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À l'aube de mes sentiments 2

Chapitre 4 Chapitre 04

Nombre de mots : 3547    |    Mis à jour : 25/06/2022

tête avec un foulard. Je devais ressembler à une momie. Il y avait aussi une autre couverture blanche que j’ai passée par-dessus la tête et je m’étais assise a

a maison de Rassoul. J’avais confié à Fatou et Adja le soin de s’occuper de mes bagages et je commençais à ressentir les effets de la fête. J’avais des maux de tête et j’étais vraiment fatiguée. En plus mon ventre criait famine et je me rendis compte que je n’avais presque rien mangé de la journée.

e nous mettre à genoux et de faire le tour de la cour je ne sais combien de fois. Ma tante commençait à rouspéter mais personne ne l’écoutait. On se pliait et j’étais vraiment fatiguée. J’en avais marre et avait juste envie que tout cela finisse. Décidément je n’aimais pas la coutume wolof. Après cela on s’assit sur une natte, les jambes étalée et toujours la tête cachée dans les couvertures, j’entendis le père de Rassoul faire un discours en me souhaitant la bienvenue et chanter les louanges de sa femme qui selon lui a toujours su diriger de main de maitre la maison et que si je fais d’elle mon ami jamais je n’aurais de problème dans la maison. A cet instant je faillis m’évanouir tellement j’avais faim. Fatou, comme elle ne savait pas qui se cachait derrière les couvertures, je l’ai entendu glisser discrètement des beignets à ma cousine. Et cette petite affamée à tout manger alors que j’ai failli pleurer et que les discours tir

savais pas trop quoi faire. Maman Oussey accompagnée de toutes ses filles vinrent aussi dans la chambre pour me féliciter et me souhaiter la bienvenue. Je leur exprimais aussi toute ma gratitude. Vers minuit, mes amies prirent congé sans oublier de ma glisser à l’oreille d’être courageuse. Je leur souris machinalement et cherchait Rassoul du regard. Mais il était sorti raccompagner ses amis et un moment je restais seule dans la chambre avec ma tante et ma cousine. Ma belle mère vint demander à ma tante de la suivre pour aller dormir

i. C’est ma tante q

me demandait comment s’était

fatiguée et

chez moi. Si tu

is, prenant mon courage à deux mains, je

mbre se trouvait dans un coin de la maison, on a pu sortir sans se faire voir. C’est quand il a allumé la voiture que Sokhna est sorti pour voir et elle nous a fait un petit signe. J’a

nlevais enfin le voile et défit le foulard. Rassou

ure est to

s trois nattes sur la tête et comme j’étais fatiguée, j’avais de petits cernes rou

à travers le miroir. Il me chuchotait à l’oreille qu’il m’aimait et qu’il a attendu ce jour toute sa v

ré ici en me promettant

ais donc avec juste le pagne attaché à la taille et l’autre à la poitrine. Je courus au salon pour prendre le voile et me couvrir, et je tombais sur Rassoul. Il s’était changé et avait mis un teeshirt blanc et un short. Je me figeais et me crispais. Il me demandait ce que je faisais et je lui expliquais que j’avais renversé le plat et que je nettoyais. Il s’approcha et me demanda de laisser tomber et de venir me reposer. Il m’enlaçait et m’amen

me demanda t-

ent. J’

and ? J’étais la hie

’es pas rentré dans la chambre.

ouvre lit plié sur le coté et plein d’oreillers dessus.

ur de faire un malaise. Rassoul s’assit juste

’est pour t

mœurs, moi, elle m’a plus stressée. Je me levais et dis à Rassoul que je devais aller aux toilettes. Je m’y enfermais un bon moment puis ne sachant que faire, je ressortis. Il n’y avait personne dans la chambre et j’ouvris mon sac pour voir quelle tenue mettre. Mais Adja n’y avait rangé que les bouts de tissus

en me jetant depuis tout à l’heure tes regards pleins d

’épaule et ceci me décrispa

uis un peu str

et me regarda avec

e t’aime et je ne t

. Il me dit même qu’elle avait l’intention d’aller au salon car elles pensaient que j’allais venir dire bonjour à la famille après la cérémonie de la mosquée. Il disait qu’elle voulait faire un chignon et il l’a retenue en la suppliant de ne pas faire ca. Là, je ne me retins plus.

u pour me regarder. Ses yeux brillaient et un peu gênée, je me cachais les seins. Il sourit et enleva prestement son teeshirt avant de revenir et de m’écarter les mains. Mon cœur battait très fort et j’avais vraiment peur. Ma

pour me regarder et je croisais les jambes espérant cacher le maximum. Il sourit et se remit à m’embrasser partout. Il arriva un moment à mes lèvres et se remit à m’embrasser. Il se releva e

voir ce qu’il

je maintins encore sa main. Il ne forçat pas et se contenta de me regarder avant de m’embrasser. Il en profitait pour libé

it et m’attira à lui. Je sentais son membre bien dur sur ma cuisse et un moment je me dis que j’allais mourir aujourd’hui. Tout le calme que j’avais partit d’un coup et une vraie frayeur s’installa. Il continuait à me caresser, à m’embrasser et à me murmurer des mots doux, mais cette fois, j’avais vraiment peur. Je voulais le repousser, mais je me retins. Il voulait m’écarter les cuisses mais je les maintenais fermement collées. Cette fois, malgré les mots pour me

rier voyons. Les vois

fatigué et il

Dis-je en me tenan

laisse mo

observa attentivement. Pu

s’il ya des problèmes

ira bien. J’avais parlé à la gynéco et elle m’a dit qu’on

t ca faisait mal qu’est ce que ca serait s’il y arrive. Il se leva, ouvrit un tiroir et sortit un flacon. Ensuite il r

up souffrir quand

oucement en m’embrassant. Ensuite, il se pencha encore et recommençai les séances de caresses. Malgré tout, je n’arrivais pas à me détendre, mais je le laissai faire toute crispé. Je sentais qu’il me mettait un liquide sur la partie déjà douloureuse à cause de la première tentative et il m’expliqua que c’était pour faciliter les choses. Encore une fois, il essaya, cette fois en appuyant plus fort et je criais tellement c’était douloureux. Je me débattais m

chérie. Excus

je me calmais quand même. Il me retournait doucement et on se fit fa

faire aujourd’hui mon cœur, si c’est trop doulou

re que ce n’

e fini, je préférais mourir que de continuer. Ma question le fit rire

e toute façon je te la

ce qu’on doit dire à ma tante demain si rien ne se passe aujourd’hui. Entre la d

-je tout doucement, après qu

prestement comme s’

es

sûre mais avais-j

e tira à lui en déposant un

ux, j’allume la voiture et demain

à me détendre un peu, car il frottait sa jambe contre la mienne, me caressait les seins et je repoussais ses mains, s’amusait à se coller complètement à moi malgré mes protestations. Mais il répétait que j’étais à lui et me serrait au

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