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Vivre seul dans le mariage

Vivre seul dans le mariage

les chroniques

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Chapitres

Aux yeux d'Erica Ferguston, l'homme le plus séduisant était Arnold Binder, son futur époux. Mais son monde s'écroule lorsqu'elle découvre que son mari ne l'a jamais aimée comme il le prétendait avant leur mariage. Il l'a épousée pour faire plaisir à sa grand-mÚre. Depuis cette révélation, elle est dévastée. Elle a vécu l'enfer toute seule, sans que son mari ne se soucie d'elle. Elle était forte, mais il n'a fallu que peu de temps pour qu'elle commence à s'effondrer.

Chapitre 1 01

01

Erica Ferguston marchait dans l'allĂ©e de l'Ă©glise vers son Ă©poux avec sa main dans celle de son pĂšre, c'Ă©tait trois mois aprĂšs leur premiĂšre rencontre lorsque sa grand-mĂšre les a prĂ©sentĂ©s l'un Ă  l'autre. C'Ă©tait incroyable de voir Ă  quel point elle est immĂ©diatement tombĂ©e amoureuse de lui quand elle l'a vu. Elle avait l'impression d'avoir trouvĂ© la partie manquante de sa vie, son Ăąme sƓur. Arnold Binder, grand, beau, riche et un vrai gentleman, il a fait sa demande il y a un mois et les voilĂ  prĂȘts Ă  Ă©changer leurs vƓux de mariage.

Il tourna la tĂȘte pour la voir et elle retint son souffle, il Ă©tait magnifique dans son costume noir, son cƓur battait trĂšs vite qu'elle pensait qu'il sortirait de sa poitrine. Puis elle vit un Ă©clair de colĂšre dans ses yeux. Cela l'a surprise, comment pouvait-il ĂȘtre en colĂšre le jour de leur mariage, y avait-il quelque chose qui n'allait pas. Elle regarda autour d'elle toutes leurs familles et leurs invitĂ©s. Au cĂŽtĂ© du mariĂ©, lĂ  Ă©taient assis ses parents, sa grand-mĂšre pleurait ses larmes. Ses frĂšres et sƓurs, quatre frĂšres et une sƓur lui souriaient joyeusement. Elle tourna son regard vers lui et vit qu'il lui souriait. Elle sourit en retour et pensa que ce qu'elle avait vu plus tĂŽt n'Ă©tait que son imagination, que rien n'allait mal et continua Ă  marcher. Elle ne savait pas Ă  quel point elle avait tort.

La fĂȘte de mariage Ă©tait enfin terminĂ©e. Ils Ă©taient dans la voiture, agitant la main Ă  tout le monde Ă  travers les vitres, « Soyez heureux ! »Elle a entendu ses amis crier ça et elle leur a soufflĂ© un baiser. Avec toute la bĂ©nĂ©diction, leur voiture a roulĂ© plus loin.

Ils sont arrivĂ©s Ă  l'hĂŽtel oĂč ils passeraient leur nuit de noces. Il est sorti de la voiture et a ouvert sa porte. Il l'a amenĂ©e Ă  son bras comme tous les autres couples de jeunes mariĂ©s et elle a mis ses bras Ă  son cou, son menton Ă©tait sur son Ă©paule. Elle respira son parfum, masculin et frais, se sentit en sĂ©curitĂ© dans ses bras. Il l'a amenĂ©e Ă  l'hĂŽtel qui appartenait Ă  sa famille, tous les employĂ©s les ont accueillis, il leur a fait signe de la tĂȘte et est entrĂ© dans l'ascenseur. Ils restĂšrent silencieux, comme si un seul mot gĂącherait ce moment.

L'ascenseur s'est arrĂȘtĂ© et s'est ouvert. Ils sont arrivĂ©s Ă  la suite du PrĂ©sident. Les bougies et les roses Ă©taient partout. Elle sourit mais ça disparut quand elle sentit qu'il se raidissait. Il l'a amenĂ©e dans la chambre et l'a jetĂ©e au lit comme si elle Ă©tait un paquet d'ordures. Cela l'a choquĂ©e presque morte. Elle leva les yeux pour la regarder et vit de la colĂšre dans ses yeux, pas seulement un Ă©clair comme avant, elle pensait que c'Ă©tait son imagination, cette fois c'Ă©tait limpide dans ses yeux. Si ses yeux pouvaient tuer, le sien serait l'un d'entre eux.

Elle ouvrit la bouche pour parler, mais il la coupa : » Je ne t'aime jamais. »

Elle se figea, de tous les mots qu'il dirait, cela ne lui vint jamais à l'esprit. Cela la rendait sans voix, comme si quelqu'un lui avait volé sa voix.

« La seule raison pour laquelle je t'Ă©pouse, c'est parce que grand-mĂšre m'a forcĂ©. Elle a menacĂ© de me dĂ©shĂ©riter si je refusais de t'Ă©pouser. Je ne sais pas comment tu l'as empoisonnĂ©e pour penser que tu es une honnĂȘte fille innocente. À mes yeux, tu n'es qu'un chercheur d'or. Je vomis presque Ă  chaque fois que je faisais semblant d'ĂȘtre gentil avec toi, tu ne le mĂ©ritais pas. Mais pourtant, elle m'a demandĂ© de te faire croire que je t'aimais. Ça m'a rendu malade, mais je ne laisserai pas quelqu'un comme toi ruiner ce sur quoi j'ai travaillĂ© dur toute ma vie. Oh, ne fais pas semblant d'ĂȘtre choquĂ©. Je sais que tu veux juste l'argent. Nous ferons semblant d'ĂȘtre de jeunes mariĂ©s heureux devant tout le monde, mais je ne t'accepterai jamais vraiment comme ma femme. JAMAIS, JAMAIS ! TU M'ENTENDS ??!!! »il a dit chaque mot avec haine rempli chacun d'eux et est sorti, a fermĂ© la porte avec un bruit fort.

AprÚs son départ, elle sentit des larmes couler sur son visage, elle les glissa mais elles continuaient à couler imparablement. Elle se jeta sur l'oreiller, pleura sans laisser échapper le moindre bruit. BientÎt, elle s'endormit encore dans sa robe de mariée.

À minuit, Erica s'est rĂ©veillĂ©e. Les larmes ont recommencĂ© Ă  couler, mais elle les a essuyĂ©es, a refusĂ© d'avoir une autre panne. Elle se leva, rĂ©alisa qu'elle dormait avec sa robe de mariĂ©e. Elle se sentait si fatiguĂ©e qu'elle n'avait plus d'Ă©nergie pour se changer, mais elle voulait s'Ă©loigner de ce cauchemar de la vie, Arnold qui Ă©tait dans une autre piĂšce. Elle prit une profonde inspiration et sortit de la chambre, se dirigea lentement vers la porte de la suite et monta dans l'ascenseur. Elle a poussĂ© au premier Ă©tage, quand l'ascenseur s'est ouvert, elle est sortie et n'a vu que les gardes de sĂ©curitĂ©. D'aprĂšs leur regard, elle savait qu'ils se demandaient ce que la mariĂ©e faisait ici Ă  cette heure tardive. Elle rĂ©ussit Ă  leur sourire et hocha la tĂȘte, quand ils hochĂšrent la tĂȘte en retour, elle se retourna et se dirigea directement vers la porte de la plage.

Il faisait sombre lĂ -bas, mais pour elle, c'Ă©tait bien mieux que la piĂšce lumineuse dans laquelle elle se trouvait il y a un instant. Ce qu'Arnold avait dit plus tĂŽt lui revint Ă  l'esprit et les larmes coulaient Ă  nouveau.

Pourquoi cela se produit-il ? Qu'ai-je fait de mal pour mĂ©riter ce genre de punition ? Il a dit qu'il ne m'aimait jamais, il faisait juste semblant. Comment puis-je ĂȘtre si aveugle pour ne pas pouvoir voir ça ? Est-ce que j'ai juste refusĂ© de le voir Ă  cause de mon amour pour lui ? Ce flash de colĂšre, l'avait-il toujours parfois pendant notre temps ensemble ? Pourquoi je ne l'ai jamais remarquĂ© avant ? Si seulement je m'en rends compte plus tĂŽt, je n'accepterai pas de l'Ă©pouser, peu importe Ă  quel point j'aurai le cƓur brisĂ©. Parce que je n'ai pas seulement le cƓur brisĂ© en ce moment, je suis aussi dĂ©vastĂ©. Dans quel genre de mariage j'ai sautĂ© ? Comment vais-je vivre ma vie Ă  partir de maintenant avec un mari qui me dĂ©teste de tout son cƓur ? Le divorce n'est dĂ©finitivement pas une option, comment pouvons-nous l'expliquer Ă  tout le monde alors que nous prĂ©tendions nous aimer. Je l'aime, je l'aime toujours, mĂȘme s'il m'a dit ces mots. Pourquoi il a dit que j'Ă©tais un chercheur d'or ? Était-ce parce que j'acceptais toujours ses cadeaux coĂ»teux ? Je les ai acceptĂ©es parce qu'elles venaient de lui, et pour l'apprĂ©cier, je les ai portĂ©es mĂȘme si je n'aime pas porter des vĂȘtements comme ça. Comment peut – il penser si bas Ă  moi ?

Elle s'assit sur le sable, serra ses genoux contre sa poitrine. Que dois-je faire maintenant ? Pourrai-je vivre dans cet enfer ? Elle leva les yeux vers la lune, c'Ă©tait la pleine lune. Elle s'essuya le visage et se leva. Il y avait une dĂ©termination dans ses yeux. Si je ne peux l'aimer, alors je ferai tout le contraire, ignorez-le. Cela fera l'affaire pendant un moment, pendant que je rĂ©flĂ©chis Ă  un moyen de sortir de ce gĂąchis que je me suis fait. S'il peut prĂ©tendre m'aimer pendant trois mois, alors je pense que je peux prĂ©tendre ĂȘtre une Ă©pouse heureuse devant tous ceux Ă  qui je tenais. J'espĂšre juste qu'il ne fera plus de dĂ©gĂąts Ă  mon cƓur, car il y avait dĂ©jĂ  une Ă©norme fissure dessus maintenant.

Avec toute la fierté qu'il lui restait, elle retourna dans la suite.

Erica s'est rĂ©veillĂ©e, a regardĂ© l'horloge et a vu qu'il Ă©tait 5 heures. Elle s'est levĂ©e et est allĂ©e aux toilettes. Elle s'est douchĂ©e et a mis une chemise blanche Ă  col roulĂ© avec un jean bleu profond. En sortant de la salle de bain, elle s'assit sur une chaise devant le miroir et se brossa les cheveux, tandis que son esprit s'envolait Ă  des kilomĂštres. Tous les souvenirs de leur premiĂšre rencontre Ă  sa proposition lui revenaient Ă  l'esprit. Une larme roula sur sa joue. Elle l'essuya immĂ©diatement : « Non, assez de larmes. Je vais garder la tĂȘte haute, je ne deviendrai pas une fille faible qui pleure parce qu'elle ne peut pas obtenir ce qu'elle veut. MĂȘme si je vis en enfer, je ne me laisserai pas brĂ»ler », se rappela – t-elle.

Elle sortit de sa chambre juste pour voir qu'Arnold Ă©tait assis Ă  la table Ă  manger avec juste une robe blanche, qui ne couvrait pas ses jambes et montrait sa poitrine. Elle a avalĂ©. MĂȘme dur, il avait Ă©tĂ© mĂ©chant avec elle, elle ressentait toujours pour lui. Mais, elle ne le laisserait pas savoir qu'il pourrait l'affecter comme ça. Elle ignora celui qui dĂ©jeunait et se dirigea vers la porte de sa suite. C'Ă©tait la sienne, elle ne l'assumerait jamais comme la sienne ou pire que la leur, car il n'y a jamais eu nous entre eux, tout simplement toi et moi.Ce qui lui appartenait, elle ne les traiterait jamais aussi bien que la sienne. « ArrĂȘte ! »elle entendit la voix d'Arnold derriĂšre elle lorsqu'elle tendit la main vers la poignĂ©e de la porte. Elle se retourna et vit qu'il se levait de la chaise et se dirigea vers elle. « Qu'est-ce que tu fais ? »il a demandĂ© quand il est arrivĂ© Ă  ses cĂŽtĂ©s prĂšs de la porte.

« Je veux descendre et rentrer à la maison. »Elle a répondu comme si de rien n'était et a de nouveau atteint la poignée de porte. Arnold lui attrapa le bras et la tira vers la table. Il l'a assise sur la chaise et lui a ordonné : « Mange juste ce petit-déjeuner ! Tu ferais mieux de faire ce que j'ai dit hier si tu ne veux blesser personne de nos familles. Ils pensent que nous sommes mariés heureux et peu importe ce que je ressentais pour vous, nous ne devrions pas annuler ce mariage et faire de notre mieux pour ressembler à un couple marié normal devant eux. Tu l'as eu ? »

Erica ouvrit la bouche pour dire quelque chose mais elle dĂ©cida de se taire et hocha simplement la tĂȘte, elle murmura « D'accord. »et a mangĂ© son petit dĂ©jeuner tranquillement.

AprĂšs avoir terminĂ© le petit dĂ©jeuner, Arnold est allĂ© dans sa chambre pour porter ses vĂȘtements. Quand il est sorti, il a vu que la table Ă©tait dĂ©jĂ  nettoyĂ©e. « La gouvernante venait-elle d'arriver ? Pourquoi je ne t'ai pas entendu ouvrir la porte ? »il a demandĂ©.

« Oui, elle vient juste de venir. Le mur est insonorisé, bien sûr, vous ne pouvez pas l'entendre. »

Erica fit un petit sourire à Arnold et s'approcha du canapé pour prendre son sac à main.

Arnold la regarda fixement, mais dĂ©cida de laisser tomber. Peu importe Ă  quel point c'Ă©tait bizarre. « Baissons la tĂȘte alors. »

Ils descendirent l'escalier et se dirigĂšrent vers la voiture. C'Ă©tait une Ferrari rouge, On dirait Mr.Perfect aussi comme la vitesse comme tous les autres gars. Eh bien, j'aurais dĂ» deviner avec son attitude toute haute et puissante. Erica rĂ©flĂ©chit dans sa tĂȘte.

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