Login to Kifflire
icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon
SHARED LOVE

SHARED LOVE

LAURAH

5.0
avis
695
Vues
34
Chapitres

Prologue #LUI Vendredi soir, après ma sortie du boulot, je fonce chez moi rapidement me changer. J'arrive et me précipiter dans la chambre pour prendre une douche. Il faut dire que je suis déjà en retard, mais je ne me voyais pas débarqué en costume à un afterwork qui se terminera au bout de la nuit. Au sortir de la douche, je me nettoie le corps en m'observant dans le miroir. Moi( me souriant): Oui t'es canon mec! Et je le dis sans prétention mesdames. Je pense que l'amour de soi est ce qui donne cet assurance qui fait qu'autour de vous on vous regardera de la même manière. Je jette la serviette au sol, la dame de ménage ramassera et me dirige vers mon dressing, non sans m'être hydraté et mis un déo. Jean de Chez Dior, tee-shirt Balanciaga, veste en cuir Tom Ford, basket Nike Air Black to the futur, sans oublier ma montre Tambour Monogram mon incontournable. Je retourne devant le miroir m'occuper de mes cheveux puis parfum. Moi( satisfait): Let's go! Je prends l'une des clés de mes voitures, je ne sais pas laquelle j'en ai 4. Arrivé au parking de mon appartement j'actionne la clé et attend celle qui va s'ouvrir. C'est la Lamborghini Urus, un peu sérieuse pour ce soir, j'espérai que ce soit la Aventador, mais je me suis loupé. Pas grave, je vais me contenter de celle là. Je m'installe musique régler à la moyenne, le bruit à fond tel un tuche ce n'est pas pour moi. J'ai un nom, une réputation et images à maintenir dans ce pays. Je conduit d'une main en bougeant la tête en rythme avec classe. J'observe la circulation de ce vendredi soir, bruyant des rues de Cotonou. Comme moi beaucoup sont de sortie pour décompresser après cette semaine de travail. Pour ma part cela fait bien 3 semaines que j'étais focus sur un nouveau contrat qui m'a donné des sueurs froides au vu du chiffre à gérer. Je me suis interdit toute distraction pour rester concentré jusqu'à la dernière minute. A savoir ce soir où j'ai enfin fini la transaction. C'est le pourquoi de mon retard d'ailleurs. Et c'est aussi pourquoi ce soir je compte me lâcher complètement, je célèbre ma victoire qui me fera enfin obtenir le poste que je mérite. ( ça c'est une histoire pour un autre jour). Il est 22h moins quand j'arrive enfin retrouvé les gars dans le restaurant. C'est connu, si tu veux faire la fête jusqu'au bout de la nuit il faut d'abord prendre des forces.

Chapitre 1 Prologue

#LUI

Vendredi soir, après ma sortie du boulot, je fonce chez moi rapidement me changer. J'arrive et me précipiter dans la chambre pour prendre une douche.

Il faut dire que je suis déjà en retard, mais je ne me voyais pas débarqué en costume à un afterwork qui se terminera au bout de la nuit. Au sortir de la douche, je me nettoie le corps en m'observant dans le miroir.

Moi( me souriant): Oui t'es canon mec!

Et je le dis sans prétention mesdames. Je pense que l'amour de soi est ce qui donne cet assurance qui fait qu'autour de vous on vous regardera de la même manière. Je jette la serviette au sol, la dame de ménage ramassera et me dirige vers mon dressing, non sans m'être hydraté et mis un déo.

Jean de Chez Dior, tee-shirt Balanciaga, veste en cuir Tom Ford, basket Nike Air Black to the futur, sans oublier ma montre Tambour Monogram mon incontournable. Je retourne devant le miroir m'occuper de mes cheveux puis parfum.

Moi( satisfait): Let's go!

Je prends l'une des clés de mes voitures, je ne sais pas laquelle j'en ai 4. Arrivé au parking de mon appartement j'actionne la clé et attend celle qui va s'ouvrir.

C'est la Lamborghini Urus, un peu sérieuse pour ce soir, j'espérai que ce soit la Aventador, mais je me suis loupé. Pas grave, je vais me contenter de celle là.

Je m'installe musique régler à la moyenne, le bruit à fond tel un tuche ce n'est pas pour moi. J'ai un nom, une réputation et images à maintenir dans ce pays. Je conduit d'une main en bougeant la tête en rythme avec classe.

J'observe la circulation de ce vendredi soir, bruyant des rues de Cotonou. Comme moi beaucoup sont de sortie pour décompresser après cette semaine de travail. Pour ma part cela fait bien 3 semaines que j'étais focus sur un nouveau contrat qui m'a donné des sueurs froides au vu du chiffre à gérer.

Je me suis interdit toute distraction pour rester concentré jusqu'à la dernière minute. A savoir ce soir où j'ai enfin fini la transaction. C'est le pourquoi de mon retard d'ailleurs. Et c'est aussi pourquoi ce soir je compte me lâcher complètement, je célèbre ma victoire qui me fera enfin obtenir le poste que je mérite. ( ça c'est une histoire pour un autre jour).

Il est 22h moins quand j'arrive enfin retrouvé les gars dans le restaurant. C'est connu, si tu veux faire la fête jusqu'au bout de la nuit il faut d'abord prendre des forces.

Je rejoins mon groupe d'amis, le même depuis mes années lycée. Dès qu'ils m'appercoivent vivre les cris et le chahut. Pourtant ils savent que je déteste ça( et ils me le font. à chaque fois pour cette raison), mais pour ce soir je ne relève pas et me laisse entraîner dans l'euphorie mais juste un peu seulement.

L'ambiance va bon train, certains sont accompagnés de leurs compagnes qui ont ramené des copines, ce qui nous fait du beau monde.

Au sortir de là direction un bar, nous prendre l'apéro avant d'attendre 1h du matin pour se rendre en boîte.

On à notre salon réserver qu'on investi et la suite c'est des bouteilles de champagne qui remplissent la table plus à cause des femmes. Pour ma part je me contente d'un bon scotch on the Rock.

Lila( ou Lola... Laurenne?) bref une des filles du groupe me colle depuis qu'on est arrivé mais pour l'instant je joue l'indifférent. Les meufs trop accessible me donne la paresse et ma mère depuis petit à tout fait pour que je n'ai pas ce vice.

Pourtant elle est pas mal dans son genre mais j'aime chassé comme tout les hommes. Sachez mesdames que même si vous êtes intéressé, il y a des moyens de passé le message sans être rentre dedans. Si certains hommes apprécieront ( va savoir pourquoi) beaucoup d'entre nous déteste cela.

Après quand tu en chien, on prend, on en fait une bouchée et après ouste. C'est le moment des pleurs ensuite et de l'hystérie. Tu ne peut pas te vendre moins chère et espéré ensuite qu'on veuille t'erigé au rang de reine.

Je laisse Miss pot de colle ( c'est comme ça j'ai décidé de l'appeler), pour aller sur la piste bouger un peu. J'adore dansé, après vous l'aurez deviné je ne suis pas de ceux qui font les sauvage en engageant des pas de danses aussi compliqué que désordonné et finissent tout transpirant ( je grimace) on laisse ça à la populace.

D'ailleurs le club où on se trouve se veut Select et distinguées. Donc vous ne verrez aucune personne se jouer les sauvage ici. Tout est dans l'attitude et l'élégance, et dans ça j'excelle plutôt bien.

J'y reste quelques temps, puis je décide d'aller m'asseoir quand Miss peau de colle et ses copines nous rejoignent et que je la vois qui s'approche de moi.

En allant m'asseoir je suis attiré par une table non loin de la mienne constitué que de femmes un peu trop bruyante. Et vous l'avez deviné, c'est tout ce que je déteste, le manque de classe.

En allant m'asseoir le rafflut qu'elles font me fait encore posé mes yeux sur leurs table. Mon regard bloque sur un cul. Je beugue un moment dans ma tête, non pas qu'il est imposant non pas du tout. Il est juste incroyable, époustouflant.

Il est porté par une cambrure de rein ( à damné un saint) qui l'a rend sexy, attirante. Je descends un peu le regard sur des jambes interminables. Je le remonte sur un corps parfait ( à mes yeux) et quand j'arrive aux visages mon regard tombe dans le sien qui le soutient un moment avant de détourner le regard hautain.

Je hausse un sourcil !

Moi( souriant): Et de l'audace avec ça !

Sacré caractère je pense. Mon cœur fait un bon de joie dans ma poitrine. C'est l'excitation qui m'envahit quand je repère une proie de choix. Je continue de fixer mon regard sur elle et la détail du regard.

Jolie teint caramel, d'origine peulh ou méditerranéen vu les traits. Une corpulence moyenne, de beau cheveux mi-longs et une belle bouche rose elle est superbe. Elle tourne à nouveau le regard dans ma direction et nos regards s'imbriquent.

Elle me détail sans sourciller et fait la moue avant de tourner la tête. Je pose la main sur mon cœur. Ne serai-je pas au goût de Mademoiselle ? Pourtant sans vantardisme aucune je suis le goût de toutes les femmes.

Un instant je suis distrait par une main qui me secoue.

Miss peau de colle : Heu... je te parle depuis là, tu n'entends pas ? est-ce que ça va ?

Moi( la fixant): Ça ira quand tu m'auras lâché les baskets !

Elle se recule stupéfait devant mes propos un peu brutale.

Elle : J'essaye juste de faire la conversation avec toi, mais tu avais l'air ailleurs.

Moi( sec): Fait comme si j'étais pas là, que j'étais transparent.

Après ses mots je redirige mon regard vers l'objet de ma convoitise de ce soir. Elle s'était levé et dansait en se regardant dans le miroir. Je m'adosse confortablement et profite du spectacle.

Quand elle se retourne et son regard tombe de nouveau dans le mien et qu'elle commence un déhanché de malade mental. Je sens le Général se réveiller tout doucement de son long sommeil.

Je la vois se mouvoir et dansé avec grâce "sexy lady" de Nikanor qui passe alors. Et je trouve que cette chanson lui va bien et traduit parfaitement mes pensées actuelle

Au "Shake your body '' de la chanson elle amorce un twerk digne des plus grandes stripteaseuse américaine. La cambrure parfaite de ses reins qui bouge de haut en bas et se secoue dans l'air fait se levé un peu plus le Général comme si elle s'adressait à lui. Pour confirmer mes pensées elle se déhanche en tournant sur elle même et arrivé face à moi elle mime les paroles de la chanson en me regardant droit dans les yeux.

Attention à elle parce que si le général se met complètement debout elle risque de s'en sortir en y laissant des plumes.

Mais n'est-ce pas connu que les femmes aiment flirter avec le danger ? J'ai bien compris son petit jeu et je me lève pour lui montrer que ce n'est pas à un vieux single qu'on apprend à faire la grimace.

#Elle ?

Je sors en catastrophe de la maison pour rejoindre mon chauffeur déjà assis au volant. J'ouvre la voiture, le salut et prend place derrière. Pas besoin de lui donner ma destination, il est déjà au courant.

Mon portable n'arrête pas de vibré pendant que je peaufine mon maquillage. C'est les filles qui m'appelle sûrement à cause de mon retard. Je devais les rejoindre, mais j'ai été retenu par un dîner en famille qui s'eternisait et au sortir le temps de m'habiller il était déjà presque zéro heures.

Je pose mon rouge à lèvres et regarde enfin mon téléphone. J'envoie un message pour leurs dire que je suis déjà en route. Puis je redépose le téléphone et plonge mon regard sur la voie.

Je me laisse emporter par cette belle ambiance du début de weekend qu'offre la ville de Cotonou. À partir du vendredi je ne sais pas vous mais il y a comme un changement d'atmosphère qui s'opère dans la ville.

Les bars, buvette mettent le son à fond avec les lumières néon qui ornent les façades qui donnent un mood jovial et festive. Les restaurants sont pleins à craquer. Et dans les rues les jeunes sont de sortie pour s'amuser et décompresser.

Dans le centre ville, tu as l'impression qu'on est en journée tellement ça grouille de monde malgré l'heure avancer. L'humeur festive et joyeux m'atteint et je souris sans discontinuer.

Il faut dire que ça fait pratiquement 7 mois que je ne m'étais plus amusé comme ça. Que j'ai l'esprit reposé et le cœur léger de sortir m'amuser. Peu à peu je sens la panthère en moi se réveiller, ce soir je compte me lâcher comme jamais.

On arrive et je descends pour rejoindre les filles déjà à table. Je distribue des bises et en même temps des excuses à toute.

On à une tradition quand on sort en boîte. C'est d'abord des shoots pour bien commencer la soirée. C'est ce qu'on fait et j'en avale trois coup sur coup. On en est là quand en grande pompe une bouteille de champagne nous est livré.

On apprend que c'est offert par quelqu'un que nous doigte la serveuse. Nous tournons toutes le regard vers la table en même temps que le champagne est pété. On se regarde toutes en éclatant de rire. On nous sert et nous soulevons nos verres en direction de la table du généreux donateurs en riant. C'est toujours ainsi quand nous effectuons nos sorties entre filles.

Je ne sais pas qui il vise, mais pour ma part je ne suis pas intéressé. Je fais donc passer mon regard dans la salle pour voir les spécimen présent ce soir.

Mon regard accroche sur un individu qui danse sur la piste. Je le détail, grand teint matte, un corps athlétique. En connaisseuse je remarque sa mise qui traduit ses origines plus que aisé. Au moins un qui ne cherchera pas à profiter de moi je pense.

Il se tourne et je reste éblouie par lui. Mon cœur fait un bond de joie dans ma poitrine. C'est tout ce que j'aime. Il bouge en rythme tranquillement sans faire d'effort pourtant mais il en ressort que c'est terriblement sexy. Le charisme dans toutes sa gloire et vantard sur les bords vu l'air arrogant et sûr de lui qu'il aborde.

Je constate que je ne suis pas la seule à le réperé mais dans mon regard je lance bat les pattes à toutes ses gamines qui mouille leurs petites culottes en bavant. C'est ma proie à moi!

Je vois un groupe de filles envahir la piste et notamment une se coller à lui, mais il l'esquive en quittant la scène. Bon point ! Je détourne le regard. Première règle mes panthère quand vous repérez une proie surtout le genre vantard aux allures de mauvais garçon, ne le laissez pas voir que vous l'avez vu. Laissez le croire que c'est lui qui vous chasse alors que c'est vous qui mené le jeu.

Je détourne donc mon regard et trinque en levant mon verre a nouveau avec les filles en l'honneur de la troisième bouteille gratuite de champagne qui nous est livré. Le temps de boire en discutant un peu, je retourne mon regard vers l'objet de mes convoitise de ce soir et tombe sur son regard. Voilà c'est de ça qu'il s'agit, il croit qu'il est le premier à m'avoir repéré.

Je soutien son regard un instant l'air hautain puis détourne le regard. C'est juste pour le faire languir un peu. Pendant que je sens son regard sur moi, je fais mine de m'intéresser à autre chose, avant de retourner encore une fois vers lui.

Nos regards s'imbriquent électrisé, mais une ombre viens perturbé ce moment. C'est la même fille qui le collait un instant plus tôt. Je fais la moue devant cette tactique douteuse et ridicule en détournant à nouveau le regard. Je ne sais pas qui sait celle là, mais il à intérêt à s'en débarrasser, je n'aime pas ne pas être le centre d'intérêt d'un homme.

On se décide enfin avec les filles d'aller se défouler un peu sur la piste de danse. J'oublie complètement ma proie et m'amuse en dansant. À un moment le DJ passe Sexy lady de Nikanor, je kiffe ce son. Je me met doucement à bouger et mouvoir mon corps en me regardant dans le grand miroir en face de la piste de danse.

À ce moment je sais ce que je dégage au vu des regards que je capte. Je me laisse ensuite complètement emporter par la chanson, le rythme. Cette chanson est faite pour donner confiance à n'importe qui. Elle rend sexy féline sûr de sa séduction. J'engage un déhanché en me tournant sur moi même et quand je suis face à ma proie je le regarde droit dans les yeux et mime les paroles de la chanson. J'ai le temps de le voir se levé, lorsque je continue mon tour pour revenir à ma posture initial.

Je jubile en me disant qu'il s'apprête à venir vers moi, mais je le vois se diriger vers le comptoir et y passé une commande. Un peu déçu. Pour autant je continue de m'amuser sur la piste, puis je sens une main me frôler sur les parties nu de mon corps m'arrachant des frissons sur l'ensemble de celui-ci.

Je regarde la personne responsable de mon état et ce n'est rien d'autre que ma proie. Allons donc monsieur est joueur ?

Jouons donc monsieur Bad-boys !

# 2h 23 min du matin

On se chauffe depuis bientôt 2h avec ma proie. Je dois avouer qu'il est coréace car malgré tout ce que je fais il ne cède pas et moi donc je ne compte pas cédé aussi. Et donc depuis on se tourne autour sans se touché. Aucun de nous ne veux cédé la domination et le pouvoir sur l'autre. Car il s'agit bien de ça, d'orgueil... beaucoup d'orgueil et de deux prédateurs qui se reconnaissent. Il y à aussi ce feu, cette attirance indéniable qui crépitent depuis le premier regard entre nous.

Le temps se change en électricité autour de nous alors que nous sommes tout les deux sur la piste de danse. Toute la marée humaine que compte cette boîte y est d'ailleurs.

Normal vu que quand on est éméché on se lâche plus complètement. Bref je disais donc que au vu de l'heure et du niveau d'alcool dans le sang des gens, il y à un monde fou sur la piste.

Malgré ce fait je garde un œil sur lui et lui de même puisque nos regards se croisent souvent. Une nouvelle marée s'ajoute et fait qu'on se rapproche un peu plus. Moi je continue ma danse le regard toujours dans le miroir, j'aime me regardé de temps en temps en dansant.

Et comme dans un heureux hasard la chanson de niska feat shay ( liquide)passe. Ça traduit parfaitement le jeu qui se joue depuis bientôt plusieurs heures entre lui et moi. Je ne sais comment ( sûrement poussé par le monde) mais on se retrouve collé l'un à l'autre et nos regards se croisent au travers du miroir.

Lui( murmurant à mon oreille d'une voix sensuelle): Bouge pour moi!

Continuer

Autres livres par LAURAH

Voir plus
CONVOITÉ : MAREVA

CONVOITÉ : MAREVA

Romance

5.0

Chapitre 1 ~Mareva AGBO~ Elles( cris et joie): Joyeux anniiii-versairrrrrrre, joyeux anniiii-versairrrrrrre, Joyeux anniiii-versairrrrrrre Evaaa, Joyeux anniiiiversairrre. Djibé zan towééééé dié, Djibé zan towééééé dié, Djibé zan towééééé dié Evaaaaa, Djibé zan towééééé dié ( joyeux anniversaire en langue fon), happyyyyy birthhhhhdayyyy to youuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu.... Oh putain ! Je met mes mains sur mon visage morte de honte. Vous ne voyez vraiment pas ce que moi je vois actuellement. Trois folles dingues qui font un raflu pas possible au milieu d'un restaurant chic. Tout le monde nous regarde comme des extraterrestres ( rire). Quand elles finissent enfin de me chanté joyeux anniversaire dans toutes les langues qu'elles veulent ( mdr) je souffle sur mes 23 bougies et enfin elles s'assoient. Je demande au serveur de coupé une part de gâteau pour tout les clients en nous excusant au passage. Kamila ( qui m'a entendu, roulant les yeux) : Oh toi vraiment, miss pudeur reprend du service. Rya( me regardant): Ce n'est sûrement pas ce soir. Tu as demain pour redevenir sérieuse et reporter tout le poids que tu as déposé au portail de kam. Jenifer: Si tu veux demain matin je te reconduit chez elle tout récupérer au calme. J'éclate de rire dépassé. En effet plus tôt dans la soirée elles m'ont demandé de déposé mes bagages au portail avant de partir. Kamila ( regardant son téléphone): D'ailleurs c'est bon là, on y va. Moi: Où ça ? Rya (zen) : tu verras. Je ne dis plus rien. L'addition arrive, kamila sort son porte-monnaie pour payer mais on nous annonce que c'est déjà réglé. Le serveur nous montre la personne qui l'a réglé et qu'il voudrait ci possible avoir mon contact. Rya( joyeuses): Ah oui, je viens de me rappeler pourquoi on aime te trimballer partout. Moi: Tu veux dire quand vous êtes fauché ? Kamila : Ouh là fait pas ta rabat joie. Jenifer : En vrai quand t'es là, tu prends trop de lumière et on reste dans l'ombre, donc of course tu ne peux pas nous en vouloir. Moi(tournant des yeux) : C'est ça. ( Me levant) Géré comme vous voulez sans moi. Je les laisse à l'intérieur en sortant. Quelques instants plus tard elle me rejoignent et on s'en va toute dans la voiture de Kamila. Vous l'avez compris c'est ma soirée d'anniversaire et comme je suis très casanière et assez sérieuse en général mes copines on décidé de me sortir un peu. Non pas que je suis coincé ou timide, loin de là, seulement elles et moi n'avons pas les mêmes problèmes dans la vie. J'ai accepté faire tout ce qu'elles veulent à reculons parce que faire la fête ce n'est pas trop mon truc. Je me sens toujours un tout petit peu dépaysé dans cette belle ville qui est Cotonou moi ayant vécu au village jusqu'à mes 17 ans. On prend le chemin de la maison de Kamila donc je suis soulagée. Elles n'ont rien prévu de fou. Il faut dire que mes copines sont des filles de la ville en plus de venir de famille plus aisé que moi. Kamila carrément viens d'une famille très riche, pendant que Rya et Jenifer de la classe moyenne. Vous avez deviner que je viens d'une famille très pauvre, je dirai même plus que pauvre. Ma vie, ( gros soupire), parlons en puisque on est toujours pas arrivé. Je suis Mareva AGBO, fille de Stéphanie AGBO et Lucien AGBO. Je suis l'aîné d'une famille de 4 enfants. Après moi vous avez Suzy AGBO ( 17 ans ), Marcel (14 ans), Bénie (10 ans). Mon père est maçon, et ma mère vends des fruits et légumes au marché histoire de joindre les deux bouts. C'est de ses deux boulot qu'ils se sont toujours éreinté à nous offrir ce qu'ils peuvent. J'ai vu mes parents travailler toute leurs vie, sans jamais s'offrir quoi que ce soit, tout à toujours été pour nous. Sous la pluie, même malade mes parents se levaient toujours pour travailler parce que sans ça, on pouvait dormir sans mangé. Cela m'a rendu admiratif de les voir se donné autant, j'ai l'habitude de dire que mes parents sont mes dieux sur terre mais shuuut il ne faut pas le répété devant ma mère qui n'aime pas m'entendre le dire. Ayant été mis aux bans de la société, mes parents nous ont poussé sur la voie de l'école pour je cite ne pas avoir la même vie qu'eux. Par chance j'étais plutôt douée à ça sans vraiment faire d'effort j'étais parmi les meilleurs, jusqu'à ce que je prenne conscience pour devenir LA MEILLEUR. Je vous explique comment c'est arrivé, C'est simple. Quand toi tu arrives affamé à l'école avec seulement 50f en poche et que d'autres on 500f voir 1000f là tu te pose des questions. Quand ta tenue que tu portes depuis des années rafistoler de nombreuses fois et qui devient trop court pour toi est sujet de moqueries. Que tes chaussures, tu portes les mêmes depuis des années sont trouée et que t'as mal au pieds mais tu dois faire semblant pour éviter les railleries, en tant qu'enfant tu es révolté.

YVONNE

YVONNE

Histoire

4.0

CHAPITRE 1 Aujourd'hui devrait être le jour le plus beau de ma vie. Après tout je me marie avec l'homme que j'avais moi même choisis. Il a un beau physique et le plus important? Hé ben...... il était riche. Oui vous pouvez le dire je suis une garce, croqueuse de diamant et par dessus le marché manipulatrice et etc ... ( je vous laisse découvrir le reste). Mais on ne peut juger une personne qu'en étant a sa place. Ousmane il s'appelle, je l'avait rencontré dans un supermarché de la place. On s'était entre-apperçu dans les rayons, avant de se tamponné à la caisse où en plaisantant il ma proposé de payer pour lui. Évidemment le seul qui pouvait le faire, c'est bien lui. Par la suite on a gardé contact. Deux ans de relations après j'ai accepté de l'épouser. Pourquoi avoir hésité puisque lui le voulait depuis nos un an de relation. Pourquoi diriez vous ? Tout simplement parce que monsieur avait déjà deux femmes. YES 2, DEUX FEMMES oui oui vous avez bien lu. Alors j'ai réfléchi à deux fois même si, comme énoncé plus haut je n'ai aucun scrupule. Monsieur est musulman donc il a droit a 4femmes. Moi je suis chrétienne BAPTISÉ CONFIRMÉ cela a été d'autant plus dur et compliqué de prendre cette décision. Mais bon ma réalité m'a vite fait décider. En effet je suis issu d'une famille de 3 enfants dont un garçon et 2 filles. je suis la toute dernière de ma famille. Mon père est du corps armé et ma mère hé bien elle est juste ménagère. Eux sont nés au village quand mon père est entré dans l'armée ils sont venu s'installer en ville. Vers la fin de la retraite de mon père il est devenu alcoolique, ne payant plus que le sticte nécessaire le reste il le dilapidait dans la boisson. Ma mère a monté un petit commerce grâce à mon frère qui travaillait déjà. Les deux ont payé mes études a ma soeur et à moi. Je dois tout à mère et c'est en partie pour elle que j'ai fait ce choix. Je veux juste la rendre heureuse, qu'elle profite de moi, qu'elle soit à l'aise après toute ces années de souffrance. je pense que je lui doit bien cela. Vous me diriez de travailler et gagné mon argent mais dans ce monde et surtout ce pays vous savez comment les choses se passent. Sans relation, sans venir d'une grande famille, tu n'as aucune chance. Et quand tu es une femme, il faut vendre son corps pour pouvoir travailler. Alors quitte à le faire je préfère que ce soit de mon plein gré, avec quelqu'un que j'ai choisi et qui m'aime.

Inspirés de vos vus

Une autre chance avec mon amour milliardaire

Une autre chance avec mon amour milliardaire

Romance

5.0

Rena est entrée dans une liaison avec Waylen, un milliardaire, un soir où elle avait trop bu. Elle avait besoin de son aide, tandis qu'il était attiré par sa beauté. Ainsi, ce qui devait être une aventure d'une nuit s'est transformé en quelque chose de sérieux. Tout allait bien jusqu'à ce que Rena découvre que le cœur de Waylen appartenait à une autre femme. Lorsque son premier amour est revenu, il a cessé de rentrer à la maison, laissant Rena seule toutes les nuits. Elle a supporté cela jusqu'à ce qu'elle reçoive un chèque et une note d'adieu un jour. Contrairement à ce à quoi Waylen s'attendait, Rena avait un sourire sur son visage en lui disant au revoir. « Ça a été amusant, Waylen. J'espère que nous ne croiserons jamais nos chemins. » Mais comme le destin l'aurait voulu, leurs chemins se sont de nouveau croisés. Cette fois, Rena avait un autre homme à ses côtés. Les yeux de Waylen brûlaient de jalousie. Il a craché : « Comment as-tu pu te mettre avec un autre homme ? Je pensais que tu n'aimais que moi ! » « Comme tu l'as dit, aimais, c'est du passé ! » Rena a jeté ses cheveux en arrière et a rétorqué : « Il y a plein de poissons dans la mer, Waylen. De plus, c'est toi qui as demandé une rupture. Maintenant, si tu veux sortir avec moi, tu dois attendre ton tour. » Le lendemain, Rena a reçu sur son compte des milliards et une bague en diamant. Waylen est réapparu, s'est agenouillé et a dit : « Puis-je m'intercaler dans la file d'attente, Rena ? Je te veux toujours. »

Chapitres
Lire maintenant
Télécharger le livre