Entre l'aigle et le lys
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rise de l'effervescence qui y régnait. Chaque semaine, elle avait le dur privi
elques années, tout lui pesait. Elle venait d'atteindre la soixantaine et elle désirait
, comme il faisait bon vivre au châte
épart pour l'Angleterre et ce retour, triste et m
oir qu'on ne s'occupe pas de ceux qui vous commandent, et, pour l'instant, sa seule préoccupation était de chercher au prix le plus bas, les légumes et la nourriture nécessaire
rassemblement se fit devant la mairie, un homme clouait une grande affiche, des murmures, des cris parcouraient la foule. Marie se
tés disparus. L'énoncé était bref mais suffisant pour que tout à coup, on entende des pleurs, des cris, des
même temps devant les mairies
ible, il y en a bie
lusieurs jours, personne ne le vit sortir de sa chambre, il ne recevait même pas sa femme. Cela dura deux mois. Deux mois,
esse aux ambassades, aux généraux, à toutes les
pas été retrouvé, les journaux décrivaient brièvement les fait
ne de son nom et de sa patrie, nos efforts po
esprit. Tout à coup, sa seule raison de vivre fut son fil
qu'il se trouvait peut être en convalescence dans un milieu étranger et hostile. La réponse arriva presque six mois plus tard avec le retour au pays de quelques jeunes partis sous les ordres
il ait pu survivr
r le Comte, c'était déjà tellement du
ndit le vieil homme, allez aux cu
terminé. Il attendit des mois et des mois, rien ne
une chandelle, lui qui n'avait vécu que pour revoir la p