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Un an

Chapitre 3 Sur un nuage avec T.

Nombre de mots : 2497    |    Mis à jour : 09/11/2021

s de

lde et même aux doux paysages de Touraine d'Anaïs. Mais avant les vacances, il faut passer les derniers jours de cours à l'école, et passer les examens finaux. Après, si tout va bien, c'e

u tordus qui nous demandent de la finesse dans la réponse. Mais ce n'est quand même pas un cours de philosophie ! Et puis je sais que T., qui est dans le même cours que moi, m'aidera. C'est un crack en fiscalité, il a toujours les meilleures notes, il parait que c'est parce que son père est fiscaliste. Je ne sai

le samedi qui a suivi, il m'a appelée à la maison. C'était le début de l'après-midi, je venais juste de me lever, et je traînais à la cuisi

a ? » me demande T.

lever, j'ai dormi comme un bébé. » Je n'ose pas encor

rendre un pot ensemble ce soir

s comme projet de retrouver Mathilde pour un cinéma à Paris, ma

café branché du boulevard Saint-

tion que je parle à qui que ce soit à la maison, je passe l'après-midi dans ma chambre à écouter de la musique, sans sortir, malgré la chaleur tor

man que je ne serai pas là le soir.

nnable de sortir deux jours de suite, tu dev

dre un pot avec des amis, je

nds la v

à Paris, je pre

cord sur ce qu'il me faut mettre : comme il fait très chaud, je choisis un short court en jean blanc et un petit débardeur à bretelles de couleur rose. Je passe un mini-sac en bandoulière autour de mes épaules, et des san

du métro, je suis frappée en pleine figure par la chaleur étouffante de la capitale, le macadam a l'air de fondre sous mes pieds, les immeubles

cousin et Marina, une amie. Je leur fais la bise, et je m'assois à côté de T. C'est curieux comme tout est si facile : s'assoir

ère a pris en coup de sang et lui a demandé de ne plus revenir tant qu'il n'aurait pas réfléchi et pris une décision raisonnable quant à ses études. Et ça, c'était il y a cinq mois, pour les partiels de janvier. Tomas, buté, est parti, et s'est trouvé un bo

'a emmenée chez lui. Ça s'est passé tout seul, si simplement, si naturellement, comme le café fermait, il m'a fait monter sur son scooter, et il m'a emmenée au pied de son immeuble où il s'est garé. Je l'

quand il dort. J'avais le corps rempli du souvenir de ses caresses et de ses étreintes. Je n'avais pas beaucoup dormi, j'étais encore comme un somnambule tout attaché au sommeil, et tout éveillé aussi. J'étais en état second. Je me suis levée et mes p

, il a allumé sa première cigarette. Une Gaulo

30, train dans lequel j'ai retrouvé d'autres étudiants qui font la navette comme moi entre Paris et l'École, et parmi

s le bras. Arrivés à l'école, dès le premier cours fini nous nous sommes retrouvés à la cafétéria, comme nous faisions tous les jours, mais cette fois-ci ensemble. Ça s'est passé tout naturellement de me présenter ainsi ensemble aux copains. Mathilde et Clémence ont levé u

tous les étés, et après elle part six mois dans une Université mexicaine, et je comprends que je risque d'avoir du mal à la voir pendant tout ce temps. Mais elle parait si contente ! Quant à Clémence, elle partira en Bretagne, sa région d'origine, où elle a prévu un stage caritatif da

lité, les examens se passent comme dans une routine, tout cela est comm

erçue, mais l'année s'

d'heures volées à la bibliothèque pour préparer un dossier, plus de révision en vue des examens. Tout est redevenu calme. J'ai mis en vrac mes cahiers et mes classeurs dans un coin de ma chambre, ne sachant pas trop quoi en faire, n'arrivant pas à réaliser que c'est fini. Vraiment fini. Qu'il n'y aura plus

Je devrais chercher du travail, d'ailleurs ces dernières semaines j'ai déjà reçu des propositions, mais rien ne m'a emballée ;

niquement le jour présent, l'heure présente et la minute présente, que je passe avec lui. Je suis avec lui, contre lui, je l

scrète vis-à-vis de mon frère et de ma sœur, ils ne sont pas souvent là, mais je n'ai aucune envie qu'ils me découvrent avec T., je ne veux rien leur livrer

l me prend plusieurs fois, il a toujours l'air insatiable. Quand on va chez lui, c'est plus amusant, il habite un très beau studio luxueux derrière l'Assemblée nationale, avec un grand balcon qui court le long de la grande porte-fenêtre. Cet appartement, cet immeuble, ce quartier, ils me semblent si différents de ma maison en meulière et de mon quartier résidentiel de banlieue,

Je suis chez mes parents, dans leur maison, mais je ne vois même par qu'ils sont là ou pas. Bien sûr, ma mère est toujours là, mon père je ne sais pas, il est souvent en voyage, et quand il est là, à part exploser en fureur, il est ab

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