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À l'aube de mes sentiments 2

Chapitre 2 Chapitre 02

Nombre de mots : 2491    |    Mis à jour : 25/06/2022

ongé et je restais avec ma mère. Elle me remit le cadeau de Coumba. C’était un magnifique drap et un couvre lit accompagné d’une somme d’argent. Je me promis de l’appeler plus ta

tout ca car mon oncle ne voulait pas ca et personne dans la famille n’a jamais fait ce genre de chose. Elle refusait de se particulariser

uméro de la griotte pour lui dire que mon oncle n’aimait pas ce genre de choses et que le lendemain, on ne cuisinerait pas et qu’on se limitait juste à un mariage religieux. Elle écoutait un moment puis remerciait avant de couper. On attendait un peu anxieuse

des beignets et du jus de

u seras accompagnée par ta tante. Tu sais c’est une phase très importante

ir très douloureux. Ce que vous m’avez fait était

ton mari, ta tante sera à coté. Si jamais il y’a un problème,

s et non, je ne me laisserais plus faire. Je ne compte plus revivre ce que j’ai vécu. Et Rassoul

ine. Moi et Rassoul on a l’inten

le me regardait fixement, en pensant

rez nulle part. Et tu ne me feras

nçais-je en l

ait vendu son âme au diable. Quand ton père a voulu te donner en mariage à ton cousin, et que tu as refusé, j’en ai aussi entendu des vertes et des pas mures. Tes tantes m’ont accusé en disant que j’étais une mauvai

peine qu’elle a du éprouver durant ces périodes. Je l’éco

t que ces rumeurs t’aurais achevée. Mais on m’a appelé depuis Dakar pour me demander si tu étais enceinte ou pas. Et c’est ton cousin Ibrahima qui est allé véhiculer toute

ancetés. Ibrahima, qui m’avait tant aidé, qui m’avait même donné de l’argent quand j’avais décidé de partir, qui m’avait mis en rapport quelqu’un pour me conduire…non, ce n’était p

brahima, on a du beaucoup parlé pour le convaincre. On a du lui dire que c’est lui qui payait tes étud

ou maman est allé pre

st Ibrahima qui

urit fa

on retour. Il m’a dit qu’il t’aimait plus que tout et qu’il avait de bonnes intentions et qu’il ne le faisait en échange de rien. Que puisqu’Ibrahima traversait des di

y avait trop d’information pour ma petite tête. Je commençais à me sentir mal car ma tête tournait un peu et mes tempes bourdonnaient. Ma mère est sortie pour répondre dehors et je suis restée prostré à réfléchir. Donc ma famille pensait que j’étais une petite dévergondée. C’était vraiment faire un mauv

uva plongée dans

su bien attacher son pagne. Tu m’as compris. Ne me laisse pas encore subir une humiliation. Si tu pars avec ton mari, toute la famille a

étais plongée dans mes réflexions. Mon té

bien, demanda

pondis je

a ne vas pas

mère, chez

ue je passe

rentrer dans cet état. J’a

t. Je sors t’attend

et me tournai

e rassurer que je ne suis pas mauvaise encore moins dévergondée. Je suis une jeune fille. Ne t’en fais pas. Je ferais

a su me protéger de tout ca. Elle n’a jamais voulu me dire quoi que se soit rien que pour ne pas me perturber. Même lors du mariage avorté avec mon cousin

utre visage. Comment pouvaient elle penser tout ca de moi et quand même me sourire et être contente pour m

une mine d’enterrement. A une journée de ton

hez toi po

s’empêcher de me jeter des cou

cachet pour mes maux de tête. Après avoir bu, je me couchais et il se mit à

sais que tu avais prévu qu’on aille en lune de mi

ster pour

lui pris les mains pour m

ertain protocole. Je ne voulais pas, mais ma mère m’a parlé et

chérie, dit-il en f

ne savais pas comment formuler

tu as compris c

ain, je suis obligé d’

ire je le regardais avec un air qui se v

n’ai aucune envie le soir de ma nuit de noce, d’avoir tes tantes à ma porte à m’

s. Je restais assise sur le canapé et lui était parti dans sa chambre en rouspétant et en dis

ction de Rassoul je n’y tins plus. Je me mis à pleurer silencieusement. J’en avais marre et je crois qu’à cet instant j’avais juste envie de tout arrêter. J’étais couché sur le ca

r. S’il te plait. Je n’aime

nais d’un co

tiguée de tout ca. Je n’en

essembler à une folle qui faisait une crise. Rassoul un moment, m

toi ca

n sanglotant et au bout de quelqu

cet état, mon amour. Parle-mo

et rumeurs qu’elle a dut entendre et supporter. Il m’écoutait et co

ront raison de nous et dirons que j’ai préféré fuir, car je n’é

t quelqu

ncerne que moi. C’est moi qui serais ton mari, c’est moi que ta vie anté

moi. Il y a aussi ma mère. C’es

s la maison pour que tu puisses y passer ta première nuit, mais je l

e que je passe là bas ma nuit de noce. Donc p

toutes ses agitations, un petit moment de paix et d’amour ne me ferais pas de mal. Je m’écartais et le regardais. Il me sourit et

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