MON CHOIX : LA PROSTITUÉE
X: LA PR
pit
emps au silence qui règne entre eux, imbus de la même émo
ssi belle que sage telle que toi s'est donnée pour profession,
en me prenant pour confidente, je peux aussi le faire avec toi qui ne m'est plus un inconnu, mais un ami et pl
le promets,
peu près. Je la pris toute seule en charge comme une mère le pouvait pour les fruits de ses entrailles. Neuf ans après, je tombai sur un autre homme qui aussi, me promit de lier ma vie à la sienne. Méfiante par ma première expérience amère de jeune fille que j'étais, j'ai hésité, il a insisté. Il était là tout le temps et nous donnait tant d'attentions ; ma fille et moi. Il la traitait aussi comme sa propre enfant au point où j'en étais émue, et je finis par céder en le croyant sincère avec tout ce qu'il faisait pour me convaincre durant environ un an. Je me laissai à lui aussi. Une fois encore, je suis victime d'un autre flatteur à cet âge là. Ma fille n'était donc qu'un appât pour m'avoir comme on tient un silure, il me mit enceinte et disparut dans la nature jusqu'à nos jours à son tour. Voilà, mon deuxième enfant : mon fils aussi naquit. Il fallait que je nourrisse mes enfants. Qu'ils ne manquent de rien. Que je leur donne une bonne éducation pour un meilleur devenir, et je n'avais pas les moyens ; rien ne marchait. J'ai couru de gauche à droite pour relever le défi et me restaurer dans mes convictions, hélas ! Avec une amie qui s'était tant donnée aussi, je suis rentrée dans la prostitution il y a environ sept ans. Je suis devenue une professionnelle de nuit le cœur meurtri quand la faim nous venait à bout, quand ma fille de treize ans déjà ne pouvait plus retrouver le chemin de l'école, son avenir ; quand mon fils de quatre ans à peu près était gravement malade et je ne trouvais pas de moyens de l'envoyer à l'hôpital pour que la mort ne me le
t la tête un instant pendant que Roméo en a a
e même quartier et ont grandi ensemble jusqu'à l'adolescence. Il a demandé à coucher avec nous deux ensemble. Chose bizarre pour nous et qu'on n'avait jamais faite. Il est allé plus loin en nous disant qu'il voulait nous voir toutes les deux nous embrasser et nous lécher, bref, nous
cs (500 000frcs) pour
me comme recette totale en trois semaines. Même en un mois, c'était vraiment très rare, telle la sueur du lézard. Ma cop
nous laisser à de telles cochonneries en nous rabaissant autant jusqu'à ce que ça soit entre nous !
iette. Mais dis-moi,
s les femmes, jusqu'à faire ces saletés entre nous-mêmes et nous lécher parce que quelqu'un nous le demande, nous offrant une somme que l'on a jamais eue. Tu
francs (500 000 frcs) cash à se partager après quelques heures. Tu crois qu'on gagnera mieux dans ce qu'on fait depuis ? C'est la nuit. Fermons les yeux et faisons-le. Demain matin, c'est fini. On tourne la page. On fait comme si rien n'était. Aies le cœur ferme, s'il te plaît ! Ce qui est un
si quelqu'un nous demandait demain de nous sodomiser, on v
pour le laisser partir,
million. Ça le fera fuire p
u veux. Je ne tiens pas à te forcer l
aime ta compréhension, ma copine.
mandé, commença par m'exciter d'envies d'elle ; elle aussi, c'était bien clair. Le gars me demanda d'arrêter ma fellation à lui et d'aller embrasser ma copine. J'y vais sans hésiter. On se jeta dans le jeu avec passion pendant que lui-même se masturbait et grognait tout seul, tel un vrai cochon. Jamais, je n'avais senti autant de plaisirs et de jouissance dans ma vie. Ma copine et moi, on se donna à fond pour nous procurer une satisfaction qu'on n'avait jamais eue en aucun rapport sexuel. Tellement, on y a pris goût, à nous embrasser, nous caresser ; à nous sucer tour à tour, et à nous envoyer nos doigts jusqu'au petit matin sans que notre pervers ne pénétrât aucune d'entre nous, à part les quelques fellations qu'on lui a faites ; ma copine à un moment aussi après moi. Il se masturbait jusqu'à un moment avant de s'arrêter, et jouissait tout seul de plaisirs en nous voyant nous lécher, nous nous envoyer les doigts, nous sucer nos corps. Il nous remit les cinq cents mille francs (500 000 frs) restants et on est parties. J'ai tellement eu
èrement ; juste une camisole en soie sur un pagne noué aux reins ; ce qui aurait dû susciter encore ces sensations en nous au contact. On commença à nous regarder dans les yeux, nos sens se mirent à se libérer. L'envie nous envahissant plus fort, on se jeta une fois de plus dans nos bras encore. Et, cette fois-ci, pas sur la demande d'un pervers pour de l'argent, mais pour nous-mêmes dans nos dépravations de plaisirs. Ce fut encore plus jouissant et plus intense que la première fois, noyant ainsi en n'en pouvoir plus, la détresse de mon amie jusqu'au sommeil à même le sol sur la moquette de son salon. Je me réveillai en sursaut plus tard pendant qu'elle autre dormait encore et je partis de chez el
regards doux. J'étais très heureuse de me donner enfin un tel plaisir et de ressentir tout ce bonheur qui m'avait toujours manqué. Je couchais jusque là, presque toutes les nuits avec des hommes mais ça n'a jamais été par envie et sensations. C'était plutôt contre mon gré, par la force des choses pour mes enfants, par le besoin, contre la faim ; sans intention aucune de me trouver d'excuses. Et aucun rapport sexu
quelle je me transformais une fois de plus encore. Il fallait que je couchasse avec un homme cette nuit impérativement. C'était décidé, alors j'étais sortie pour la reprise de mon boulot pour tomber sur toi. Tu n'avais pas pu faire le sexe avec moi, tu ne m'avais pas pénétrée, mais, tu m'avais offert un grand fascinant cadeau : rester avec un homme que je ne voyais vraiment plus en un client dans
Roméo, elle le regarde dans les yeux, avec des larmes émotio
rise cette nuit pour me redonner ma féminité, et je te prie de ne pas
ans ses bras. Ils se câlinent chaleureusement un i
écus et je ne saurai te condamner, ma chère amie. Tu n'as pas besoin d'être jugée, d'êt
mon chéri. Tu es un homme me
d'insignifiant mais de si précieux pour toi sans m'en rendre co
re chose comme
ue pour que tu commences toute activité que tu veux, et j
a famille de mes propres efforts. Et toutes les fois que je vois du sourire sur les visages de mes enfants parce que je suis arrivée à les satisfaire, je suis comblée, épanouie
, tu peux,
oui, alors respecte ma décision pour moi. Gardons nos beaux contacts ainsi. Ne m'éloigne pa
perdre. J'ai encore besoin de toi, de ton amitié et pour longtemps. Mais si tu as besoin de qu
Ta femme ne se rend pas compte de la chance qu'elle a d'avoir un homm
uter une fois de plus et de me tenir encore bonn
her Roméo. Promets-moi de ne pas désespére
e le promets
entrer. Mon boulot m'attend la nuit et il fa
e te dépo
si tu la rencontrais pour la toute première fois pour tomber sous son charme et la désirer. Surprends-la, fais-lui un tout petit symboli
, Henriette. Je te donne
refus. Roméo est abasourdi mais que peut-il
rt à son job de profe
uiv