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Hadès’s Creepy Rider : Psyko

Chapitre 4 Qu’est-ce qui t’as pris

Nombre de mots : 5210    |    Mis à jour : 09/11/2021

bre 1

yro

des courses illégales de motos et de voitures. Tout le monde peut y participer du moment qu'ils on

n adversaire, un petit gosse de riche venu chercher des sensations fortes, est furieux d'avoir perdu sa mise et je le compren

une queue de poisson dans le virage et

cule et hurle à tout va, croyant que ça va m'intimider. En temps normal, je n'aurais pas hésiter à lui fra

t étant de gagner par n'importe quel moyen. Enfin, c'est comme ça que je vois les choses et tous ici savent que concourir avec

iser le petit cadeau si gentiment offert par ta maman. T'a

od capitaine du club. On a grandit ensemble lui, Peter et moi. Je donnerai ma vie pour eux. On a fait les quatre cents coups ensemble et bien

e, avec ses cheveux longs blond toujours attachés, rasé sur les côtés faisant apparaître des tatouages. Un corps travaillé comme le nôtre, Alex possède les yeux les plus

pour nos semblables. Quand je les rejoins, une bière fraîche m'attend pour fêter ma victoire. Je hèle Zander, un petit jeune qui tra

e lui balance les clés de mon butin alors que

r l'heureuse élue de ce soir, quand un corps chaud vient se coller à moi dans mo

il s'agit et je ne suis pa

, me susurre t-e

dégage de son étreinte un peu brusquement la faisant tituber. En même temps

ouer ailleurs, lui intimè-

bon coup, j'en sai

lle est toujours partante. Ça ne la rend que pathétique à mes yeux, mais depuis un moment j'ai remarqué qu'elle devenait un peu plus dés

prévenue quand on a commencé nos petits jeux salaces et ma réputation en dit long. Mais apparemment va falloir que je le lui rappelle

de plaisir, pas d'attache. C'est pourtant simple non ? Elle a l'air vexée vu la tronche qu'elle tire, et les rires graveleux de mes comparses n'

essus. Je la regarde s'éloigner roulant du cul comme la chienne en chaleur qu'elle e

déclare soudain mon cousin

us. Notre deuxième maison où l'on joue au chat et à la souris avec les flics loca

e t-il d'un pied à l'aut

sourcils en le

J'aurais préféré ! Mais malheureusement le vieux m'a appelé pendant que tu faisais joujou

and t'as une ardoise chez nous, c'est soit tu payes, soit tu crèves. Ils le savent. Ceux qui viennent

ire à l'envers ? Dans ces cas là, même supplier ne peut pas les sauver, au contraire, ça me fout les nerfs encore plus. Les entendre pleurnicher, g

des absences, des trous noirs et quand je reprends pieds, j'ai les mains couvertes de sang. Entre la course qui coule encore dans mes veines, la tension qui règne s

teste les bagnoles à part quand il s'agit de faire hurler le moteur lors d'une course. Je me sens enferm

e le plein. Ce qui va nous retarder pour notre petit rendez-vous surprise. Arrivé sur place, mes doigts enroulés autour du volant se crispent, reconnai

uis la banquette arrière. Bizarrement, à ce moment pr

la plupart, l'aversion q

, cette petite meuf qui est arrivée dans ma ville il y a deux mois de

n de tension qui me vrille le ventre, sans savoir quel effet exactement ça me fait. C'est désagréable, limite douloureux. Ça monte

ctérise pas du tout le sien. Je ricane de mes conneries. Mais avec elle, ça devient très vite incontrôlable et le jeu

es petits doigts, j'ai cru que j'aillais la tuer. C'était la première fois que je l'a rencontrais et il était hors de question que

itement le domaine, mais bordel c'est une meuf merde ! Et mon bébé tourne parfaitement. Sau

rder et lui faire un check

nales et demandé gentiment

que j'avais presque crié en me déco

r dans un garage si c'est p

me ils le font tous quand j'élève un peu l

. T'as qu'à dire que tou

, son regard étrange dans le mien. Mon regard a glissé vers

r cro-magnon, mais je sais parfaitement ce que je dit. Ton petit engin manque de débit et c'est pour ç

pas se taire et mon san

celui-là d'engin et tu verr

sur mon entrejambe, ces yeux écarquillés, ses joues teintées de rose, m'ar

? Regarde la moto et tu

le garage. Putain mais pour qui elle se prend cette connasse ! Personne ne me parle comme ça ! Je crois que c'est de là,

faisait bien longtemps que je n'avais pas jouer à ce jeu là

tal

es de la voiture. Elle gesticule dans tous les sens sur le siège passager, improvisan

ivée ici, il y a deux mois. Je baisse un

et après je vous ramène toi

irée n'est pas fini

t bourrée ! Il est temps

att, on devrait y allez ! s'exclame Zara-la-poche

r prog

gesticuler et remonte le son. Je crois que je n'aurais pas le des

appuyant sur l'accélérateur. Un quart d'heure plus t

déclare mon amie. Je n'ai pas le temps de répondre qu'elle entraî

ur avec son visage enfantin. Je ne sais pas si nous serons de grandes amies, elles et moi, mais j'apprécie vraiment leur compagnie. Je souff

a vie ne serait clairement pas la même sans elles. Je sors de la voiture et commence à faire le plein de la Golf quand une musique, enfin plutôt des basses rés

ous les réverbères de la rout

nquait plu

Je comprends qu'ils en descendent quand la musique encore étouffée dans l'

d'eux en est à l'origine. Mayron. Je déglutie difficilement, et ose jeter un regard dans la vitre de ma voiture pour voir ce qu'ils font. Mon reg

pas ça qui me dérange le plus. C'est cette aura sombre qu'ils dégagent. Surtout lui. Il a beau avoir une gueule d'ange, je crois que c'est lui le pire. Notre

l s'approche et reste dans mon dos ce qui me semble être une éternité. J'ai l'impression de l'entendre respirer plus fort, comme pour...

il nous faut, ordonne t

e. J'essaye à grand peine de contrôler ma respiration et de jouer l'indifférente. Co

c'est

finis mon plein et vais reposer le pistolet dans son logement le plus dignement possible. Puis je retourne à la voiture et fer

t les regards portés sur lui. Je l'ai compris à mes dépends il y a quelques semaines. Son regard insistant et son silence me

onversation avec le caissier. Mon regard croise celui de kali et elle me sourie en secouant des paquets de chips. Cette folle perd l'équil

es cris d'ici, en brandissant les bras dans les airs. Une fois que mon amie c'est redressée et se complaint en escuses à moitié mor

Mayron. Mon rire se meurt quand mon regard se pose sur lui. Il s'est complètement tourné, se trouvant maintenant face à moi. Je

gèrement bossu. Peut-être un peu trop de coups reçus lors de ces bagarres. Une bouche pleine, d'où s'étire un léger rictus

cre. De cet angle je ne peux voir ce qu'il représente. Je continue mon exploration sachant pertinemment que je ne devrais pas le détailler de cette manièr

sine des muscles saillants. Je comprends mieux pourquoi toutes les filles lui tombent dans le

est-ce que j

es m'arrachent à mes

ndigne kali. À coter d'elle, Zara est

alment enfin quand elle découvrent le garç

nd même !! De toute manière engager la conversation avec lui n'était pas du tout dans mon programme

lors il ne gâchera rien. Soudain un crissement de pneus retenti, et une voitu

ade ! demande Zara

lle des Hadès et le passager e

Mayron qui se déc

et me font comprendre qu'un règlement de compte va se

i et moi ! beugle le nouvel arriv

'offrant son large dos comme tableau. Et quel tableau ! Même le plus grand des peintres n'aurait pu dessin

est quoi le problè

ttéralement ces muscles se tendre. Mon dieu ! Ça va dégénère et

roupies derrière la voiture : — Faut qu'on se casse et vite, chuchote t-elle. Elle aussi a dû sentir le d

etits cris de stupeur de mes amies et ce grognement d'ours m'atteignent, mais je ne bouge pas de ma position. Comme ancrée au sol. L'homme de la voiture r

ère notre voiture. Je penche la tête pour regarder la scène, ma curiosité malsaine prenant le dessus sur mes actes. Mayron se jète alors sur son adversai

au sol, sur le dos dans un bruit sourd. Je plaque ma main sur ma bouche pour étouffer un cri, mon cœur palpitant

alors à toute allure sur les deux

à une déferlante de coups de poings, de pieds et je crois même e

a voiture et bar

aline, commence à ouvrir la portière de la voiture quand une détonation fend l'air, suivit par nos cris de peur. M

ttre en colère depuis mon arrivée ici. Celui-ci lève les mains en l'air. Mayron ressemble à une statue de sel, seul sa respiration frénétiqu

e drôle de façon. J'ai peur, peur pour mes amies, pour moi, mais étrangement pour eux aussi. L'acolyte de crâne ras

oiture noire des bikers, les hostilités reprennent entre les cinq brutes. Mon dieu de vrai sauvages ! Comme une intuition, ma tête se tourne en d

n train d'appeler

pas vrai !

aisser se démerder avec tout ça, mais je ne sais pas pourquoi je décide d'agir comme je vais le faire. Je n'ai pas envie d'être mê

ée à la hauteur de leur voiture, je m'allonge au sol et cherche l'arme des yeux que j'ai vue glisser. Elle gît là, à quelqu

a vie. Je me redresse, lève ma main armée et tire. Sous la détonation je ferme les yeux et la puissance du cou

ns bon, voulant montrer qui commande. Après tout c'est moi qui e

ez vous barrez ok ! Parce que au cas où t

fet sûrement recherché, car un silence assourdissant fait maintenant place dans la station service. I

u tuer qu

est alors que la voix de mon

arge ! Putain on se

is que je réalise complèteme

s par la haine, qui n'aspirent que de voir le sang couler. Où est-ce autre chose ? J'ai l'impression de tomber du haut d'un

mort me pourchassait. Au même moment le caissier sort en gueulant qu'il a appelé les flics et je m'engouffre dans l'habitacle suivie par kal

moi. Mayron n'a pas bougé, il nous regarde nous éloigner alors que son cousin le tire par le bras pour rejoindre leur voiture. Celle de c

ètement. Je m'installe confortablement contre le dossier du siège. L'adrénaline produit par mon corps se

e malade ! s'exclam

ement siphonnée du bulbe ou quoi ? me h

e de ma transe. Je hausse les épaules et ma tête roule en arrière tapant contr

ais rien

uiv

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