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Enfants du soleil et la lune : Les Cosmoshéros Ultimes

Chapitre 3 Le commencement du fils du soleil...

Nombre de mots : 11307    |    Mis à jour : 16/04/2021

sur les étagères de la boutique. Des senteurs sucrées et florales embaument toute la pièce. C'est le début de matinée en ce commencement du mois de janvier. Noël et les f

se rappelle tout en ce lundi matin à huit heures tapantes. Le visage de ce jeune homme fait alors à nouveau son apparition

eter un parfum. Elle l'appelle encore et encore jusqu'à ce qu'elle sorte complètement de sa léthargie.

était complètement soul et sans envergure, il a tout de même osé s'opposé à ces trois hommes à ce moment-là ! Une témérité à toute épreuves, il n'a rien à envier à personne et elle n'a m

t de côté sa présence. Elle s'est levée sans se retourner et n'a pas regardé par-dessus son épaule, la culpabilité l'envahit alors sur l'instant jusqu'à en perdre haleine. Elle c

riste et que les gens découvrent son mal-être. Les problèmes doivent rester au placard à partir du moment où on franchit la porte de la boutique même si c'est très dur pour ell

d'aide à cette époque plus que quiconque au monde. Sa détresse et sa tristesse elle les a compartimentées et ran

d pendant plusieurs années jusqu'à qu'elle retrouve la parole à l'adolescence. Ça l'a tellement traumatisée que la femme pe

et se tient debout fièrement pour affronter la vie. Ainsi, elle peut tourner la page et mettre de côté ces drames. Puisq

uvoir glacial ne fait plus effet aussitôt après. Elle a compris pendant le week-end d'avant que dès que le soleil est haut dans le ciel, son anor

Ensuite à son tour vient la glace, voilant son environnement proche via son souffle glacial impénétrable… Et ça dès qu'elle touche ou effleure un objet avec ses petits doigts fins.

l'a vu être soulevé dans les airs lui aussi. Alors que la « Lueur Divine » de l'éclipse l'atteint pourtant sans lui faire le moindre mal cependant. Juste avant de s'évanouir, elle se sou

c à préparer ses affaires pour rentrer chez elle. Ça a été rude et intense mais c'est fini maintenant... Journée harassante avec beaucoup de clients. En

que celle-ci décline à chaque fois qu'elles le lui proposent, prétextant une excuse de courses urgentes à faire. Cependant, cette raison semble toujours bien bidon aux yeux de tout le monde. Évide

par partir sans elle et sans se retourner en même temps qu

petit pincement au cœur, car elle aimerait beaucoup aller s'amuser avec elle mais c'est chose impossible ! Car elle n'a d'autres choix que de s'exécuter amèrement. Depuis deux semaines, elle est comme une luciole dans la pr

parents. Pour que personne ne puisse la regarder avec ces yeux-là, ceux qu'on lui a jeté froidement à leurs morts. Ce regard emplit de pitié, d'amertume et compatissant qu'elle déteste par-dessus tout... Oh que oui ! Elle le connait par cœur ce regard-là avec les c

! Puisqu'ils ne l'ont jamais vécu et ne vont sûrement jamais le vivre, que des hypocrites à perte de vue qui se permettent de se mettre une seconde à sa place. Cependant, ils ne ressente

s elle ne l'oublie pas. Aucune chose dans ce monde ne savait la rendre plus heureuse que ses parents. Mademoiselle sanglote discrètement sur le chemin du retour jusqu'à chez elle, elle se rappel

vendre c'est indispensable. Et l'agression l'a achevée niveau moral. Il est dans ses chaussettes et elle fait tout pour ne le laisser paraître aux yeux de personne. C'est très difficile mais elle y parvient souvent. Puisqu'elle est comme cela : introvertie, douce, et également forte et puissante émotionnellement, elle ne laisse absolument rien entr

de mille feux d'un éclat magique et féérique. Puis, s'en suit le froid glacial habituel d'un matin de décembre sous la neige. Il envahit alors son être de toute part cependant, elle-même ne ressent que chaleur d

répressible et inextinguible l'assaille alors chaque soir venu. Une force et une énergie démesurées presque irréelles s'emparent d'elle de part en part à ce moment-là. Une aura miraculeuse l'enveloppe alors et sa lumière divine s'en retrouve presque mystique, à tel point qu'elle est incroyable ! C'est quelque chose d'inexplicable qu'aucun scien

! Des paillettes de flocons de neige, sont laissées sur son passage. La température alentour chute brusquement et l'air est instantanément glacial et embrumé. La puissance de son souffle est telle qu'elle pétrifie tout sur son passage ! Le gel se propag

ue peut être prit dans ses filets ne peut s'en dégager aussi facilement. La jeune femme s'amuse follement et décide de totalement se lâcher ! Elle s'éclate de trop et en rigole à pleins poumons ! C'est tout bonnement incroyable ! Une sensation indescriptible ! Une liberté et un bien-être absolus voil

à coup hors du sol à une vitesse extrême et à une hauteur vertigineuse, c'est comme avoir des chaussures à propulsions ! Elle est tout en haut dans les airs toucha

ens ne regardent jamais vers le ciel mais plutôt vers le sol, toujours pour éviter les ennuis, quelle tristesse… Elle se projette un temps, et décide d'utiliser son gel autrement. Elle se créer alors un pont de glace face à elle pour pouvoir se déplacer avec aisance

ne peut vivre cette expérience folle et hors-du-commun si elle a été comme avant ce soir fatidique qui l'a littéralement transformée. Et pour rien ne monde, elle ne souhaite redescendre de là où elle est c'est hors-de-question, mais force est de const

perte de vue. Aucun nuage à l'horizon et la brise est rafraichissante. Un spectacle naturel absolument magnifique s'offre alors loin devant elle. Les maisons, les immeubles, les quartiers glauques et craignos ainsi que la vill

de lune qui l'inonde alors de ses rayons. Sa longue chevelure sauvage et indomptable flotte dans les airs, luisante de paillettes. La fille est absolument splendide, magnifique. Elle représente toute la beauté cosmique et mystique de la lune ; entrecroisée

cet instant précis, elle se sent enfin revivre depuis bien longtemps. Tous ses problèmes et ses tracas quotidiens envolés, disparus au loin dans la stratosphère de cette nuit idyllique… Avant que tous ces événements tragiques n'aient lieux dans s

oiselle doit toujours se contrôler pour ne pas laissé échapper le moindre souffle glacial en dehors d'elle. Et la fille s'en sent pleinement capable et avec le temps va parvenir très certa

lus vite qu'elle le croit ! Elle se ressaisit tout de suite et à moins de cinq mètres du sol, se rattrape sur une couche de glace à la fois épaisse et moelleuse. Parce qu'elle peut aussi moduler sa dureté en fonction de ses env

lus tard. Elle profite bien et va renouveler l'expérience de nouveau à l'avenir, pour sûr, elle ne peut tout simplement pas s'arrête

ssi à me confectionner tant bien que mal une tenue entièrement recouvrante et isolante. Je suis plutôt doué de mes mains car quand on est orphelin, faut savoir se débrouiller tout seul très tôt. Et on ne peut compter que sur soi-même et pas du tout sur les autres,

sont superposés entre toutes les couches de tissu carbone. Ce vêtement recouvre entièrement mon corps, et ne laisse entrevoir aucune lumière. Elle ne peut pas s'en échapper. Celle-ci est prisonnière tout comme ma chaleur. Je porte aussi un bonnet de la même matière, et un masque ne laissant dévoiler que mes yeux et ma bouche. Aucun fragment de ma peau n'est exposé au monde extérieur, c'est comme la panoplie complète d'un ninja. Pour ma sécurité et pour n

tat normal, donc il passe l'éponge. Je reprends donc le boulot l'air de rien, et reste dissimulé derrière ce vêtement hors-norme. Il me permet malgré tout d'être moi-même et de pouvoir vivre u

e à la noix. Cependant, je dois faire très attention au fait de garder à tout prix cet affublement sur moi, toujours. Peu importe la raison, il fallait vraiment que je ne l'enlève sous aucun prétexte. C'est très important pour que personne

e supérette bon marché, non loin d'ici. Ça doit être à dix ou quinze minutes de ma station essence, ni plus ni moins. Les flics et le commando armé du GIGN sont sur place. Et ils sont aussi sur le pied de guerre.

kalachnikovs à chaque bout de bras, et de grands couteaux de cuisine à l'intérieur de leurs vestes. Cinq autres ont des grenades dans leurs poches de pantalon, ainsi que des flingues dans chaque main, accompagnés de poings américains. Les deux autres se portent comme kamikaze autoproclamés. Des bombes à retardement avec de la dynamite jonchent leurs poitrines. Je peux discerner des

chair à canon putain ! Ils sont tous terrorisés avec une expression faciale de souffrance et de désespoir sur leurs visages graves, ils sont certains d'y passer. Leurs cris et leur désarroi m'

rs tâches concernant les braqueurs ou la prise d'otage. C'est pitoyable, j'enrage de haine envers eux tellement ils sont inutiles ! Ils n'en ont clairement rien à foutre des Ouroboriens (habitants d'Our

fond de moi... Dix minutes passent jusqu'à ma pause déjeuner et avec elle ma réflexion sur les événements en train de se dérouler juste sous mes yeux. Il faut s'exécuter rapidement putain, leurs vies sont en danger là, ça craint un max ! J

sser pour réaliser ses rêves les plus chers et parvenir à s'en sortir envers et contre tous. Mais la lumière est au bout du chemin comme on dit. Si le monde entier te laisse crever tout seul sans t'aider alors c'est t

ils le veuillent ou non, que les forces de l'ordre soient là ou non. Telle est ma détermination et mon appétence pour la justice. Ouroboros va changer et je vais y veiller personnellement, croyez-moi. Je trace donc ma route en toute hâte en direction de l'épicerie à une allure phéno

e ne sais rien. Un pouvoir qui est en train de chambouler complètement ma vie. Ce sentiment de toute puissance et d'acte de bravoure mêlés au besoin de justice que j'ai au fond de moi, Ouroboros en a désespérément besoin et je suis là juste devant elle à pré

ntense que je dégage défile derrière moi au fur et à mesure que je coure. On ne peut pas savoir qui je suis car mon éclat surpuissant ne définit rien d'autre de m

ardent et me prennent pour un fou ! Je suis une bête de foire, ils n'en reviennent pas ! Ils sont abasourdis, pestant pour d'autres et terrifiés pour certains. Il faut dire qu'ils ne voient jamais pareille

ribuer à la panique et la psychose collective. Une aubaine pour moi sur le moment car personne ne me voit de là-bas, les regards et les attentions sont tournés sur le braquage même avec mon écla

faufile sans un bruit à l'intérieur. Ce n'est pas très bien éclairé et l'humidité ainsi que la moisissure envahissent vraiment les lieux. J'entends les pleurs et les cris des otages venant d'en haut, martyrisés et traumatisés par les braqueurs. Je dois me la jouer finement, pour ne pas me prendre de balle ou crever sur le coup. Il faut que je trouve un plan d'action et vite avant que qui que ce soit

remontent tous les deux sans m'apercevoir, heureusement... Le voyou n'a pas non plus remarqué la fenêtre cassée par laquelle je suis entré. Il n'y fait pas attention car elle est dissimulée elle aussi derrière d'autres étagères de produits. La chance est au goût du jour, et surtout à mes côtés. Ils sont vraiment trop stupides de ne pas surveiller l'entièreté du bâtiment ou en désignant

mettre tout le fric qu'il y a dans la caisse dans un sac de voyage. Puis, il lui ordonne sans plus attendre d'aller prendre le reste de l'argent du coffre-fort. Il est derrière une fausse bibliothèque réversible dans le bureau du patron de l'épicerie. Manifestement, ils

sont habillés comme des militaires près à l'assaut final. Ils font peur à voir pour des criminels débutants, mais pas à moi. La foule crie à en perdre haleine dehors c'est insupportable pour moi. Une pression de réussite et de justice m'envahit alors ostensiblement encore plus. Je suis tel

spoir, la joie, la justice et ce sentiment de sécurité que la population ne connait plus depuis bien trop longtemps maintenant. Ainsi que répondre à l'appel à l'aide de cette ville qui attend désespérément depuis tout ce temps quelqu'un pour venir la sauver. Je décide que ça va être moi et personne d'autre ! Cette cité ne peut plus se permettre d'attendre pl

t pour cette population va être sans faille, je viens de me le promettre à jamais. De plus une fois que je vais être engagé dans la bataille, aucun retour en arrière n'est envisageable je dois aller jus

également dans la réserve. J'entends parfaitement et distinctement toutes leurs conversations de là ou je suis, sans pour autant les espionner ou tendre l'oreille. Mon ouïe est surdéveloppée mais seulement la journée, le soir el

hnikovs sont autour de deux ou trois victimes chacun pour les garder. Ensuite, les trois autres avec les grenades gardent d'autres otages eux aussi mais encerclent le tour de la boutique et les deux autres du même acabit sont sur le toit, guettant les moindres faits et gestes des f

n ont quand même rien à foutre qu'ils tuent des civils, c'est évident. Sinon ils attendraient plus longtemps, quelle poisse ! Il faut que j'agisse maintenant ! L'assaut est bientôt imminent. Ces fumiers de force de l'ordre je les déteste au plus haut point, ils sont pires que ces criminels car ils sont prêts à laisser mourir des innocents pour le bien commun c'est hors de question !! Mon plan dans m

si que la fonte de ma peau, sont sans égales toujours plus fortes et ardentes que jamais. Je suis aussi lumineux que le soleil, lui-même ne peut pas faire mieux. Pareillement, ça me défonce les yeux bien comme il faut encore, je les garde donc fermés. Néanmoi

à trois mètres devant moi, là où est un des braqueurs qui garde l'entrée du magasin, il est de dos. Et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, il est assommé sur le coup et il n'a rien ven

i se déroule là sous leurs yeux consternés. Ils toussent tous à cause des particules et ont également les yeux clos. Ils ne voient rien et j'en profite aussitôt pour me déplacer à la vitesse de la lumière sans crier gare. En deux secondes chronométrées, je me dirige vers les assaillants qui veillent au grain sur les otages

communiquer entre eux ni réagir face à moi. Un par un les uns après les autres, je les démonte tous ces fils de pute purement, simplement et proprement, i

énaline est à son paroxysme, je suis surexcité bordel de merde ! Je réplique automatiquement et ils tirent sans me voir, Ils n'arrivent pas à me distinguer vraiment et c'est un coup de chance pour moi, car ce qu'ils viennent de me faire c'est clairement une atteinte personnelle à mon corps

de la pièce après que je batte chacun de leurs ravisseurs les uns après les autres. Je les rassure alors autant que faire se peut, et je leurs intime promptement l'ordre de se diriger vers la réserve en bas, où la fenêtre cassée les attend. Pour qu'il

onie heureusement. Car j'ai retenu difficilement mes coups ainsi que la chaleur que je dégage pour ne pas leurs briser les os ou les liquéfier totalement. Bien-sûr ils sont toujours vivants et conscients à la différence qu'ils ont de

er, car je suis toujours plus rapide que la vitesse de l'éclair et aussi vif qu'une tornade. Un cocktail de plomb à l'arsenic, non merci ça ne s

t où je suis car ils ont toujours les yeux clos. Et vu que j'ai déjà été bien touché auparavant, je ne vais plus me faire avoir par ces petites bites, tout est fini pour eux. I

elles ne touchent aucun otage ni criminel. Car je ne suis définitivement pas un meurtrier, je ne fais que rendre la justice divine au travers de mes poings d'expiation éternelle ni plus ni moins que ça, vu que la justice des hommes est stérile… Leur châtiment n'en est que plus doux croyez-moi, en taule à

ne merde a plus de décence que lui… Après que je me retourne soudainement, je réussis donc à le maîtriser lui aussi en lui balançant un bon uppercut du droit bien placé dans sa face et un bon coup de grolle dans ses petites couilles molles ! Là, pour sûr il comprend tout de su

s monstres pieds et poings liés. Puis, je les enferme dans un placard à balai situé derrière la caisse, assez grand pour les contenir tous les huit. Je les empile les uns sur les autres comme des saucisses. Je leurs bâillonne la bouche pour que le bruit de leurs pl

ue les forces de l'ordre et les paparazzis ne me prennent au dépourvu et s'aperçoivent de ma présence en ces lieux. Bien qu'avec tous les flashs des objectifs présents qui clignotent autour de la bâtisse, ça doit déjà être chose faite ou ce n'est qu'une question de temps encore avant que ça

faufilent à travers l'escalier avec un aplomb et une vélocité foudroyante ! Autonomes et intrépides, mes pieds me dirigent droit devant comme une flèche sur mes ag

dessous à ce moment-là, pensais-je rassuré. Je n'y vais pas de main morte visiblement, désolé pour tous ces civils innocents mon pied vengeur n'en a pas fait exprès ! Un grand BOUM éclate

es braqueurs contemplent brusquement à travers la lunette de leur viseur une lueur puissamment vive et voilée d'un halo de chaleur inouï ! Sur le toit, tout n'est désormais plus que sauna, désert aride du Sahara avec une fournaise caniculaire. Le béton goudronné sous nos jambes, se déforme sous le feu ardent que j'émane. La flamme brûlante de ma rage se p

ur vue minable. Les balles filent comme le vent en face, sur les côtés et en-dessous de moi. Sans parvenir à m'atteindre, parce que je les esquive avec une facilité déconcertante. Je ne sais trop comment là encore, mais j'acquière semble-t-il depuis un moment sans le savoir une souplesse et

fondre littéralement sous ses yeux. La température dépassant celle du soleil et de très loin sans exagération aucune. Ma surbrillance l'aveugle alors totalement mais il sent tout bonnement partir son sniper à l'intérieur de se

pression là se manifeste sur sa frimousse, celle quand on sait que tout est fini que tout espoir est perdu à jamais. Et qu'il n'y a plus aucune solution et qu'on doit fuir pour sauver sa vie quoi qu'il en coûte, puisque personne ne viendra à leur secours malheureusement là tout de suite… Puis abandonner ceux qui restent à leur propre sort funeste, sans aucun scrupule ni remord et encore plus son propre partenaire… ça me mets dans un

ns non la ronge de l'intérieur et c'est ce crime environnant mais surtout ces gangsters qui en sont la cause et n'en ont rien à foutre du destin de cette cité ! C'est le genre de personne dont on doit se débarrasser sans regret parce qu'Ouroboros n'en a pas besoin. Parc

st en train de prendre ses jambes à son cou pour déguerpir loin d'ici. Néanmoins, mon emprise reste quand même la plus forte c'entre nous deux. En peu de temps qu'il n'en faut pour le dire, je l'intercepte et maîtrise mon

rité pour nous protéger du néant ! Ma tête n'est désormais plus soutenue par aucune surface solide où que ce soit, rien, nada. Merde, fais chier, dans quelle situation je me suis foutu moi encore, quel con ! Je continue à ret

ant de toutes ses forces mais ma chaleur le déstabilise alors soudainement. Il pousse brusquement un cri rauque audible à plusieurs kilomètres à la ronde. Je réussis à prendre l'avantage d'un coup d'un seul en le basculant promptement en arrière avec la toute-puissance de mes jambes ! Il chavire donc par-dessus mes épaul

à l'intérieur de ma paume en toute connaissance de cause si jamais il m'entube. C'est pour qu'il ne se crame pas les doigts à mon contact en remontant. Subrepticement, il se met à murmurer un dialecte incompréhensible dans une autre langue et refuse alors ma ma

brusquement pour me projeter à terre avec une rapidité incroyable. Je n'ai pas le temps de réagir car tout va bien trop vite. Je panique quand je vois mon corps partir en avant la tête la première et baissée dans le vide. La mort m'accueille à bras ouverts m

ute fatale… Je ne pense à rien d'autre qu'à ça maintenant… Le criminel s'écrase avec fracas à terre cinq minutes avant moi, je le regarde il a les os brisés, la nuque en mille morceaux et du sang est éparpillé partout autour de lui. C'est quand même une v

aussi à ma chaleur. Ça sent le goudron chaud c'est à la fois fort, toxique et ça schlingue beaucoup putain. Cette cavité est causée par ma chute titanesque du sommet de l'immeuble, trente mètres de hauteur nous ont sép

dehors de mes plaies ensanglantées où les balles se logent, tout va pour le mieux. Je n'ai mal nulle part et mon corps se porte à merveille, malgré les douilles. Je commence frénétiquement à remonter le long du cratère avec force, v

je dois me dépêcher, il est déjà treize heures dix passées et je reprends le travail à quatorze heures tapantes ! La flicaille commence à investir les lieux je dois prendre la poudre d'escampette au plus vite avant que qui que ce soit n

ut que je file là sinon ils vont remarquer ma présence et se demander ce que je suis et ce que je fous là ! Je décampe donc en quatrième vitesse à travers les ruelles étroites et sombres d'Ouroboros pour regagner la face arrière de ma station. Il faut absolument que je remette m

r se refermer soudainement avec mon dos appuyé dessus. Les mains derrière moi, j'expire tout de même un soupir de soulagement et de satisfaction après cette bataille acharnée et dangereuse. Je peux me détendre à nouveau après tout ce remu ménage, je suis content que

t fort heureusement pour ma part ah ah ah. Toutefois chaque jour à chaque heure, à chaque minute et à chaque seconde je vais être là pour les contrer et faire régenter la justice en ces lieux français. Où le peuple souffre, où le peuple se meurt et où le peuple est totalement gagné par l'ignominie. Cette France je vais la faire revenir à son état d'origine, la faire reconstruire proprement, la faire revivre et la

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