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Hadès’s Creepy Rider : Psyko

Chapitre 3 Révélation

Nombre de mots : 3788    |    Mis à jour : 07/11/2021

tal

r. Tout y est passé, même ma voiture. Que croyait-il trouver au juste ? Une arme de destruction massive ! C'est dans un état de rage

hémisme. Je regrette d'autant plus que Sarah est due subir tout ça. Après cet épisode dérangeant, nous av

le sang à l'idée de la mettre dan

lée, dis-je d'u

a été respectueux, donc il n'y a pas de mal ! C

nt. Elle a l'air sincère dans ses propos et je ne cherche pas plus loin. Je la connais assez pour savoir que si elle avait que

a vue. Je lui en suis reconnaissante et ça m'apaise. Peter a toujours été bienveillant avec moi, il faisait souvent tampon entre son meilleur am

ie, enfin du moins 'qui' le représente. J'ai remarqué aussi les nombreux écussons brodés sur sa veste. Sur l'un d'entre e

ds vu le temps abrégé que j'ai passé ici, mais je me souviens des p

depuis quelques temps un autre club leur pose des problèmes. M'avait-elle expliqué. Vaut mieux pas leurs chercher d'ennuis. Ils sont dangereux tu sais ! Une fois j'ai vu l'un d'eux se batt

oyaient dans les couloirs du lycée où lors des soirées. Compliqué de rester en retrait et de les éviter.

te, créant tantôt des bosses puis des nids de poules. Et puis mon souffle se coupe en apercevant le garage de mo

iée. Je sens que ce que je m'apprête à découvrir ne va pas du tout me plaire. Une dizaine de motos semblables à celles qui nous

à ça ! C'est immense !

sidérée. Tous mes muscles sont tendus à l

qu'est-ce qu

nées. Je remarque trois types en cuir installés sous le porche qui scrute notre arrivée

e bordel ? Pourquoi sont-il

te le savoi

t retarder l'affrontement, juste à cô

es en droit d'être ici d'accord. Je sais qu'elle dit vrai. Ce ne so

és à la vitre, nous faisant sursauter. Ma portière s'ouvre sur Peter, son regard indéchiffrable nous p

quand se moment c'est la merde, alors rest

ut le corps. Je ne sais pas à quoi m'attendre et les propos

reprend soudain Sarah. Peter lève

les deux. Sarah n'est pas du genre à se laisser impressionner par qui

rien, je suis fatiguée de tout ce cirque, de la route et de cette chaleur insupportable. Je veux savoir

discrète. Maintenant amène n

ssez pour me laisser descendre. Je jete un œil à Sarah, sa bouche formant une fine ligne m'i

i s'il te plaît

e lui a pas appris à parler à une

gnez-vous maintenant j'a

discrétion o

n agacement. Elle contourne la voiture pour rejoindre mon côté. Je ferme mes paupières et inspire profondément essayant de calmer

qu'un frisson me glace le sang. Je sens que nous sommes observées et ça me pétrifie. J'ai la sensation d'être un agneau pourchassé par des lou

oignez pas d

phrase. Tout mon corps se contracte en écho, sentant un danger imminent

s de la chair fra

ais dans le passé, je la reconnaî

et, réveillant chaque cellule, chaque muscle de mon corps. Je ferme les yeux aussi fort que possible, mes ongles se plantent dans les paum

et endroit. J'entends ses pas lourds et traînant racler le sol cramé par le soleil, il se rappr

utôt pas mal vu d'

je tremble comme une feuille. Peter doit sentir ma d

.. spécial. Je dois les amener voir Dean. déclare-t-il

vouloir me protéger en assurant mon anonymat, mais c'est mal connaître

oi de si spéciales ces br

bis mec, grogne mon

estion ne voulant pas perdre une miette de leur échange. Toujours dos à Psyko, qui ne semble m'avoir reconnu, j'espère seulement qu'

n une question me vient à l'esprit. Si Peter est

aires frangin ! Dean n'en saura rien. J'entends à sa voix, son

et ses bras croisés sur sa poitrine comme si elle tenait un bouclier pour la protéger. Psyko doit dégager cet

urée face à lui. Aujourd'hui je ne veux plus avoir peur ! Il ne me brisera plus comme il a eu fait par le passé. Si l

dont les boucles sont défaites. Puis un jean complètement destroy bas sur des hanches fines, une ceinture l'empêchant de tomber. Mon regard remonte, lentement, détaillant chaque parcelle de son corps. Il po

hme cardiaque déjà laborieux, devient maintenant chaotique. Une étrange sensation s'infiltre dans mon ventre. Comme si des milliers de papillons venaient de prendre vie, là, au creux de mes entraill

s, quand mon regard se perd dans le sien. Mon cœur rate un battement, peut-être deux, pour reprendre sa course folle. Je n'entends que le son du tambou

syko

e. Chaque soubresaut. Un grognement s'échappe de ses lèvres du plus profond de son thorax. Se répercute dans mon corps bri

urquoi on m'a pas prévenu bordel ? hurle-t-il. Il recule sans j

elle est ici mon frère ? Vu la s

n je me tourne vers

pourquoi personne ne veut me mettre au parfum ? Pourquoi me faire venir et me l

'homme de tous mes tourments, sa mâchoire est tellement serrée que j'ai peur qu'il ne se

me répondre

terrompt une voix rauque derrière nous. J'imit

transformer ce qu'il le regardait en statue de pierre. Moi, je ne l'entends pas de cette oreille. J'attrape

n haut des marches. Je me sens petite mais me plante devant

e passe ? balance-

he son cigare et en

me, dans la fleur de l'âge malgré les quelques rides que je peux distinguer autour de ses yeu

lli. Quoi ? Non mais je divague complètement là ! Je tape frénétiquement mon pied sur le sol, ma patience s'effri

Monsieur Sullyv

ant que les autres petits cons décident d

plutôt fascinant. Son blouson identique aux autres est tellement tiré sur ses muscles, que je jurerai qu'il va s'ouvrir en deux. Mais ce sont ses tatouages qu'il a

les suivre, me

mment pourrais-je la remercier d'être une amie si parfaite ? Toujours présente, à l'écoute. Je ne le pourrais pas ! Je lui

n'a changé ou presque. Les mêmes meubles disposés ça et là, la même tapisserie crème bien qu'un peu ternie. Juste en face de moi se trouve l'escalier en bois menant vers l'étage.

de Mayron me tirent de mes songes. Je la chasse rageusement, ne voulant pas qu'il me voit pleurer. Il se poste à côté

train de chiale

enfl

t des choses plus importantes à régler. Je le contourne donc, sans un mot, la main toujours cramponn

༆༆

uverte et des voix filtres par l'entre bâillement. Je peux reconnaître le timbre de Monsieur Sullyvan m

est assis sur la chaise où prennent place les visiteurs habituellement. Ses

t vous aussi band

e, et que je comprends que les deux autres bikers sont derrière moi. Je m'autorise quand même une minute supplémentaire pour découvrir mon environnement. Ici non

ace. Mon regard rencontre celui du jeune homme croisé un peu plus tôt devant la grille. Cam' si

r dans la pièce, Sarah

, on a pas toutes

ennent place suivant leur hiérarchie. Sans hésitation, le Chien de l'Enfer s'installe à la droite de son père, Peter à côté de celui-ci.

filles ont fini de repoudrer le

as le temps de reb

n qu'il sait passé quelques choses de grave n'est-ce pa

hacune de ses palpitations. Je hoche simplement la tête en gu

t'a demandé de rentrer. Étant donné la crise à laquelle nous faisons face, on a décidé d'agir au mieux pour les nôtres. Je ne vais pas rentrer dans les détails parce que c'est une histoire qui concerne le Clu

mère, mais seulement elle. Ma question fuse

i est là-bas ? Le silence

on couteau papillon avec lequel il se cure les ongles s'est figé dans les airs. Peter triture des papiers

viens gamine. Ta sœur

uivr

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