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Âmes sauvages

Chapitre 5 L'aigle, la carne et les cinq cavaliers

Nombre de mots : 1201    |    Mis à jour : 09/06/2025

alise semblait chauffée à blanc, le plastique grinçait, les roues butaient sur l

rement pas aujourd'hui, » marmonna-t-elle

cisions plus ou moins foireuses, empaquetées en une valise trop lour

fé glacé vanille. À chaque nouveau juron qu'elle bredouillait dans sa barbe, elle sentait s

blabla... Mais là, j'ai surtout l'impression d

ibrait. L'ombre ? Une lé

able de cuir ancien. Les cigales hurlaient quelque part dans l

endit l'air - clair, p

x, aveuglée un in

le, dessinant des cercles lents et précis dans un ciel aussi bleu

e aujourd'hui. Trop de colère, trop de sarcasm

plaisantait, son regard

ut ba

ans ses tempes, comme un battement venu d'ailleurs. Son champ de vision se b

'aigle. Elle voya

sectes, les empreintes fraîches dans la poussière, le frémissement d'un brin d'herbe. Chaque ombre révélait un détail, chaqu

oin...

ssant de la lisière des arbre

ce brutale. Des silhouettes amérindiennes, fières, lances dans le dos et regards droits. Leur peau était dorée, leurs torses nus musclés comme des st

rompit br

e martèlement des sabots approchait. Un grondement venu du fond des âges. Les cris stridents des ca

. Ils pensent que je suis u

alopant et se cabrant dans une chorégraphie maîtrisée. Les sabots fendaient la terre, les muscles luisaient so

cula - mais il n'y avait aucune sortie

ue chose en

SUFFI

puissante. Pas juste de la colère, mais une injonction

tomba comme

mais aucun ne bougea. Les cavaliers se figèrent. Le vent

battant à tout rompre. Et c'e

âlée, leurs torses gravés de tatouages et de symboles tribaux. Leurs cheveux noirs, longs et épais, étaient tressés et

moins elle me brouillait la vue, » pensa-t-ell

ttira immédiateme

comme si elle était une anomalie, une souillure, comme si elle n'était qu'un inse

ptisa intér

à-la-tête-de-

r. Un sourire fendit le visage du p

-il en désignant le colosse renfrogné, « et là,

cercler comme un tr

éclata

arde... enfin, celle de Nashoba, ma

ns qu'elle venait de recevoir. Donc si ces quatre-là é

n. Devient plus approp

heval devant Moïra. Tokela remonta sur son étalon et se plaça à

sans le chaos. Juste une tension froide et silencie

à partir, elle leva un so

nsé que j'aurais peut-être besoin d'un che

s épaules avec u

e une grande, » répondit-il. « Par contre, traîne

es yeux et re

nde de connards ! Et il re

agique digne d'une actrice de film muet et lanç

pendant des semaines... ils se foutent

t. Poussiéreuse. Rouge c

la

le vi

qu'on lui offrait...

que part là-haut, l'a

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