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Alpha en Exil

Chapitre 5 Chapitre 4

Nombre de mots : 1144    |    Mis à jour : 06/05/2025

l'armature du trône, et chaque muscle de son corps semblait tendu sous l'autorité qu'il imposait. Il n'y avait plus de place pour les doutes, pl

tranchante, comme une lame acérée. « Vous m'avez trahi, vous m'avez sous-estimé

essa lentement, son visage marqué par les années et les batailles. «

a loyauté se gagnait par des mots. Mais j'ai compris quelque chose que lui n'a jamais su : le

nt les yeux fatigués. Ils savaient ce qui se passait à l'extérieur. Les hommes de Kieran étaient déjà en train de capturer les anciens partisans de Redan, ceux

te, comme un avertissement qu'il ne croyait pas nécessaire. Mais

an, un guerrier respecté autrefois. Il avait toujours cru en la force du clan, en la loyauté indéfectible qui unissait les membres sous le commandement du véritab

ssa l'homme en avant, l'amenant devant les anciens qui assistaient à la scène,

nté. Il pensait qu'il pourrait garder sa place parmi vous. Mais il a été trop fai

à genoux, haletant de douleur. Les anciens détournèrent le regard, incapables de supporter la scène. Ils étaient témoins

ter de moi. Vous voyez ce que signifie résister. Maintenant, vous alle

lus d'issue, plus de chance de contester. Kieran avait bien compris le jeu : jouer sur la peur, sur l'humilia

rempli d'un mélange de désespoir et de défi. « R

. « Redan n'est plus. Il est parti, et il n'y a plus de place pour lui ici.

veau, et Kieran donna un dernier coup de pied d

bougea, personne ne s'opposa. Le règne de Kieran venait de commencer,

ssés sur leurs mains tremblantes. Chaque souffle, chaque regard, portait le poids de

an, il n'y avait plus de place pour

es des anciens, ceux qui avaient eu la malchance de survivre à sa purge. Mais ce n'était pas eux qu'il attendait. Il avait convoqué u

l s'avança lentement, la démarche hésitante d'un homme qui ne craignait pas la mort, mais

-ce pas ? » Sa voix était rauque, mais f

oirs du trône, un air de défi sur le visage. « Parle, devin

utre ne pouvait entendre. Le murmure de ses lèvres se fit plus fort, plus p

ent de ta domination. » Le devin rouvrit les yeux, et ses pupilles brillaient d'une lumière étrange. « Tu t'es cru

rsant son regard. « Des prophéties et de

ave s'élevant dans la pièce. « Le loup n'est pas u

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