Les Larmes d'une Épouse Trahie
errait contre elle son manteau usé, ses doigts gourds et rougis par le froid disposant méticuleusement ses créations artisanales sur un morcea
rd'hui, ce n'était plus que des objets à vendre pour quelques e
du sang qui rongeait sa petite Manon. La musicothérapie était le seul traitement qui parvenait
avait disparu il
oyen, Adèle. Je te le
s'évanouir dans la nature, emportant av
ssise sur son lit, le regard fixé sur la fenêtre. La petite fille était pâle,
ama
faible, un s
mon t
té d'elle, lui car
-ce que Pap
it son cœu
mis de me faire écouter de la
mment expliquer à une enfant de cinq ans que son père, cet homme qu'elle avait toujours connu comm
ins une partie de la promesse de Paul. Elle emmena Manon au magasin d'instruments de musique du quartier. Manon ne rêvait pas d'un violon neuf et brillant, juste un p
rte, le propriétaire du magasin sortit
ois. Je ne peux pas
a les sourc
ulions juste regarde
, est passé ce matin. Il a acheté presque tout mon stock d'in
and sourire radieux qu'elle n'avait pas vu depuis des mois. Il tenait par la main sa belle-sœur, Sophie, qui rayonnait dans un manteau d
asion. Elle le vit. Dans un coin, près d'une poubelle, gisaient les débris de l'in
il était trop vieux, tout juste bon à jeter
petites mains s'agrippèrent à la jupe d'Adèle.
man.
murmure étranglé
nstruments pour Léo. Alors... pourquoi ? Pourquoi il ne veu
sanglots silencieux. Elle ne pouvait pas répondre. Elle ne pouvait pas l
res économies pour eux. Quand Adèle l'avait confronté, il l'avait traitée d'égoïste, de femme sans cœur. Elle avait cru
l n'avait jamais été sans argent. Il avait simplement décidé