Maïa et ses amis - Tome 1: La face cachée de la Lune

Maïa et ses amis - Tome 1: La face cachée de la Lune

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Maïa, Aurore, Charlie et Bénin, quatre adolescents, ont l'habitude de se réunir dans les bois d'un petit village situé dans une commune de Normandie. Malheureusement, la disparition soudaine de la mère de Maïa sème la panique au sein du groupe. Cette jeune fille, leader de ce quatuor, se donne donc pour mission de la retrouver. C'est alors qu'elle mettra tout en œuvre, entraînant ses amis vers un monde magique. Que leur réservera ce lieu jusqu'alors méconnu ? Atteindront-ils leur but ? À PROPOS DE L'AUTEURE Clémence Lechevalier nous invite à un rendez-vous fantastique avec ses personnages dans Maïa et ses amis - Tome I - La face cachée de la Lune. Elle partage son monde créé pour offrir une échappatoire face aux réalités contraignantes de la vie.

Chapitre 1 No.1

Je dédie cette histoire à mon grand frère Quentin, sans qui nos jeux d'enfants n'auraient pas tant éveillé mon imagination.

À ma mère, première oreille attentive de cette histoire.

À mon père, que j'espère rendre fier à travers cet ouvrage.

À ma famille, premiers lecteurs de ce roman.

À toi, W., et à ton soutien sans faille,

ainsi qu'à tous ceux qui m'ont soutenue depuis les prémices.

Mais surtout, à tous les mal-lunés qui ouvriront ce livre.

Noath

En deux mille quatorze, dans un petit village de Normandie, Noath, force était de constater qu'il ne s'y passait jamais rien d'ordinaire. Cela faisait sa particularité.

Dès lors qu'on s'y promenait, on y observait une campagne des plus clichée : des vaches, des champs, et toutes les images de Normandie qui allaient avec.

Tout proche de la place des pins, et dans un renfoncement, se trouvait la famille Van Maanen. Harold Van Maanen, père de famille et paysagiste. Marianne Van Maanen, son épouse, commerciale de profession, et leur fille unique : Maïa, quinze ans

Quelques dizaines de mètres plus loin, dans le lotissement le plus récent du village, était installée la famille typique de la classe moyenne. Le père, Pierre, opticien ; la mère, Claire, secrétaire de mairie (à Noath) ; leur fille Aurore et son frère Guillaume. C'était la famille Dupuis. Les habitants de ce lotissement entendaient à six heures chaque matin le chant des coqs qui venait du poulailler de la famille Alcaraz.

Famille vivant simplement, mais pleine de ressources, ils se nourrissaient des légumes de leur potager et des gibiers et poules de leur petit élevage. Isabelle Alcaraz, aide-soignante, gardait toujours dans sa poche le petit calepin ou elle notait les numéros de téléphone du voisinage. En effet, en vingt ans passés à Noath, elle et son mari avaient su se faire une excellente réputation quant à la qualité de leurs poulets, mais encore de leurs salades, radis et tomates. Juan Alcaraz était un travailleur manuel : il était menuisier. Leur fils cadet, Bénin, aidait également son père dans la même entreprise, pendant son temps libre. Ainsi, Bénin gagnait de l'argent de poche et ne manquait de rien. Linda, sa sœur aînée, était une jeune adulte qui avait obtenu son diplôme d'assistante de direction et exerçait ce métier dans la même entreprise de menuiserie.

De leur jardinet, on pouvait apercevoir la vieille bâtisse étroite et penchée qui se distinguait de tout le village par sa hauteur, sa couleur grisâtre et du doute qu'on pouvait émettre quant à la solidité de ses murs. Cependant, contrairement aux apparences, cette maison n'était pas abandonnée. Miranda Pépin, soixante-douze ans, y élevait son petit-fils Charlie, orphelin.

Toutefois, ce qu'il y avait derrière chaque porte de ces quatre familles, en apparence représentatives d'habitants lambda d'un village de campagne, était tout autre...

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