Chloé, l'Ombre Toxique
sur un buvard, sur mon bureau, sous la lumière crue d'une lampe. J'ai sorti une loupe et de fines pinces, mes outils d'architecte paysagiste détournés pour une tâche désespérée.
se était un rappel de l'hum
a messagerie. Mes messages restaient sans réponse. Le vide qu'il laissait derrière lui se remplissait d'un
e téléphone a sonné une fois, deu
ll
tait une voix féminine, douce et mielle
ffle se
demandé, ma voix plus stab
rire de l'autre
ne douche. Il était si tendu, le
e qu'elle me fit mal physiquement. Je fermai les yeux, s
-moi. Mai
tellement... intense. Il a besoin de calme. D'ailleurs, il m'a dit de
Une valeur monétaire, si c'est la seule chose que vous comprenez. Je veux que tu me r
étouffé. Quelques secondes plus tard, la v
e mille euros pour un bout de papier ? Tu ha
sation me laissa sa
à ton téléphone, Jean-Luc ! C'est elle
est toi qui l'as provoqué avec ta crise d'hystérie ! Chloé
té d'un r
ux ! Elle a planté une épingle dedans délibéré
ocher à sa robe, c'était un geste innocent ! Mon Dieu, Amélie
it surface, aiguë
e tout ce en quoi il croyait. C'était la seule chose tangible qu'il me restait de lu
is, stupidement, qu'un reste d'humanité, un souvenir
v
On est au vingt-et-unième siècle. C'est du passé. Chloé, ell
me glaça le sang. Un petit sanglot, parfa
elle. "C'est de ma faute... Je suis tellement désolée
antanée. Sa fureur envers moi se mua e
voir quelqu'un d'autre réussir. Écoute, Amélie," reprit-il, sa voix redevenue dure comme la pierre. "Je ne veux plus entendr
ité morte. Il l'avait appelée "ma puce". Il avait pris sa défense avec une férocité qu'il n'avait jamais eue pou
lus rien à sauver. Plus d'amour, plus de respect, plus de mariage. Il ne restait que le champ de bata