icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon

Qu'est-ce que Dieu avait mis dedans ?

Chapitre 4 L'inquiétude du roi

Nombre de mots : 2707    |    Mis à jour : 29/04/2025

n souffle. Le soleil, pourtant haut dans le ciel, n'arrivait pas à dissiper la froideur étrange qui e

ls. Ce matin-là, il n'entendit pas le bruit habituel de leurs jeux ni leurs rires qui résonnaient dans le

, l'aîné, qui était toujours le premier à se lever, ne bougeait pas. Il était allongé sur le dos, ses yeux encore fermés, à côté de son frère, Jérémie, qui lui aussi semblait ano

sages des princes étaient marqués par une pâleur inhabituelle. Leurs joues, habituellement pleines de fraîc

irs viraient au rouge sous la fièvre. Leurs lèvres étaient sèches et fissurées, leur respir

nvahit immédiatement sa paume, bien au-delà de ce qu'il avait ressenti lors d'une simple fièvre. Il s'affola en touchant aussi Jérémie, et il comprit que

ls, étaient malades d'une manière qu'il n'avait jamais vue. Cette maladie ne ressemblait à rien qu'il avait connu. Il n'y avait p

onscience, ouvrit les yeux et fixa son

est-ce qui...

estion qui s'échappait de ses lèvres déchirait l'âme de Mukeng

d'une voix douce mais remplie de paniq

ort qu'il avait l'impression qu'il allait se briser sous la pression. Sans un mot de plus, il se précipita v

ns croisées dans son dos. Lorsqu'il aperçut le roi courir vers lui, son

que se pa

enfants sont malades, gravement mal

dans un tel état. Il suivit Mukengwa jusqu'à la chambre des princes, sans pos

rcit en un instant alors qu'il touchait leur front, leur peau, leur corps

.. mais je n'en ai jamais vu d'aussi sévère dans notre royaume. Cette maladi

rifié, se tou

s-nous fair

es montagnes. Il y a un remède ancien, un traitement que les guérisseurs des ancêtres utilisaient, mais il faut

rna vers ses fils, décidant alors de ne pas leur laisser entendre l'urgence de la situation. Ils ne comprenaient pas

enfants. Je vous le promets. N

osi n'était pas assez rapide, s'il n'avait pas assez de temps... Muke

venait d'arriver. Mukengwa se figea un instant. Kafuma, qui était aussi l'un des sages les plus respectés du royaume, s'était montré discret après l'incident de la jeune fille trouvée sur la

Sans un mot, il se dirigea vers la chambre des princes, suivi par Mukengwa, Kashosi et quelques gardes. En voyant les enfants alités, visiblement souffrants, Kafuma posa un reg

rire serein contrastant avec la panique p

n danger. Ce qu'ils ont est une forme de contamination, mais c'est pas

ésemparé mais accrochant

d'elle... avant qu'elle ne décède. Mais... Mais

re apaisante, conscien

, généralement après une exposition à la personne malade. Mais comme vous avez constaté, le mal est apparu tôt, ce qui est une bonne chose. Cela veut dir

qui l'étouffait se relâcha légèrement, bien que l'incertitude demeurâ

ne... Vous

quiesça l

vais surveiller leur état de près. Mais il est crucial qu'ils restent à l'écart des autres, surtout des enfants et

il y avait encore une lueur de vie dans leurs yeux. Il était soulagé, mais les doutes pers

r les plantes dont Kafuma a besoin. Il

sans un mot, il quit

rinces, touchant leurs

essant. Je vais m'occuper de tout. Laissez-moi faire. Vous

s, les dernières paroles de Kafuma, l'image de Mariamu qui semblait encore vivante dans chaque coin du palais, to

vez à faire, Kafuma. V

gardes, afin que les princes soient transportés dans un lieu calme et isolé, p

gwa, une inquiétude persistait. Il savait que les remèdes étaient importants, mais que chaque instant qui passait sans voir une amélioration serait un

ana, se trouvait plongé dans une angoisse profonde, un tourment qu'il n'avait jamais ressenti avec autant d'intensité. La situation de ses enfants

marquée par une inquiétude constante, son regard se perdant souvent dans le vide, comme si elle aussi était à la recherche de rép

profondeur de ses tourments. Il chercha ses mots, mais ils semblaient coincés dans sa gorge.

à nos fils... Si cette maladie venait à l

n qui maintenait l'équilibre du royaume. Les princes étaient leurs héritiers, et sans eux, le royaume risquait de sombrer dans une incertitude danger

ait en déclin. Il avait déjà plus de sagesse que d'années devant lui, et la crainte que la maladi

it que des questions sans réponse. Que deviendrait le royaume, ce havre qu'il avait constru

'était pas juste le présent qui était en jeu, mais aussi l'avenir, celui de ses enfants, de leur héritage, de leur royaume

pondre, sa voix calme mais empreinte de la for

re le temps d'apprendre, de grandir, de devenir les rois qu'ils doivent être. Nous avons

penchant légèrement pour

our ou l'autre. Mais je crois en nos ancêtres, et en la sagesse des dieux. Si cette épreuve est plus

ssentait une profonde déchirure intérieure, comme si la part de lui qui était père, et non roi, se battait contre son devoir de souverain. La royauté, les responsabilités, les

a femme, une lueur de résignation et

es. Ils ne connaissent pas encore toutes les responsabilités qu'impose le royaume. Et moi... moi, je suis fatig

uiconque, s'approcha et posa ses mains sur ses

r prendre la relève. Nous devons croire en eux, en leur force. Ne laisse pas la peur obscurcir ton esprit. Notre royaume

ainte ne le quittait pas. Mais en elle, il voyait une force tranquille qui lui apportait une ce

fonde inquiétude. Mais je ne peux m'empêcher de me demander ce qu'il advi

finie. Elle savait que les épreuves étaient loin d'être terminées, mais elle c

nt sur nous, et l'amour que nous avons pour notre peuple

avait aussi compris que la peur ne ferait que le ralentir. Il fallait agir, pour ses fils, pour le royaume,

Bonus à réclamer dans l'application

Ouvrir