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Hadès’s Creepy Rider : Psyko

Chapitre 2 1✰ Retour aux sources

Nombre de mots : 4550    |    Mis à jour : 07/11/2021

ns plu

ata

ée par le film qui se joue sur mon écran. Enfin le film, plutôt une série téléréalité s

assion d'adolescente. Ça aussi on me l'a arraché. À cette pensée, une boule acide se forme dans

tous les sens pour savoir pourquoi il a agit de la sorte avec moi, sans y parvenir. Dans tout les scénario

ellement. Quand je suis arrivée chez ma tante, Amy, j'y est trouvé de suite ma place. La sœur de ma mè

enfance, mon oncle, avec qui elle a partagé plus de vingt ans. Il s'en est allé suite à un accident de voiture, un jour en rentrant du boulot, nous rappelant que la vie n'épargne

Elle a su réchauffer mon coeur tant de foi brisé par les humiliations que j'ai dû affronté par le passé. Son amitié m'a permis de

ment sur la côte Est de Baltimore. Un job de barmaid dans le même bar, Sarah et moi, vivons comme un couple et cela me va parfaitement. J'ai réussi à remettre m

prospéré et marche très bien. Ma petite sœur, Cassandra, est devenue une jolie jeune fille, toujours plongée dans ses bouquins à l'eau de rose. Ma sœur est

rupture irréversible entre mon père et moi. La porte d'entrée claque

! Ces mecs sont des o

ur le canapé derrière moi comm

la sonde. Un de ses bras recouvre ces yeux, tandis que l'autre p

r ce qu'il t'arr

st que j'ai la chatte en f

profond rencontrent les miens. Elle finit par ex

jardin secret enfoui au plus profond de nous. Bien sûr j'ai eue quelques aventures, mais rien de sérieux et c'est très bien comme ça. Je ne cherche p

elle et encore hilare je

uai

'off ', plus rien n'existe à par la voix à l'autre bout de la ligne. Mon père. Une seule phrase avant que les tonalités

uelques de grave, r

atre heures. La suite des événements est floue dans mon esprit, comme si je vivais ma

? Tout est confus dans ma tête. Ce n'est que quand elle m'a secoué, son visage angéliq

... rentrer

s ! Comment pouvait-il m'appeler, au bout de tant d'années de silence radio, pour me

ui. Je me souviens, dans le brouillard qu'est mon esprit, qu'elle a de suite pris les choses en main. Fait

ires de famille, s'il m'en reste une encore aujourd'hui. Les

ule ? Aller dans cette maudite ville et te confronter à ce qui se passe sa

mon cœur. Si mon père a daigné prendre le téléphone et m'appeler, c'est que la situation est préoccupante, voire gra

bijoux que je me suis offert il y a deux ans pour une boucher de pain. Une mustang noire que j'ai bien sûr retapé à l'aide d'un ami mécano. Assise côté passager je regarde d

'à Saint Anthony, situé dans l'état du Maryland aux États-Unis, et je

༆༆

lumière trop forte m'éblouit, m'obligeant à papillonner des yeux. Il me

e nous sommes arrêtées sur un parking

e, déclare mon amie. Je me frotte les yeux et m'étire comme je peux

ncore loin

eure et on sera à Sa

un bout et je p

nstant mon stresse n'est qu'une petite boule logée dans mon ventre mais je sais que quand viendra l'heure, elle se transfor

e garder le contrôle de mes émotions. Sarah doit s

is avec

nte ! Je presse en retour sa main en guise de réponse, ne pouvant pas desceller les lèvres. Je dém

étines. Après ces cinq années loin d'ici, me voilà de retour. Dans d'autres circonstances

evenir dans cet endroit qui a été le poi

ma famille, là où était ma place. Hélas, on n'a pas toujours ce que l'o

on que le temps s'est figé depuis mon départ. Je retrouve les mêmes maisons fleuries, le vendeur de hot-dogs au coin d'une rue. Des parents s

et, les chaleurs ici sont écrasantes et les heures de route que nous venons de passer au volant, m'ont épuisé. La fatigue, le feu du dehors grignotent peu à peu

e la ville, à la peau blafarde et au mensuration de rêve. Elle était tout mon contraire quand j'y repense ! Grande, fine et élancée. Un mannequin en devenir. Alors que

nnoncée que je partais. Je me souviens

usés par ce... truc. m'avait elle dit. Je suis si vexée que tu ne re

nt : importante. Mais je ne pouvais pas rester. Il aurait mis ses menaces à exécution et il en était hors de question. Et puis la

sais pas ce qu'elle est devenue mais je suis sûre qu'elle se serait très bien entendu avec Sarah. Me remémorer t

-ci, un haut le cœur rien qu'à l'idée de le revoir...lui. Peut-être arriverai-je à l'éviter le temps de

te un instant pour me donner un semblant de courage. J'en est besoin pour affronter ce qui va suiv

ux. Mais si cet enfoiré en décide autrement, il fera tout ce qu'il y a en son pouvoir pour

eya, tu n'es plus une gamine ! Je me répète cette phrase comme un mantra pour me donner le courage

e. Je suis en pilote automatique, me laissant guider par mes souvenirs, je serpente sur cette

chée aux pieds d'une montagne aux roches acérées. Le panorama est d'une beauté sauvage à l'état brut, ma

rir leur garage, pour y couler des jours heureux, loin de la pollution des grandes villes. Je me souviens encore de leurs sourir

, et t'as vu tout cet esp

comme la façade écaillée à repeindre ou le toit du porche, mais ce n'était pas grave. Nous allions la remettre sur pied et ce sera

père se posa sur mes

arée, ça sera ton peti

a direction tellement vi

ent la tête en guise de réponse

onitruant s'élevait dans les airs faisant s

trouvait une structure un peu plus moderne, faite de bois et de métaux. Assez imposante pour cacher la maison de la route. C'est à cet endroi

époustouflants. Corpulent, des cheveux d'un noir corbeau dont j'ai hérité, une barbe bien taillée. Il me faisait pen

pprendre son métier : passionné de voiture. C'était dans ces termes qu'il parlait de son job. Ça me faisait toujours r

à ma naissance, sur toutes les photos, je suis habillée en bleu et qu'aujourd'hui

nait. Ou que je refusais de mettre des jupes et des rubans dans mes cheveux. 'Trop fille ' à mon goût. En grandiss

moi. Puis ma sœur est arrivée, mais cette fois c'est ma mère qui a été comblée. Une vrai fi-fille. Tout ces souven

༆༆

suis partie. Je fronce les sourcils alors qu'un mec gringalet se dirige vers moi. Il porte un jean large, un

tre. Il se stoppe à ma fenêtre, un petit sourire sur ses lèvres fines. Ces yeux sont marron presqu

dez m'dames ? nou

suis la fille de D

a phrase que des vombrissement a

e se raffut et c'est avec horreur que je remarque l'écusso

uoi ce b

ien qu'en voyant cette appellation. Mais elle me submerge, m'engloutie. Elle me broie les

eux de miel, où se reflètent les flammes de l'enfer. Je tente malgré tout de ne rie

hausse simplement les épaules et serre les de

ge, m'étouffant, tel un python resserrant sa prise. Mes phalanges blanchissent tant je suis cramponnée au volant. Je m'aperçois que je ne suis pas prête ! Je

masse sombre au cheveux clairs. Ce blondinet, je le reconnais. C'est Pet

-ce qu'o

me. Quand je suis partie, il avait tout juste 17 ans, une voix profonde tirant encore sur les aigües et une ca

échappent. Il a toujours été un beau garçon, attirant les jeunes filles comme du miel sur une tartine de pain. Ce serait menti

lexions du style 'faut faire un régime Leya ! ', 'les bouées, c'est pour la mer tu sais !'... . Des méchancetés gratuites qui m'ont ma

nnar

es mois de sport intensif je me suis musclée en m'inscrivant dans une salle de sport. Je sais

ent, mais quand son regard se pose sur moi pour la première, je s

...Leya ! s

un murmure et me donn

rête à en découdre : — B

magnifique mais me fait froid dans le dos quand je vois le logo en noir et or, pein

le augmente d'un coup, mon sang fouettan

va très mal le prend

e un uppercut dans le ventre s

est encore temps. Mais il est hors de question que je me laisse encore une fois dicter ce que je dois faire

soit furieux. Je veux voir mo

pas remarqué jusqu'à maintenant. Assis les avant-bras appuyés sur son guidon, un homme d'une trentaine d'années nous scrute. Il arbo

dinaire, plus vieux aussi. Je dirais une cinquantaine d'années. Une barbe et des cheveux blanc/gris, lui donnent une allure

les emmerdes que ma venue

. Par contre je suis obligé de te foui

s me bruler à son

Devant sa mine sérieuse, je

avant-bras sur sa large poitrine, faisant prendre vie à ses innombrables tatouages avec ses muscles. Je déglutis péniblement face à ce spectacle, observa

enté de rattraper, mais qui résonne encore dans ma boîte crânienne : Étrangère. J'essaye d'affiche

prends. Et c

ndre de mon véhicule. Je regrette aussitôt de m'être habillée avec ce short en jean brut trop court élimé qui laisse entrevoir mes poches. Mon

commence seulement à prendre conscience dans quelle merde je suis en train

mie auss

rd mais elle se contient. Je la supplie au travers du mien de ne pas faire d'histoires et de faire

autre vie, avec leurs motos, leurs tatouages et

Rider et je m'apprête à

uivr

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