Le Secret de Dix-Huit Ans
eclerc était trop forte pour être ébranlée si facilement. C'est Monsieur Dubo
r. On est là pour les affaires. On est dans la merde, complètement. J'ai des dettes de jeu, le pro
flambeau de la manipulation, se tourn
"Il a été menacé. Tu ne laisserais pas ton propre père finir dans le caniveau, n'e
ent pas venus pour des retrouvailles pleine
ême pas sa motivation. Ses yeu
e comme si c'était une évidence. "Une décapotable.
me, était sidérante. Pour eux, Jean n'était pas
s le regard de l'homme, la manipulation dans celui de la femme, et la pu
ences. "Vous affirmez quelque chose d'extrêmement grave. Vous demande
rc eut un ri
ardez Jean, si parfait, et regardez.
torqua Hélène, imperturbable. "Je veux une preuve
rdèrent, un instant décontenancés. Ils étaient si sûrs de leur hist
N ?" balbutia
s le laboratoire le plus réputé de Paris. Nous ferons les prélèvement
une mère, folle de joie, mais quelque chose la troublait. Madame Leclerc, alors une nouvelle employée, était trop empressée, trop présente autour du berceau. Un soir, prise d'une intuit
vait une petite ecchymose fraîche sur le bras, comme si on l'avait saisi un peu trop fort. Paniquée, mais gardant la tête froide, elle avait regardé le berceau d'à côté. Celui au nom de "Leclerc". Le bébé qui s'y
re bout du couloir, elle avait agi. Elle avait pris son bébé, son vrai fils, dans le berceau des Leclerc, et l'avait replacé dans le sien. Elle avait pri
entacher ce bonheur. Et puis, une pensée plus froide, plus calculatrice, avait germé en elle. Madame Leclerc voulait la punir ? Elle voulait lui faire élever un enfant "misérable" ? Hélène avait décidé de retourner la puniti
ui donnait une force inébranlable. Elle regarda les
élène. "Vous avez p
ésultat. Elle avait simplement attendu le bon moment po