N'y pense plus
de longues heures peut être, je ne saura
la moindre pitié. Le bruit du fouet claquant sur mon dos ensanglanté. Mes hurlements de douleur, mes supplicati
ux plus c'e
is menaçant et désespéré. Cet homme se languit de me punir, il est exalté par ma douleur, excité par chacun de mes cris. Sans doute est-il extasié rien qu'en observant mon
. Mes parents, même pas
re Mr Thomas dans mon oreille d'un ton à la fois m
. Des larmes coulent, je ne peux les retenir. L'entendre s'amuser de ma douleur, voir ses yeux se noyer dans une folie meurtrière, tout ça me donne des id
as huma
inalement je sers à quelque chose dans ma misérable existence, je sauve sans doute d'autres enfants en étant dans cet endroit... Nue, devant un être dégoutant qui s'extasie deva
rs au dos m'attaquent de plein fouet, revenant à chaque changement de position. Je pense encore au garçon, aux monst
e suis habituée, mais lui ne le mé
si m
de dans le miroir, juste une mine affreuse, semblable à une goule. Je fais le point sur mes blessures, des nausées me prennent. Le sang,
ieront. Je
é... murmuré-je avant de fondr
le monde extérieur, dans des contrées inconnues avec mes parents. J'y rencontre des personnes dans le besoin que j'aide sans rien leur demander en retour, dans un paysage fleuri, magnifique, sans bâtiments semblables
réalité a toujours
r. Mr Thomas se trouve en face de moi. Sa bonne humeur m'inquiète a
llant en s'approchant de moi, reculant le plus lo
t avec ses yeux globuleux, il ne va rie
que va-t-il encore me faire subir, n
rçon que tu as détaché ? di
à ce pauvre enfant ? J'imagine toute sorte de scénarios, mais
ut en succombant à ma souffrance intérieur
ma tristesse sans fond. Il a dû mourir d'une maladie, de faim ou d'épuisement, nous savons pas trop p
e mordant les lèvres si in
je suis en colère, mon esprit, au bord de l'implosion, les humiliat
... Un monstre s'éveille... Ce n'e
lors je pleure, encore et encore, sous le regard pe
entrechoquent entres elles. Malheureusement, ce n'est que dans ma tête, ça ne donne pas de pouvoir, sinon je ne serais p
tine, j'observe rien à part le vide, mon plat est invisible, je
es devenues rougeâtres, les pleurs revenant sans cesse. Plusieurs enfants sont venus me voir, j'ai gardé le silence pour ne pas les choquer, leur compagnie
lques fois me tourmenter, c'est sa passion, mais je ne dis r
s que les surveillants ont un œil sur moi, peut être ont-ils peur d'une fillette détruite ne sachant quoi faire à part sou
arbres, faisant des contrastes de lumières magnifiques, on doit être au printem
tôt mon ann
leur famille, ils m'ont décrit cela comme quelque chose de magnifique. Moi à mon anniversaire à part des punitions je n'ai encore rien eu. Alors je rêve en utilisant mon fu
des premiers mythes qu'on m'a raconté. L'histoire du garçon en quête de liberté, qui, en s'approchant trop du soleil perdit ses ailes de cire, ne résistant pas à la chaleur, p
s eu tort f
urveillant, je soupire, pour une fois j'ai de la chance. Je fais alors la connaissance d'une jeune blonde, un peu plus grande que moi. Ses cheveux lisses, sa longue queue de cheval. Si jolie... Ses yeux similaires aux miens non pas par leur coul
la fois bleus et rouges, reflétant
voix tremblante, me f
oix que je veux rassurante, to
re allée au cachot ?.. interroge-t-ell
pourq
me laissant dans l'incompréhension la plus tota
épète la jeune fille
pour
souffle pendant que je la regarde. Je finis par m'impatienter, n'ayant pas
parle toujour
u as libéré, c'était mon petit frère... Je n'ai pas pu le voir... Mais tout le monde a
t un
quelqu'un avec qui p