Alpha en Exil
intense, les yeux brillants d'une lueur froide et calculatrice. Redan avait cru qu'il savait tout ce qu'il y avai
a horde qui l'avait chassée. Ses traits étaient plus nets maintenant, sa silhouette p
voix basse mais ferme. « Mais tu n'as aucune idée de ce que
éconcerté. « Ce que tu v
. « Ce n'est pas ta survie qui m'intéresse. C'est ton
se redressa brusquement, défiant. « Tu n'as rien à me
plus sûre. « Regarde-toi. Un alpha sans meute. Un roi déchu. Tu ne regagneras jamais ce que tu
erritoire. Son clan l'avait rejeté, et ceux qui l'avaient soutenu étaient soit morts, soit fuyants, r
» demanda-t-il, le ton plus froid, m
Un pacte. Nous avons tous les deux quelque chose
yeux. « Vengean
ceux qui m'ont bannie, réduite au silence, effacée comme si je n'avais jamai
d'araignée tissée de mensonges et de traîtrises, de décisions dévastatrices prises bien avant qu'il ne devienne l'alpha. Elle appartenait à un a
accomplir ça ? » demanda Redan, son ton sce
ner ce que tu as perdu. Mais tu dois m'aider à faire tomber ceux qui m'ont trahie. Nous avons un ennemi commun, Re
dre. Mais s'allier avec elle signifiait aussi accepter une promesse silencieuse, un engagement qu'il n'était pas encore prêt à pr
une part de lui qui n'avait jamais cessé de se battre. Un a
une chose, Lyra. Je n'ai pas l'intention de me soumettre à quoi que ce soit. Et si
C'est exactement ce que j'attends de toi, Redan. Tu es celui qui commandera. Je serai simple
, deux âmes brisées qui se confrontaient, prête
as à offrir. Mais souviens-toi, Lyra. Chaque action a un prix. Et je ne prendra
se. Ils étaient liés maintenant, d'une manière qu'aucun d'eux ne comprenait encore pleinement. Mais ce pac
enir semblait flou, incertain, mais une chose était cla
ension palpable, une énergie frémissante, presque électrique. Lyra, de son côté, semblait à la fois prête et résolue. Les mots qu'elle avait prononcé
-t-il, la voix rauque, trah
précis, elle leva la main, la paume ouverte. Ses doigts frémirent avant de se fermer brusquement. Redan sentit une pression
ercèrent la peau de Redan, un instant de douleur fulgurante, avant que la chaleur du lien ne se manifeste. Le poison de la morsure coucha une vague de frissons glacés dans s
ouger, il sentit ses propres dents se rapprocher d'elle, comme une force irrépressible. Il la saisit par le bras, et dans un mouv
qu'il avait connu. Leurs âmes se percutèrent, se frôlèrent, fusionnèrent. Un tourbillon de lumière, de feu et de glace. Le
'est-ce que tu m'as fait ? » demand
s le regard. « Rien que ce que tu voulais, R