N'y pense plus
nde prudemment Naël pendant q
a respiration saccadée, peu
désolée... Je
e rassure Sarah en t
ut d'une traite, je m
n lançant un petit regard à Sarah, je vais
tendant sa main vers moi, je lui prends, ressentant un friss
ël, il m'
e reviens dans la chambre devenue mienne depuis quelques jours. Je me di
nger, pendant ce temps là en
degré et ferme les yeux, allant
arah dans la cuisine. Je regarde la belle au bois
nt ? interroge Sarah
is ça devrait aller mieu
an d'appeler un méde
une femme, sinon elle va no
t. rétorque Sarah
affirmé-je, l'air curieux. C'est q
i à la question. Mais si tu veux mon avis,
n... dis-je tandis que Sarah
stant, avant de la re
Qu'on devrait
une voix claire, il faut que c
à moi E
approche une nou
-je dans un somm
ai édu
murmure de plus en plus forteme
lie... je sanglote, tou
a raison d
de plus en plus pesa
en me réveillant en
e calmer, inspirant et expiran
. murmuré-je. Il faut que j'ar
. Tu pa
moine a sans doute fini sa douche. Des bruits de pas dans le couloir m'alarment, je sèche
que tu guérisses. m'affirme Sarah, m'appor
gratitude tandis que S
teuil et me laisse pou
mandé-je tandis qu'on arr
vingt heures,
ois m
it, Sarah m'installe à côté d'elle, ça me rassure. Mme et Mr Lemoine sont chacun à un bout de table tandi
Lemoine qui prend une tranc
d'hésitation, je l'imite. L'ambiance est silencieuse, seul le bruit
e Lee... Pas
les enfants ? intervient Mr Lemoine, bri
ouais. répond Naël, ven
r Mme Morel, elle viendra te voi
t qui
? dis-je d'u
de toi avant que tu te réveilles, elle viendra refaire tes bandages et t'au
édicam
que veulent-ils me faire ? Le père n'a pas l'air de comp
ileen c'est pas
aments que je
pas l'habitude..
ntreprend le début de ce qu'on pourrait nommer un
Eileen n'est-ce pas ? comme
a. dis-je d'
s que
nze
e ne suis pas censée être dans cette situation, bien que
t déjà dit, mais ici tu n'as rien à craindre, tu es libre de faire
s joues tandis que j'acquiesce s
si gentils ?.. Je
ns d'où exactement ? me qu
pelle. je les regarde d'un air dés
u n'es jama
première fois le plus jeune des enfan
n orphelinat de ma naissance jusqu'à mes neu
celui dont tu nous as par
O
risque Mr Lemoine tandis que Sar
rents, sinon j'aurais pas été là-
egardent, semblent avo
d'où ces cicatrices ? continue Mme Lemoine ignorant complètement
s de votr
ant quelques second
it brusquement Sarah, cassant l'ambian
raison... r
sé, les parents racontent des anecdotes sur leurs enfants pour détendre l'atmosphère. J'ai aussi l'impression qu'ils me t
par la baie vitrée de la cuisine pour aller sur leur terrasse de jardin, il m'appelle, je suis désorientée, il va me dire quoi ? Je sens mon fauteuil bou
er cinq minutes ? me demande-
le mome
ser auprès de vous... affirmé
ande-t-elle en me re
ée à nettoyer... Je suis désolée... je bai
jamais vécu ça, pourquoi maintenant ? Leur gentillesse caresse mon âme, la rassure. Je sens les la
qu'à ce que tu puisses te gérer toute
st pas un rêve ? C'est si bien... Je lance un rega
pas avoir... Non... Ils t'o
rer à la police, nous voulons être sûrs
des mauvaises personnes ? Mais j
eux brillent, je serai
e savons pas ce qui t'est arrivé et on ne t'oblige
ent les remercier,
ta chambre, à moins que tu aies
bon merci
r pour m'emmener dans la salle de bain faire
de alors Mr Lemoine, conti
ne que Naël et Sarah, je pense qu'elle est sincère, les enfants confirment l'avoir entendue
ent le prénom "Julian" et qu'elle le suppliait. C'est peut-être lui qui est la cause de sa peur maladive des hommes, i
e Lemoine. Pauvre fille... J'ai encore l'image de s
nt... se rappelle Mr Lemoine. Naël et Sarah ces deux têtes de
ous a
ns ma chambre, reste un peu avec moi, attendant que je sombre peu à peu