N'y pense plus
t encore un oiseau sans ailes, enfermé dans sa cage. Mais j'ai désormais une vraie amie partagean
u la cantine. Je savais que malgré tout, je serai quand même triste. Je n'avais plus autan
donnant envie de sourire malgré ce sordide quotidien. C'est ça qu'on appelle la "joie" ? J'aura
désagréable de Mr Thomas, se déchainant contre la porte. Ensuite t
re soigner le
out le temps s'entraîner. Les surveillants disent que c'est pour qu'ils aient la forme devant les
e je fais sans broncher. Je traverse le couloir en faisant bien attention à ne pas le regarder dans les yeux.
donnab
omas aime vraiment m'épuiser... Si je lui montre ne serait-ce qu'un peu de ma faiblesse
mai
ssière omniprésente, les mégots partout, les papiers
ts que je n'avais pas vus. Tout est bon pour nous punir dans cet endroit or il y a une chose que je ne comprends pas. S'ils aim
humiliée, il m'a même vue sans aucun habit. Je le déteste tellement, quand je pense à lui j'ente
ure-le comme il
e, mon regard s'endurcit, devenant de plus en plus noir. Je frotte alors de plus en fort, jusqu'à endommager le balai, dans un instant de p
e une
ciel est magnifique, le vent n'est malheureusement pas frais, rendant mon travail plus compliqué. Au moins le sol n'est pas brûlan
combien de temps avant la paus
rincheux, va donc te prendre une douche, mais ne
e partir en courant en
qu'il nous a confiée, c'est qu'on l'a bien faite. Comme je
nables. L'hygiène n'est vraiment pas leur for
lein fouet, c'est horrible... J'allume la douche, je sursaute, l'eau est glaciale. Je nettoie chaque partie de mon corps. Penser que je ne vais plus en prendre avant un bout de temp
une feuille. Je prends ma serviette, m'essuie puis me rh
s'exclame-t-elle e
u... dis-je avant de dev
lle qui me regard
erroge-t-elle, l
la regarde, mi-inquiète, mi-furieuse.
'est occupée des garçons... Y en
dois aller là-bas aussi, je me demand
ises, ils ont plutôt l'air de suivre une sorte d'entraînemen
est pas en s'entraînant qu'on va avoi
ute manière qu'avons-nous à dire, nous, deux petite
c'est le princi
ues, la cuisine et la salle à manger où nous nous rendons. Il n'y a qu'une seule entrée, une grande porte métallique faisant un bruit strident en s'ouvrant. Les surveillants à chaque côté du passage font des rondes entre les tables. On doit êt
donnant sur la salle à manger. Je vois alors une dizaine de tables de cinq personnes disposées côtes à côtes. Plusieurs groupes d'e
lle d'une voix basse, pou
es garçons, faisant tout de
arlé. Nous servons qu'à ça de toute manière. On nous apprend à nettoyer, à soigne
lus grand d'entre eux, âgé d'environ de seize ans,
très enjouée. On va
oin dans le réfectoire, la porte pour y accéder est
ands !! Trop bien ! s'ext
énéralement c'est plus des sandwichs avec un verre d'eau qu'un vrai plat. Il n'y a pas de fours ou d'ustensi
grand est même beau. J'évite de trop y penser pour ne pas rougir. Ils sont en pleine conversation, discrètement on s'ass
ir on