est bien ça ? Moi : Oui. Lui : Si je vous propose de travailler pour moi et en Ă©changer je vous payerai qu'en pensez-vous ? Moi : Mais avec mes cours de soutiens je ne pourrais pas. Lui : ArrĂȘtes moi ces cours, je vous payerai largement assez. Moi : Merci monsieur mais... Lui : Si tu refuses donc je le prends comme une insulte. Moi (RĂ©flĂ©chissant) : Lui : Tu n'as pas le droit de refuser. Moi : Okay, j'accepte de travailler pour vous. Lui : Bien, ma secrĂ©taire te donnera tes heures de travail selon tes heures de cours. Moi : D'accord merci monsieur. Lui (Souriant Ă©trangement) : Non ne me remercie pas. Ce jour lĂ , j'ai tous racontĂ© Ă  Junior et il est rentrĂ© dans une colĂšre noire. Junior : Mais Jenna est folle, ne fait pas ça. Moi : Pourquoi ? Lui : Tu ne sais pas dans quoi tu t'embarque. Moi : Je pensais que tu Ă©tais un ami. Tu ne veux pas me voir heureux. Lui : Si mais je te prĂ©fĂšre pauvre et sans revenus que riche et dans un monde qui risque de te tuer. Moi : De quoi tu parles ? Lui : Ecoutes, je sais que tu es quelqu'un de bien mais n'accepte rien venant de Jenna ou de son pĂšre. Moi : Mais Junior... Lui (Me coupant) : Je ne te l'ai jamais dit mais je n'ai jamais aimĂ© le fait que tu sortes avec Jenna, je sais que tu ne dois pas te laisser avoir. Moi : Junior... Lui : Junior rien. Ecoutes moi. Je sais de quoi je parle Alex. Moi : Hum, mais ça va m'aider Ă  soigner Marcia. Lui : Ecoutes fais comme tu veux mais sache juste que je t'aurais prĂ©venu. Il a prit son sac et il sortit du cafĂ©. Je ne savais pas quoi penser mais il me fallait ce travail. Moi (Buvant mon verre d'eau) : Junior m'a dit de refuser l'offre de travail de ton pĂšre, d'ailleurs il m'a dit de refuser toute offre venant de toi. (La regardant) Pourquoi ? Elle se raidit et parut troublĂ©e et en colĂšre. Jenna : Laisse-le, il a demandĂ© un boulot Ă  papa et comme il n'Ă©tait pas assez compĂ©tant pour faire le travail donc papa ne le lui a pas donnĂ©. Moi (La regardant) : Hum... Elle (M'attrapant par la taille) : Junior est comme ça, un gros jaloux mais t'inquiĂšte pas. Je l'ai cru et je me suis Ă©loignĂ© de Junior pensant qu'il me voulait du mal. Quelques jours plus tard j'ai commencĂ© Ă  travailler et mon salaire Ă©tait colossal. Quand j'ai fait le Western Ă  Tonton Alain. Il m'a dirait appeler. T. Alain : Tu as trouvĂ© l'argent lĂ  oĂč ? Moi : Je travaille et je suis trĂšs bien payĂ©. T. Alain : Comment tu as eu ce boulot ? Moi : Je travaille dans l'entreprise du pĂšre de ma copine. T. Alain : Mais tu fais quel genre de boulot. Moi : Tu n'as pas confiance en moi ou quoi, j'aide la chargĂ© en marketing. Lui : Hum, fais attention Ă  toi han. Moi : Oui ne t'inquiĂšte pas. AprĂšs ça, Marcia allait un peu mieux. C'Ă©tait dĂ©jĂ  ça. Je me rapprochais de la famille de Jenna, surtout de son pĂšre. J'aimais tellement Jenna et je respectais tous ce qu'elle faisait pour moi donc pour lui montrer tous mon amour je lui avais offert une blague de fiançailles. Son pĂšre Ă©tait tellement heureux qui a organisĂ© une soirĂ©e pour fĂȘter ça. A la soirĂ©e, son pĂšre m'avait offert une blague et un mouchoir avec un symbole qui Ă©tait l'emblĂšme de leur famille m'avait-il dit. En regardant bien, je me souvenais que Junior avait la mĂȘme blague. Au cours de la soirĂ©e beaucoup de genre venait me saluer, je ne trouvais pas ça Ă©trange vu que c'Ă©tait organiser pour Jenna et moi. AprĂšs il avait une coupe de vin que chaque homme devait boire pour seller notre futur union. Par politesse, je la bue. AprĂšs son pĂšre fut un discours et il nous donna la parole. Jenna : Merci d'ĂȘtre venu, nous sont heureux de vous comptez parmi nous. Moi : TrĂšs heureux. On dina et aprĂšs Jenna et moi, on se retira un peu, elle voulait me parler. On alla dans le bureau de son pĂšre et elle me regarda droit dans les yeux. Jenna : Tu m'aimes ? Moi : Oui Jenna : Tu me donnes la permission de prendre ce que je veux te toi ? Moi : Oui bĂ©bĂ©. Elle : Ton Ăąme m'appartient ? Moi : Oui et mon cƓur aussi. Elle (Sourire satisfait) : Bien, Ă  partir de cet instant, tu ne souffriras plus bĂ©bĂ©. Je ne savais pas que ces « Oui » idiots venaient de me condamner. Sans que je ne le sache Jenna venait de m'introduire dans la secte que dirigeait son pĂšre. Je m'Ă©tais fait rouler comme un bleu. A suivre...

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