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Enfants du soleil et la lune : Les Cosmoshéros Ultimes

Chapitre 5 Union cosmique indéfectible

Nombre de mots : 5682    |    Mis à jour : 26/04/2021

ite station-service miteuse, à la façade vétuste et à l’aspect délabré. Elle est comme la plupart des commerces du coin, vieille et insalubre. La boutique de cosmétiques de la jeune fille es

La jeune femme ne sait pas quoi faire, continuer de chercher au risque de trouver quelque chose d’intéress

le lendemain dans la station-service pour voir si elle ne trouverait pas quelque chose d’intéressant sur les lieux là-bas. Qui sait peut-être qu’il travaille ici ? non, impossible se dit-elle, il ne serait pas aussi imprudent que ça ! Rigole-t-elle intérieurement. Mais vaille que vaille, coûte que coûte, elle va le dénicher où qu’il soit et où qu’il se cache car elle se le jure sur son âme et conscience ! Elle ne va pas laisser tomber aussi facilement pour sûr ! Pour décompresser, et continué d’apprendre à maitriser ses nouveaux dons de la nature, elle retourne de nouveau au sous-bois. Celui qui a définitivement marqué

saouler je rebosse le lendemain. Il est vingt-trois-heures trente, je décide donc de couper à travers bois pour pouvoir rejoindre mon appartement plus rapidement. Comme à mon habitude auparavant, j’empruntais régulièrement ce chemin, c’était avant le jour où tout a basculé dans ma vie… Je chemine donc tranquillement par la charmille habituelle,

ificence féérique et immortelle, une déesse lunaire somptueuse emplie de pureté, de grâce et d’élégance… Une femme comme on en fait peu ici en France, surtout à Ouroboros. Car les femmes ici s’habillent en homme pour ne pas se faire agresser dans la rue, passer incognito et se confondre avec une personne du

opposé de la mienne… Elle est comme une luciole dans l’abîme profond de la nuit noire, comme un phare éclairant la pénombre loin à l’horizon. Alors que moi, je suis plutôt le soleil ardent et flamboyant au zénith, dans un ciel sans nuages et embrasant la terre, l’air et l’eau. Elle est entourée de glace givrante et d’un froid rude et intense. Des flocons de neige et de gel enclavent ses mouvements, son corps ainsi que l’espace environnant. La température a grandement chuté dans les environs, et

brise également avec fracas de nombreux arbres en manipulant son froid glacial. Elle vole aussi très haut dans les airs, elle rigole, ses éclats de rires emplissent complètement ce ciel nocturne dégagé et les environs désolés de cette forêt désertique. Je ne peux pas regarder

emble heureuse et prend autant de plaisir avec ces nouveaux pouvoirs. Ils ont l’air tout aussi dangereux que les miens toutef

crois que je me suis fait repérer, putain quelle merde bordel !!! Je me tourne dans sa direction pour observer où elle est et elle regarde partout autour d’elle ! Elle a l’air méfiante, apeurée et très stressée mais elle ne sait pas où je suis et elle décide d’un coup d’un seul de partir en courant comme si ça vie en dépendait après avoir crié un : « - Qui est là ? ». N’ayant obtenu a

ité hors norme. Putain de merde ! Fais chier ! Elle m’a filée entre les doigts alors que j’étais à un cheveu de la rattraper et de lui demander qui elle est et comment a-t-elle eu ses pouvoirs… C’est trop tard, elle est déjà loin à l’heure qu’il est, pfffff, quelle poisse, pensais-je alors. Dépité et particulièrement crevé après la journée que je passe, je décide après dix bonnes minutes sur place de repartir. Cela ne sert à rien de continué à la c

ment. Je gratte un peu la glace et j’aperçois un pendentif, enfin un médaillon en or pur pour être exact. Il doit coûter super cher ce truc surtout ici, on ne voit pas de

suis sûr que ce collier n’est pas là par hasard, il appartient à la jeune femme que j’ai vue juste avant, j’en suis persuadé ! Bon eh bien, vaille que vaille je le garde avec moi avant que quiconque de mal attentionné ne mette la main dessus et ne le revende à la première occasion. C’est un bien d’une valeur inestimable et surtout d’une valeur sentimentale, c’est sûr. Ça doit lui faire beaucoup de peine de l’avoir perdu, je vais veiller au g

rière cet arbre tout à l’heure, fais chier bordel ! Elle est vraiment dans la merde là, le stress comme la colère lui montent tout à coup au nez. Son teint opalescent est devenu rouge vif, elle n’en croit pas ses yeux que quelqu’un puisse la voir alors qu’elle prend toujours bien ses précautions avant de venir, pendant et même après car le lieu est très isolé ! Comment cet idiot a-t-il fait pour découvrir son repère secret ?! Ah merde, merde, merde et merde !!! Elle se to

st vraiment s’il était venu lui parler ! Puta

appartement familial ! Son médaillon ! Elle le tient de ses parents depuis qu’elle est petite, c’est le dernier cadeau qu’ils lui ont offert à son anniversaire pour ses huit ans à l’époque, juste avant qu’ils ne meurent. Elle est alors anéantie et complètement désemparée, la panique la gagne immédiatement et elle retourne là où elle était avant pour chercher son pendentif. Elle cherche partout, vraiment partout et elle ne ménage pas s

tantanément avant de tomber au sol… Comment va-t-elle faire pour le retrouver ? se demande-t-elle tout au long du chemin. Elle a dû le perdre pendant sa course poursuite de tout à l’heure avec l’autre gland qui l’a découvert, se dit-elle. Il a dû tomber pendant qu’elle essayait de lui échapper… C’est bien sa veine tient, manque plus que ça, si ça se trouve c’est lui qui l’a pris ! Putain, fais chier quelle malchance je vous jur

m’endormir tout en pensant à cette femme de glace. Quelle beauté incroyable, il faut que je la revoie absolument ! Je suis sûr que c’est à elle qu’appartient ce médaillon, elle doit beaucoup y tenir et elle a dû le chercher partout ce soir. Elle ressemble beaucoup à la fillette de la photo d’ailleurs, c’est peut-être elle quand elle est petite. Faut q

f, quelle connerie ces truands de mes couilles, ah ah ah ! Puis, je chemine tranquillement jusqu’à mon poste de travail où j’enfile ma chemise habituelle de travail ainsi que mon badge où est marqué mon nom et mon prénom. Et une nouvelle journée sans heurt et avec sauvetage m’attend comme à l’accoutumée ! La moitié de la journée défile sans problème, il est aux alentours de quinze heures de l’après-midi. Je suis sur le point de prendre ma pause

e est qu’elle n’y arrive plus, c’est plus qu’elle ne peut en supporter… Pour autant elle continue ses recherches sur ce surhomme on ne peut plus mystérieux et décide de suivre sa trace en allant dans la station le jour même, là où la piste noircie s’arrête nette. Elle décide de profiter tranquillement de sa matinée chez elle, pour l’instant et elle va aller là-bas le moment venu. Elle s’apprête à déjeuner et regarde dans son réfrigérateur pour voir ce qui lui reste à se mettre sous la dent pour les jours à venir. Elle s’aperçoit que celui-ci e

efeuille et deux ou trois sacs de courses, pour pouvoir s’acheté à manger pour quelques jours quand elle serait sur place. Non seulement, elle enquêterait, mais elle ferait d’une pierre deux coups en s’achetant à bouffer là-bas et en faisant le plein. Elle se dirige donc vers sa voiture, démarre et pr

s sacs. Depuis qu’elle est rentrée dans le magasin, elle se sent épiée, observée de la tête aux pieds, elle est mal à l’aise et décide donc de vite en finir et de payer ce qu’elle doit rapidement, y compris son carburant. Puis, elle va interroger vite fait deux ou trois employés de la station pour voir s’ils ne sauraient pas quelque chose à propos de l’homme soleil ou « Zénith » dans les environs, comme les malfrats s’amusent à l’appeler plus communément… Elle marche vers la caisse et pose tous ces articles sur le plan de travail et dès qu’elle relève la tête, elle s’aperçoit que le caissier la regarde avec

dix s’il vous plait. Excusez-moi, mais on ne

r, j’ai l’impression qu’on

stion sur un ton in

toute ma vie ici auparavant, désolé… répon

r de vous avoir déranger et pour l’impo

souhaitez. lui dit-il apparemment gêné et mal à

hasard s’il vous plaît ? dit-elle très étonnée par son langage soutenu et son intel

lui répond-il en l

t un papier de sa poche et récupère le st

n l’autre instantanément alors que leurs peaux se touchent. Une attraction cosmique inexplicable se révèle alors à eux promptement, l’un voit la lune se refléter intensément dans l’œil de celle qu’il frôle, et de l’autre l’une voit la lueur puissante du soleil miroité dans son regard ! Aucun d’eux ne peut l’expliquer mais leurs corps s’appelle

nterlocuteur caissier. Un sentiment de sérénité totale et d’apesanteur l’envahit soudainement, d’elle qu’elle retire sa main. Elle semble un peu perdue dans les nuages et préoccup

ises, au coin isolé du sous-bois habituel q

ersonne autour de toi où sinon je te mass

au moindre couac c’est toi qui y passes, pigé l’ami ?! Je serais là et je

homme à la porte d’entrée en lui criant un : « - A bientôt Phoebus Solaris ! J’ai hâte de te revoir de nou

dans la merde moi… En plus, elle ne m’a pas donné son nom, je fais comment pour savoir qui elle est ? Car j’ai une tonne de questions à lui poser… Elle a de la poigne en tout cas, pour me tenir de la sorte c’est qui cette fille ?! Bon sang de bonsoir… En tout cas, il s’est passé un truc très étrange dès qu’elle a touché ma main, je me sentais comme si la paix intérieure régnait en moi et que j’étais en apesanteur, totalement emporté loin d’ici, sur un petit nuage. Je me sentais

est toi qui as mon médaillon ! Je sais aussi que tu

ngt et une heure et surtout viens seul et pas

pourrait m’arriver avec ses supers-pouvoirs… Après tout, je ne connais pas ni ses aspirations ni ce qu’elle cherche, à agir comme cela. Bien que je sache pertinemment qu’elle veut récupérer

douleurs me gagnent alors ostensiblement d’un coup d’un seul après que la femme ne soit plus là... J’ai terriblement mal au palpitant, et je respire difficilement comme si l’oxygène vient soudain à manquer… C’est horrible, j’ai du m

jusqu’à ce que mon service se termine… Un de mes collègues arrive pour le service du soir vers dix-huit heures trente pour prendre la relève, car je suis sensé finir mon service à dix-neuf heures trente. Il voit dans quel état pitoyable je suis et décide de me laisser partir, vu mon état actuel qui est catastrophique. Il me demande si tout va bien et me somme de finir ce que je suis en train de faire, de mettre mes affaires de travail dans mon casier et de m’en aller.

en vérifiant que personne ne me voit. Je claque ma porte violemment en rentrant et la clenche immédiatement. Je fonce en direction de mon lit après avoir pris un ibuprofène contre mes fortes douleurs à la poitrine. Puis je m’écroule dessus, transit de douleurs et recroquevillé en position fœtale. Je ne me sens vraiment pas bien du t

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