MON CHOIX : LA PROSTITUÉE
X : LA P
pit
se sont rencontrés pour devenir mari et femme. C'est courant dans leur église, que l
Vicentia pour qu'ils parlent à leur fille. Aucune amélioration. Au contraire, c'est pire après leur intervention. Vicentia est devenue remonter. Il se tourne au pasteur. L'intervention du pasteur fianlement comme seul espoir encore possible pour sauver son couple et retrouver sa femme à cinq reprises ne produit rien non plus, c'est en vain qu'il fait de
problème y était, ça devrait être son mari même qui se fabriquerait de petites histoires sans aucune importance. Quant à elle, elle incrustera toujours dans son foyer, le meilleur qui se doive, et qu'elle ne fera que, ce qui l'honore en tout et honore ses convictions. Elle ne laisse aucune étincelle de doute sur elle, rien qui pourrait donner un seul instant, la moindre ombre de valeur aux propos de Roméo. C'est ses paroles contre les siennes et naturellement, c'est elle qui est toujours crue
nue de ses promesses et des résultats. Il déprime. Tellement qu'il tient à son foyer et aime malgré tout, sa femme. Quand il va se confier à Henriette, c'est en pleurant tout son calvair
ssi et de lui parler. Roméo s'en réjouit, très fier et lui donne son acceptation, car, elle saura
etrouvant dans les foyers des gens en conseillère, de la grosse pute qu'elle est. Elle en est mortifiée. Jamais, personne ne l'a insultée et humiliée ainsi pour la faire sentir t-elle. Et si sa fille l'apprenait ? En tout cas, il ne le fallait pas. Et après tou
femme qui ne pouvait être qu'une putain. Il ne s'est pas arrêté là. Il la ramène en plus jusqu'à la maison pour parler à elle ; elle Vicentia, et
es affres qui changent les gens en ce qu'on les voit. Tellement, il en est horripilé. Il se le reproche, et se rapproche chaque jour plus d'Henriette pour s'excuser, la consoler, partager ses peines avec elle et lui faire oublier tous les mauvais trai
tégrer leurs quotidiens inéluctablement mais aucun d'eux ne révèle à l'autre, ce qu'il ressent. Même de ses voyages d'affaire, Roméo parle à Henriette et l'appelle une fois arrivé sain et sauf à destination pour la rassurer. Et Henriette l'appelle chaque fois pour savoir comment il allait et comment ce pourquoi il a voyagé bougeait pour lui. Bref, attention, considération, temps, tendresse d'une épouse qui lui manquent dans son foyer, Roméo les trouve chez une amie qui ne lui demande même rien. Une amitié purement platonique et désintéressée. Son so
plir pleinement son devoir de papa. Il s'amuse, il court dans tous les sens avec l'enfant : au salon, dans la
te au dehors à son passage pour tout ce qu'elle présente de l'extérieur comme brillance, elle se suffit. Vic est hautaine avec son homme. Celui-ci ne représente rien à ses yeux à
u'il faut vraiment faire attention. Des monstruosités y luisent de beaux éclats aussi. "Q
sans aucune participation, sans aucune tendresse. Roméo se charge de la déshabiller lui-même (n'est-ce pas lui qui veut du sexe et le quémande et elle lui fait faveur), il va délicatement avec elle, honore tout son corps ave
le est ; la supplier avant d'obtenir de faveur d'elle, et elle le fait souffrir gratuitement. Elle se sent si importante et si désirée ainsi, quand
n marié, elle le pousse de côté, lui jette encore au visage avant de fermer ses cuisses et lui tourner le dos : "c'est moi qui me suis laissée à toi pour que t
même à toujours se comporter ainsi avec lui, refusant tout dialogue. Elle le fait par exprès sans raison valable. Tout porte à croire que son mari qui l'a épousée et
ns les toilettes, prend un bain frais. Il s'habille par la suite et sort de la maison la n
rassure de se présenter d'un instant à l'autre au lieu à lui indiquer. Elle se lève, rentre aussi dans les toilettes pour une douche fraîche et légère, se prépare et va au rendez-vous. Mais avant, elle va je
core plus dépité, plus meurtri que jamais, assis dans le lit de la chambre d'un hôtel qu'il lui a indiqué. Il l
aquelle poser ma tête et pleurer, et c
toi, s'il te plaît
as, Henriette. J'ai besoin que
ami. Ça me fait très mal
ascinant confort pour s'y blottir avec plénitude, tel un nourrisson
ge, Henriette ! Dans tes br
er tout simplement alors,
l'amour. Je veux me sentir dans ton souffle.
âche instincti
s non, Roméo !
savons tous les deux qu'on a développé des sentimen
n'est pas une r
oi étouffe-tu tes sentiments ? Je sens ton cœur qui bat et convoite rageusement le mien po
rrête, je t'e
t que toi, Henriette. Tout contre lequel tu luttes vainement te trahit à grandes pompes. Ou bien, tu veux aussi me traiter com
battent complèt
Si tu ne signifies rien pour ta femme, si pour elle tu n'as a
: Et a
r mes services à l'ami si cher que tu m'es, alors que c'est la seule chose que j'ai. Je n'ai plus rien d'autr
de lui mais c'est trop fort. Elle est subjuguée. Elle n'a plus aucune volonté d'elle-même contre sa volonté. Ce contact de leurs lèvres la
n geste qui ne dit pas son nom, leurs habits se dégagent de leurs corps qui fusionnent de désirs dévorateurs, de passions félines, de plaisirs ardents, d'éva
'abreuver avidement et avec tant de finesse à la cave d'
lonise son entrejambe et danse merveilleusement dans
e divinement, ignorant complètement qu'elle est une putain, l'art du cunn
sant et harmonieux. D'abord lentement, tendrement, puis, deviennent au fur et à mesure frénétiquement cognants. Il lui enchaîne les coups tel un vrai étalon et met en feu tout son corps. Ils planent dans des cieux qu'aucun d'eux n'a jamais connus auparavant. La chambre s'emplifie de gémissements, de douceurs, de plaisirs. Les murs tremblent dans cette fièvre de besoins de s'épanouir q
'amour, est un art u
erchais tant depuis dix ans de mariage avec celle qui se veut ma femme, tu m'en donnes une multitude en un laps de temps. T
int à la société. Je ne suis point un objet de son bon regard. Mes cuisses toujours trop l
s été victime de la méchanceté des hommes et tu as subi ce à quoi cette même société travestie que tu valorises tant t'a condamnée. Pense à toi et non à la société, sans aucun complexe. Son jugement sur toi ne soit pas tien. Cette société est ce qu'elle est, tu es ce que tu es. Tu es une femme. Tu es Henriette. Tu es unique. Tu es une femme qui sait jouir pleinement de ses droits
e : C'es
deviennes mie
? C'est trop abusé, Roméo ! Tu iras appeler ta f
laisirs et tu ne vas plus jamais l'être pour aucun pervers. Je veux faire de toi ma femme, Henriette. J'ai pris ma résolution avant de sortir de la maison et de t'appeler. Tu as repondu à mon cri pou
age, ma poitrine et mes parties intimes, et n'utilise que des astuces faites maison à base des ingrédients naturels. Ce pourquoi, tu pouvais même remarquer que je ne suis pas du tout large malgré ce que je fais comme profession. Mais je suis une femme âgée. Je suis pl
. On a qu'une vie sur terre, mon Amour. D'ailleurs, la nature a décidé que le bouc escalade sa mère, et ça n'a jamais empêché la terre de tourner. Alors, si elle a décidé que toi et moi, on soit ensemble pour être heureux, pourq
Et ta réputation ? Ton image ? Tu es un grand homme, Roméo. Et les gens me connaissent pour
t de vivre. Quant à l'église, il s'agit de moi, et non d'elle, ni des qu'en dira t-on. Les ouï-dire ne me disent rien. Si j'ai un compte à rendre à quelqu'un, ce serait à Dieu si ce jour, on se rencontrait effecti
moi comme ignominies, tu m'élèves encore à ce point. Tu
er tout le respect que tu mérites. Je ferai tout mon possible pour être digne de toi et te mériter effectivement car tu es d'une valeur ines
l'espoir et la vie incarnés. Je te promets que tu seras très heure
esoin de me promettre
a nuit et se réveillent dans leurs bras au petit matin. Que
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