À l'aube de mes sentiments 2
a mienne comme pingre qui ne sait pas donner des térangas. Il ne dit rien et alluma la voiture. On arriva chez lui et il me demanda de venir quelques minutes. J'entrais donc et m'assis au salon t
famille. C'est pourquoi quand ma mère m'a dit qu'il fallait telle somme je n
si je ne
prépare toi pour dimanche. Je te promets de par
k m
outais tout ceci. La vie ne m'avait pas trop faut de cadeaux et j'espérais vraiment que ce choix serait le bon. Comme s'il avait deviné, il me dit qu'il m'aimait plus que tout et que lui était convaincu d'avoir fait le bon choix en m'épousant. Je lui dis aussi que je l'aimais beaucoup et que moi a
dis-je en me dégageant et en t
onçait les sourcils. Je baissais la tête e
te... en fait, ma mère...heuu
interrompit et m
ais Di
ais en écart
sais
andé à voir le gynéco, j'étais trop inquiet pour toi et j'ai demandé après à
as et je baissais
ller voir le gynécologue avant pour te rassurer et aussi pour que t
Ca impliquait beaucoup de choses et je baissais tellement la tête que mon
l ne faut plus être gêné devant moi et tu sais qu
s cotes tandis que je ne voyais rien de drôle dans cette histoire. Mon excision était encore un souvenir terrible dans ma tête et rien que d'imaginer enco
par la taille et nos visages étaient à quelques centimètres. Il me regardait intens
erver pour plus
core du mariage. Il me demandait d'appeler ma mère et de discuter avec elle. Avant de sortir il me remit une enveloppe et me demandait de la garder pour si j'avais besoin de me préparer
avides et qu'on ne devait pas accepter que les femmes amènent l'argent. Elle m'expliqua qu'on leur avait donné plus de 200 milles sur le million et malgré cela, elles se sont plaint car, il n'y a pas eu de retour d'argent sur le bijou. Elle ne faisait que me répété ce qu'elle avait glané ca et la et ne comp
st passé ta nuit
a du appeler l'exciseuse pour faire une autre incision pour permettre à son mari de la pénétrer à chaud. J'en eus des frissons et elle se mit à rire en disant qu'il fallait que je
e fit comprendre que ma future belle mère n'était pas très facile et aimait par-dessus tout le faste. Elle me fit remarquer aussi que mon mari avait fait tout ce qu'il fallait et qu'il avait donné beaucoup d'argent et
rgent et elle s'attend à ce que le dimanche on l
évoluer dans un épais brouillard. Le soir, je me décidais finalement à aller voir ma mère et elle se mit à se plaindre en se demandant quelle sorte de belle famille j'avais. Je ne disais rien et me contentais d'écouter ses complaintes et j'en eus des maux de tête. Elle me remit juste 200 milles pour mes préparatifs et me dit qu'il fallait qu'elle cuisine le jour de la fête et comme ceux qui avait amené l
uper. Après elle ce fut Moha. C'était Coumba qui l'avait mis au courant et il me dit qu'il était vraiment très content pour moi-même si il avait toujours espéré qu'un jour on serait ensemble. Je rigolais en lui disant que c'était trop tard. On parlait ensuite de choses et d'autr
ire une chose qui me tenait à cœur. Je me levais donc et m'habillais rapidement et je pris le chemin de la maison de maman Fanta. Arrivée devant la porte, j'avais le cœur qui battait très fort et les mains moites. J'hésitais entre rebrousser chemin et sonner. Avant de prendre une décision, la porte s'ouvrit et une dame se tenait devant moi et me regardait bizarrement. Je lui dis bonjour et lui demandais à voir maman Fanta. Elle fronça les sourcils et me dit que je m'étais sur
ès midi et je devais aller voir ma mère pour voir ou ils en étaient avec leurs préparatifs. Je trouvais tata Fatou qui parlait à maman. Elle était en train de lui expliquer ce qu'elle devait s
dimanche et ensuite, donner aux belles sœurs je ne sais quoi. Non je ne le ferais pas. Pas parce que je suis pingre, mais parce que je ne connais pas ca. Si je commence maintenant, je ne sais pas
n grand. Elle m'a dit qu'elle va organiser une grande fête chez elle le dimanche et le soir après la cérémonie à la mosquée, les belles sœurs vont venir rendre visite à
auraient pu se garder d'amener ca. Son oncle a dit que demain, il n'y aura que la cér
un repas à la famille de Rassoul. S'ils veulent faire une fête pourquoi ils n
fâchée contre toi. Toi qui presque chaque jour était à la maison avec Coumba, pourquoi n'es
avais q
enir, mais j'étais complètement pe
ême culture que toi. Coumba m'a demandé de te remettre un cadeau, je l'ai donné à ta mère, elle te le donnera plus tard. Moi je ferais tout pour aider t