L'Ombre de la Vengeance

L'Ombre de la Vengeance

Gavin

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Mes mains, autrefois créatrices de rêves pour l'élite parisienne, sont désormais des paquets de bandages, mon âme de styliste brisée.nMarc, l'homme que j'aimais, ou du moins le croyais, a transformé ma vie en cauchemar pour m'avoir refusé. nnL'accident n'était pas un hasard, mais sa signature, me laissant une main mutilée et un esprit piégé dans un linceul d'antiseptique.nnNon content de me briser physiquement, il m'a fait enfermer en hôpital psychiatrique, me dépeignant comme une folle suicidaire, ses mensonges comme autant de barreaux à ma cellule. nLa froideur clinique du Dr. Moreau, complice de sa monstruosité, et les pilules qui embrouillent mon esprit, me maintiennent dans cette prison, dépouillée de tout, même de ma dignité.nMon monde s'est effondré, balayé par la trahison, mais au fond de cette abîme, une flamme vacille encore, celle de la rage.nLa vengeance sera ma renaissance. nnJe sortirai d'ici, quitte à me lier à Monsieur Laurent, son rival, pour mieux le détruire. nMarc Dubois, tu m'as tout pris, mais tu ne m'as pas anéantie. nnJe te rendrai chaque parcelle de souffrance que tu m'as infligée, et tu découvriras ce que c'est de tout perdre. nnCeci n'est pas ma fin, c'est le début de ton purgatoire.

Introduction

Mes mains, autrefois créatrices de rêves pour l'élite parisienne, sont désormais des paquets de bandages, mon âme de styliste brisée.nMarc, l'homme que j'aimais, ou du moins le croyais, a transformé ma vie en cauchemar pour m'avoir refusé. nnL'accident n'était pas un hasard, mais sa signature, me laissant une main mutilée et un esprit piégé dans un linceul d'antiseptique.nnNon content de me briser physiquement, il m'a fait enfermer en hôpital psychiatrique, me dépeignant comme une folle suicidaire, ses mensonges comme autant de barreaux à ma cellule. nLa froideur clinique du Dr.

Moreau, complice de sa monstruosité, et les pilules qui embrouillent mon esprit, me maintiennent dans cette prison, dépouillée de tout, même de ma dignité.nMon monde s'est effondré, balayé par la trahison, mais au fond de cette abîme, une flamme vacille encore, celle de la rage.nLa vengeance sera ma renaissance. nnJe sortirai d'ici, quitte à me lier à Monsieur Laurent, son rival, pour mieux le détruire. nMarc Dubois, tu m'as tout pris, mais tu ne m'as pas anéantie. nnJe te rendrai chaque parcelle de souffrance que tu m'as infligée, et tu découvriras ce que c'est de tout perdre. nnCeci n'est pas ma fin, c'est le début de ton purgatoire.

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Mon mari est tombé amoureux d'une stagiaire de son entreprise, Chloé. Il est parti les mains vides, me laissant la voiture, l'appartement, et tout l'argent, en échange d'un simple certificat de divorce. Il m'a dit : "Amélie, je ne peux pas trahir Chloé, et je ne veux pas te trahir non plus." J'ai juste posé une question : "Est-ce que ta Chloé a découvert aujourd'hui seulement que tu n'étais pas célibataire ?" Son regard est devenu vide, puis il a détourné les yeux. Après le divorce, il a épousé Chloé en grande pompe, diffusant même la cérémonie en direct. Sur internet, j'étais dépeinte comme l'opportuniste, l'héroïne "difficile", tandis que Chloé était la victime innocente. Les gens disaient que l'amour triomphait toujours, et que je méritais mon sort. Je n'ai pas pleuré. J'ai souri. J'ai envoyé un cadeau à leur mariage : quatre-vingt-dix-neuf couronnes mortuaires, la première souhaitant l'infertilité, la seconde une descendance nombreuse. Sept ans plus tard, lors d'une exposition d'art, je l'ai revu. Il était là avec Chloé, qui m'a dépeinte comme une "vieille peau" essayant de récupérer son mari. Ma fille, Petite, s'est alors manifestée : "Maman, qui sont-ils ?" Marc a compris que Petite était son enfant, mais Chloé a hurlé : "Un enfant ?! Tu as secrètement eu un enfant ! Tu veux utiliser cet enfant pour reprendre Marc, n'est-ce pas ?" Elle a appelé la sécurité pour me jeter dehors. "Madame Dubois ?!" L'agent de sécurité m'a regardée, respectueusement. Oui, Dubois était mon nom d'artiste, et j'étais la propriétaire de la galerie. J'ai demandé : "Jetez-les dehors."

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