Alpha en Exil
réagir que l'acier magique, rigide et impitoyable, s'enroula autour de ses jambes, l'empêchant de bouger. Une douleur brûlante parcour
iltrait déjà dans sa chair, comme une mer glacée venant lécher ses os. La f
s. Il n'eut pas le temps de distinguer un visage, mais il la sentit. La présence. Comme une pulsat
lutter. Pas de point d'appui. Pas de
ité impressionnante, elle fit glisser quelque chose sur la chaîne magique qui enserrait ses jambes, une fl
lants sous le choc. Il n'avait même pas eu le temps de se relever qu
ation saccadée. Mais il n'était pas seul. Il pouvait le sentir.
murmure porté par le vent. Un appel. Un n
dan.
igine du son. Personne. Juste le vide.
.. Viens
toucha profondément. Il se redressa d'un coup, se haussant sur ses jambes. Il scr
son esprit. Elle était là, tout autour de lui, da
rquoi cette femme, cette présence mystérieuse, lui avait-elle sauvé la vie sans un mot ? Pourquoi dispara
anière convenable, la réponse arriva, lente, insidieuse.
dan.
ensation de vertige, comme si la voix l
. Il tendit l'oreille, cherchant cette essence qui l'appelait sans re
utes, les minutes des heures.
i c'était elle ou un mirage. Une image floue, distordue. Mais ses yeux étaien
ui.
même ombre qui le hantait depuis son réveil. Mais le masque restait inaltérabl
chaque mouvement, chaque respiration, chaque pensée qu'il avait eue ces der
e. Un éclat de lumière traversa la forêt, frappant son masque, et
tait familière. Comme
ès. *Vient-elle de lui répondre ?* Il n'en était plus sûr. Il n'avait plus d
ut pourrait changer
yeux fixés sur la
i m'as-tu
e ses yeux sembla se raviver. Elle se tourna vers lui une d
eul, sous le c
fle, mais cette fois, il n'y avait
ens.
acé lui parco
sa surface, comme si le temps lui-même avait voulu en effacer les contours. Redan la tourna dans sa paume, ses yeux se plissant s
avait ignorés. La Lune Rouge. Un mythe. Une légende qu'on murmurait dans les tavernes, un avertissement que les aînés s'étaient tou
ar le monde ? Il savait que chaque élément, chaque artefact dans cette forêt possédait son propre poids, son
dans un océan sanguin. L'alignement de la gravure rappelait l'éclipse d'un soleil pourpre, un évén
un mythe. C'était un signe. Un retour. Un réveil. Et tout autour de lui semblait le conduire vers ce seul et mê