MON CHOIX : LA PROSTITUÉE
X : LA P
pit
gé radicalement d'attitude depuis que
ttention de sa femme et la suppliait, lui demandait pardon en la sentant le bouder, même pour un rien du tout, ou, sans aucune raison valable, le plus souvent. Il fait comme si elle n'existait même pas ou n'a jamais existé d'ailleurs pour lui. Tout ce qui l'accroche dans tout ce changement m
ncore sur les épaules de sa grosse pute d'amie qu'il a amenée avec
e sur lui ! Il n'est qu'un frivole malgré la classe à laquelle il appartient. Bref, les frivoles fréquentent les frivoles et c'est ce qu'il croit que je suis en l'acceptant. C'est vérifié, les hommes ont peur des femmes intelligentes, suaves et raffinées, et ils les fuient. Ils préfèrent ces pacotilles qui ne représentent rien que leurs ombres, qu'ils peuvent dominer au merveilleux nom de la soumission pour en faire leurs esclavess et serpillières. Moi, Vicentia, je ne serai jamais sous l'autorité d'aucun homme qui va se croire supérieur à moi parce que je me suis laissée à lui. Quand je passe, j'inspire le respect et l'admirat
ongance ne lui permettent pas d'en mesurer la portée. Elle se voit irremplaçable, pour imaginer un seul instant que Roméo puisse la substituer dans sa vie par
retrouve la paix du cœur et vit paisiblement son bonheur. Roméo, le bon Ciel ne cessera jamais de le remercier pour elle pour tout ce qu'il lui a apporté et lui apporte : la sortir de son monde et l'emmener à la reprise de confiance en soi, pour affronter la société sans se complexer, sans se fier à son jugement, à sa stigmatisation.
se l'autre jour, que tu allais quitter la maison
. Tu n'as plus à aller te sacrifier en te livrant, le cœur pincé, aux horreurs pour nous nourrir. Un homme t'eng
te savoir si ma fille pouvait être capable de me fair
sortirais sérieusement de la maison et je ne chercherais plus à te voir, mais je n'irais mener "aucune vie dévergondée," et je n'arrêterais pas non p
hloé. Comment pensais-tu que j
lait pour que tu sortisses de ton cauchemar à vouloir retourner da
u n'es pas sé
hacun de ces mots signifiait. J'étais très consciente que je t'infligeais une douleur extrême avec toutes ces horreurs mais je n'avais pas le choix, parce qu'en même temps, j'étais très en colère contre toi. Il fallait comme je le disais tantôt,
ite. Chloé se lève et y va. Elles se serrent dans leurs étrein
de ma vie. Merci d'être intervenue, et merci de m'avoir utilisé tous ces mots pour me choquer. Par tes menaces et tes chantages,
Je t'aim
s chérie. Je vous aime
lles voulaient que ça continue. Et Victor qui est là,
vous aime tellement, mes amours,
us que nous ? Ou tu n
ime tous, chacun très fort. Je vous aime, vous les enfants, de l'amour d'une mère, et mon merveilleux chéri, vot
notre papa, réclame Victor q
t de nouveau et C
t on en a un enfin. On ne va pas le mettre dans le futur
en faire les siens, jusqu'à ce que ce soit un homme de son rang social, après tout ce qu'il sait de moi, sans avoir peur que je ternisse son image en
te vois hein ! Façon t
esclaffe
sé à la beauté de la lumière don
mplotent contre le pauvre homme qua
chambre à leur grand étonnement avec une arri
exclame, Victor qui se lèv
mon brave, co
n. Et Éric, pourquoi
anche, ne t'en fais pas. Tiens. Et il lui remet le paque
courant sous le regard souriant de Roméo. Chloé se lève saluer leur "père" à
nt face à un étranger, lui en a vu plutôt de la bravoure. Quand il le regardait ce jour, il ne s'énervait pas. Il ne voyait pas en lui, un enfant mal éduqué, un enfant désobligeant. Il était plutôt étonné et l'admirait. Il a jugé sa réaction digne de celle d'un homme qui défend et protège les siens. Et il ne po
tte se lève pour l'accueillir, Roméo secoue la
Henriette qui vient lui mettre les
Regarde comme tu es bell
tant que toi, qui
e regardent dans les yeux, les bras d'Henriette a
que, ma Lumière. Merc
erai toujours là pour toi. Toi
ie. Et tu ne t'imagines pas
est si récipro
t à s'embrass
ces deux jours sans t
ussi, Roméo. Viens t'asseoir. Je te pré
t si on allait plutôt là, pour nous
te : Où
, en lui indiquant de sa t
éo ! Tu sais que ça ne pe
Et pourq
qui ne savent rien. Et qu'un homme vienne chez leur maman, et qu'ils s'enferm
ous sommes, Henriette. Laisse le
toi. Il n'y a aucun confort ici et qui va avec toi. On peut dire aux enfants qu'o
ne vais pas non plus à l'hôtel avec toi comme pour notre première fois, et je n'irai
ture ? Elle ne peut p
n'y est même
ient même de mettre pieds pour la première fois, mais dans les toilettes pour une douche fraîche ensemble. Des toillettes, il la porte encore pour sortir et la jeter dans le lit. Ils se déchirent tous deux de passions folles, et d'amusements : jeux de co
leur parvient dans la chambre à leurs oreilles, leur annonce le lever du j
côté de l
us ! Crie Éric à sa maman Vicentia av
gâté. Impoli va ! Ça se déteint sur toi aussi
a deuxième fois que son mari passe la nuit au dehors aussi. D'abord cette nuit qui était sa dernière fois de l'avoir touchée encore au lit, et elle lui avait lancé pour une énième fois d'aller se chercher une pétasse au dehors pour ses fantasmes, que
n'est pas gentil de parler comme ça à maman. Vas demander pardon à maman avant de venir chez moi. Aller, vas-y ! Vas dire maman, pardo
e maison. Tu ne perds rien pour attendre. Encore deux semaines et on verra
uiv