Enfants du soleil et la lune : Les Cosmoshéros Ultimes

on depuis son salon le direct du braquage de la petite supé

ages ce qui semble être une lumière infiniment puissante et qui se déplace à la vitesse de l’éclair ! C’est hallucinant, on observe que cette silhouette a forme humaine mais on ne distingue rien du tout de son être sauf le contour de ses ye

oussé, par cette chose ou quelqu’un d’autre d’ailleurs. Le doute plane sur cette affaire mystérieuse. On ne connait pas vraiment les circonstances exactes autour de sa mort mais à côté non loin de lui, une excavation très profonde est retrouvée. Elle a la forme d’un êt

du tout d’a à z sur cette affaire ! De plus, ils ne comprennent rien à ce qu’il se passe sous leurs yeux hébétés. Même les civils et les journalistes ne savent pas à quoi s’attendre avec cette affaire. Cependant, c’est la première fois dans l’histoire de l’humanité en France depuis deux cents ans qu’un évènem

ère au bout du tunnel. Eh oui, c’est Phoebus le sujet des commérages dans les journaux, sur internet et à la télévision mais personne ne le sait. Par la suite, les médias rediffusent sans cesse les images vidéo du braquage où l’on voit une lumière incroyable se déplacer à toute vitesse à travers les fenêtres du magasin. Même les témoignages des

s ils ont tout de même vu le début du combat. C’est incroyable ! Un être des plus étranges vient à leur rescousse sortie de nulle part et repart sans demander son reste, dans l’anonymat et le respect le plus total. Et

les forces de l’ordre n’ont pas réagies à temps comme d’habitude, les victimes allaient mourir sans cette intervention bénie. On en est sur ici, puisque chaque crime à Ouroboros se termine toujours de la même façon, c’est-à-dire tragiquement. Puis,

nt du lot voilà pourquoi cette affaire fait beaucoup de bruit et fait autant parler d’elle parmi la population locale. Elle devient le sujet principal d’une discussion banale de quartier, les commérages vont bon train il faut le dire. Voilà comment la rumeur se répand dans toute la ville et se

ngoisse la submerge subitement accompagnée de spasmes très brutaux ! Elle est essoufflée et a énormément de mal à respirer sur l’instant présent. Les visions de terreur de ce jour funeste l’assaillent et défilent dans son esprit comme la répétition d’un film d’horreur… Elles s’invitent à elle comme au premier jour, comme si c’était hier… Elle voit et se re

désarroi et la détresse de ces moments passés sont encore insupportables à affronter pour elle à cet instant précis. Tout ce qu’elle peut faire maintenant et comme toujours, c’est de ravaler une

balle dans la tête et donc à se suicider et il en est absolument hors de question pour elle ! Elle se doit de rester en vie, saine et sauve ne serait-ce que pour le sacrifice fatal de ses parents et pour honorer leurs mémoires à jamais. Puisque désormais, ils vivent à travers elle : dans ses souvenirs, dans son cœur, dans son âme, dans ses valeurs et dans son mode de vie quotidien. Les gens partent

le sol et le regard dans le vague. Elle a fait une petite chute de sa chaise de cuisine dès qu’elle a vu le reportage. Elle se relève donc doucement mais surement, en s’appuyant aux sièges qu’elle peut attraper. Elle se rassoit et reprend son souffle tranquillement. Elle

s communs entre les deux. Très étrange se dit-elle, de plus cet être surnaturel doit posséder des dons très impressionnants lui-aussi tout comme elle. Cependant, on dirait que les pouvoirs de cet inconnu sont à l’exact opposé des siens. Très lumineux au point d’être aveuglant, d’une chaleur extrême ainsi qu’une fo

l’inconnu en question de la télévision a dû être aussi immanquablement présent à l’extérieur, lors de cette soirée très spéciale. Et ainsi ne pas respecter les règles de sécurité qui ont été mises en œuvre pour l’occasion. Ceci explique cela et aussi beaucoup de choses sur le lieu du crime. Par exemple : la fonte inexpliquée d’objets à très haute température, le

oi qu’il en coûte jusque dans sa tombe s’il le faut… Elle comprend vraiment ce que cet individu peut bien ressentir parce qu’elle aussi l’éprouve. Elle se dit qu’il doit se sentir bien seul lui aussi, à port

lien profond qui les unit sans le savoir, même s’ils sont de parfaits inconnus l’un pour l’autre et qu’ils ne se sont jamais vus auparavant. Toutefois, elle ne va plus porter seule ce fardeau sur ses épaules plus longtemps, elle n’est désormais

anté mentale et physique ! Elle ne peut pas laisser s’échapper une occasion pareille pour sûr ! Il faut qu’elle fasse tout pour le trouver, peu importe à quel point ça va être pénible ! Elle ne peut décemment

son épée de Damoclès avec lui, qu’elle supporte seule déjà depuis des semaines. La naïveté n’est vraiment pas une vertu, mais chez elle cela en est une. Ça la rend attendrissante et charmante au possible. Elle est d’une beauté à couper le souffle et d’un esprit incroyablement noble et élégant, une femme de caractère pleine de grâce et de perfection comme on en r

subis plus tôt. Elles ressortent très difficilement et progressivement de leur propre chef… Je souffre un putain de

alors les unes après les autres mais je suis alors envahit d’une lamentation infernale ! Une torture lancinante, déchirante

ais pas que ça faisait un mal de chien vu que je ne ressens rien sur le co

ayons. Je ne peux toujours pas l’expliquer mais grâce à elle, je suis sain et sauf et en vie sans aucune blessure désormais. C’est ça le plus important. J’avoue que j’ai foncé tête baissée vers le danger, en misant tout là-dessus. J’ai des doutes concernant cette faculté depuis le soir où la « Lueur Divine » m’a

j’échappe au pire, je ne peux que le constater en m’examinant de plus près. Je regarde partout et partout il n’y a plus une trace de meurtrissure quelconque… C’est tout bonnement indescriptible, c’est comme si je suis i

ompte plus à mes yeux que sauver la France de ses criminels et du gouvernement mis en place, qui menacent eux-mêmes la paix ici-bas. Un mot dont personne ne connait le sens ici : le mot « paix » qui pourtant a une gra

voit naître et grandir même si je ne connais pas mes parents et que je n’ai plus aucune famille à l’heure actuelle. Je veux tout de même sauver ce

river, c’est quelque chose qui me tient très à cœur. Ça va être un jeu de patience et de détermination, mais je sais que je vais y arriver. Sans pouvoir l’expliquer, je vais rayer le crime et les vices de cette société dictat

de croyances et de convictions qui se consume en moi. Comme un brasier incandescent dont aucune eau au monde ne peut l’éteindre, une mèche d’acharnement infaillible qui brûle encore et encore. Je vais être le phare qui illumine les abysses profonds de la nuit noire, pour guider les individus égarés sur le mauvais chemin. Dep

vais devenir le pilier indestructible de cette cité perdue ! Même si je dois le faire seul, je vais le faire puisque je suis comme cela et que rien ni personne ne m’arrête

de jour, mais je sauve également les Ouroboriens dans le besoin quand je peux même si je suis en train de bosser. Chaque crime environnant, chaque combat illégal ou chaque acte innommable qui se déroule ici, je m’en occupe quel que soit le temps que ça me prend ou

errance et d’échecs. Là, j’ai enfin un but, un objectif à me fixer. Rayer la criminalité de la carte et deve

ve tant de personnes sans daigner nous montrer son visage ? Cette entité apparaissant de nulle-part et repartant comme il est venu ? » Les criminels me craignent, et la population m’adule. Ça me met mal à l’a

er des autographes ou me faire prendre en photo ou vidéo avec des fans, ou faire bisous-câlins avec des groupies à deux balles ! Je ne suis pas là non plus pour qu’on m’aime, je n’en ai rien absolument rien à foutre !! Je n’en ai rien à faire de tout ça et la célébrité c’est bidon, c’est que du vent, c’est quelque chose qu’on s’attribue de droit pour se donner une bonne image, une bonne conscience

t. Parce que je veux que personne ne sache qu’un pauvre et misérable Ouroborien s’amuse à jouer les héros sans peur et sans reproche, au péril de sa vie toutefois. Oui, en plus de ne pas aimer la célébrité qu’on m’accorde je déteste mes origines qui sont pitoyables, je veux que personne ne connaisse ni mon passé ni mon présent. J’ai honte de ce que je suis, de ce que j’étais mais pas de ce que je deviens. Malgré tout, pour moi c’est chose impossible… Non, je ne supporte

s se faire tuer ou blessé. De pouvoir laisser leurs enfants sortir en toute quiétude le soir ou la journée, sans s’inquiéter qu’ils leurs arrivent le moindre mal. Ne plus baisser le regard ou faire semblant de ne pas regarder une horrible scène se dérouler juste sous leurs yeux em

il a de nouveau le sourire aux lèvres. A la place des cris d’effroi, on entend plu

suis « célèbre » osons dire le mot qui fâche... Personne dans sa tête ne s’imagine qu’un pauvre et petit opérateur d’opérette de station-service et orphelin de rien du tout de surcroît, puisse libérer les gens du dé

e les bandits me voient arriver, eux, ils se cassent tous en courant car ils savent qu’ils vont passer un sale quart d’heure en ma compagnie ! C’est trop marrant, car ils se méfient de tous les lampadaires qu’ils ont à côté d’eux vu que ça peut être moi. Dès qu’ils entrevoient une puissante lumière, ils détalent aussitôt à toute jambe, comme des lapins effrayés... Ils m’appellent tous « Zénith » car je ressemble trait pour

n. Puisque la criminalité à Ouroboros diminue de trente-cinq pourcents en l’espace de quelques mois seulement. Et ce par le simple fait de ma présence ici, à combattre la souillure dans nos rangs. Cependant, je continue ma quête sans penser au lendemain et j

ortages vidéo, photos, commérages de quartier, témoins du braquage ce jour-là, mais toujours rien ! C’est comme si cet étranger sort de nulle part et repart aussitôt après sa besogne exécutée ! Aucune trace de lui où que ce soit, c’est comme si elle poursuit un fantôme depuis quatre mois. Pas de papiers d’identité, pas

qu’on parle sans cesse de lui partout ! C’est impossible bordel de merde, il faut qu’elle fasse quelque chose, mais quoi ?! Elle n’en a aucune idée et sans indices ou piste probante, elle doit définitivement finir par abandonner ses recherches infructueuses... Même si ça la met au plus mal de devoir le faire après tous ses efforts et ce temps perdu jeté par les fenêtres… Elle décide

me, l’endroit fatidique du braquage. Elle va sûrement trouver quelque chose, dans l’épicerie elle y est déjà allée et n’a rien trouvé, pas l’ombre d’un fais

uage anormal laissé au sol, qui semble être là depuis longtemps déjà auparavant.... Elle file donc ce trait comme son ombre, elle marche, marche et marche encore et encore pour voir où ce noir donne. Elle ne s’arrête pas et veut savoir à qui ça va la conduire, avec une petite appréhension toutefois. Puisqu’elle ne sait pas comment réagir si jamais elle se retrouve nez à nez avec cet individu illuminé, les yeux dans les yeux… Normal, car elle ne connait pas ses intentions ni comment il va réag