Qu'est-ce que Dieu avait mis dedans ?

l avait ressenti le besoin de se rendre là-bas seul, de voir de ses propres yeux l'état de ses fils, de sentir de ses propres mains si leur santé était véritablement restaurée. Les no

e le roi approchait de la porte de Kafuma, il s'arrêta un instant. Ses yeux se posèrent sur la scène devant lui : ses fils, Jérôme et Jérémie, étaient en train de jouer d

'eux, un sourire discret mais serein sur son visage, observant les garçons avec une douceur qui contrastait avec la gravité de leur rencontre. Sa santé semblait être revenue à la normale, presque comme si

nt précipitamment, leurs yeux brillants d'une lueur de joie mêlée de soulagement. Jérôme, l'aî

ses bras, suivit de près par Jérémie, qu

cette fierté paternelle qu'il n'avait pas ressentie depuis les événements difficiles. I

ris ? demanda-t-il, sa voix un pe

répondit Jérémie, un large sourire sur le v

son visage serein, enfin débarras

urer qu'ils disaient bien la vérité. Leur énergie retrouvé

se posant sur la jeune inconnue qui se tenait e

s se tournèrent presque simultanément vers

a l'a aussi soignée. Elle a dit qu'elle n'avai

Elle avait retrouvé une certaine tranquillité, mais quelque chose dans son regard, une lueur furtive, laissait entendre qu'el

'inclinant légèrement en sig

douce, empreinte de gratitude mais aussi d'une étrange

une ombre, un mystère, et maintenant qu'elle était présente devant lui, il ne pouvait s'empêcher de se demander qui elle était réellement. Mais il n'eut pas le temps de poser dav

t-il à la jeune fille, sa v

i était resté en retrait, observant

j'aimerais en savoir plus sur cette jeune fille. D'où vient-e

n moment de silence, h

expliquer. Mais ce qui est certain, c'est que son arrivée ici n'est pas un simple hasar

ue chose. Cependant, il n'eut pas le temps de questionner davantage, car ses fils, déjà tournés vers

aume avait encore des épreuves à traverser, mais aujourd'hui, il pouvait apprécier ce m

it que tout finirait par s'éclaircir, que tout

evait quelque chose que le roi ne pouvait voir. Ses mains étaient pleines de sagesse, mais aussi d'une étrange réserve. Il

réponses plus claires, mais Kafuma demeura impassible. Il

raversé des ténèbres, des épreuves qui n'ont pas encore été révélées. Peut-être est-ce mieux ainsi, car certains secrets sont trop lourds à porter, même pour ceux qui che

vait quelque chose de plus derrière ce mystère, mais il n'était pas sûr de vouloir le savoir t

r. La dernière dose de remède qu'ils prendront demain les rétablira complètement. Il leur reste juste un peu de temps pour se re

isse, il allait retrouver la paix. Ses fils, ces précieux héritiers, seraient à nouveau en pleine santé. Ils pourraient repr

-il avec sincérité, un poids soudainement levé de ses épa

des zones d'ombre qu'il ne pouvait pas éclaircir pour lui. Il se tourna ensuite vers la jeune fille, toujours l

qu'elle retrouve sa mémoire, mais je suis certain qu'elle s'en sortira. Il faudra lui donner de l'es

ranchise, mais également plus perturbé que jamais par la présence de cette jeune fille. Qui étai

it comprendre : ses enfants étaient guéris, et ils seraient bientôt prêts à revenir au palais

ureux et pleins d'énergie, étaient de nouveau des enfants en bonne santé, riant

mes chers, dit-il tendrement. Mais je

mière fois depuis des jours, une vraie tranquillité d'e

bien maintenant, répondit Jérémie

galement, les yeux brillants de

en qu'elle n'eût pas encore parlé de sa propre histoire, le roi la regarda longuement. Une question

légèrement

dans trois jours

'elle seule pouvait comprendre. Le roi se détourna, ses fils à ses côtés, pour faire demi-tou

partie de lui savait que la paix retrouvée n'était que temporaire. Il y avait toujours des mystères

ait que sa femme, la reine Mwabana, l'attendait avec impatience. Depuis le début de la maladie de leurs enfants, elle vi

es mains jointes sur ses genoux, le regard perdu dans le vide. Lorsqu'elle aperç

Dis-moi, comm

ante sur son épaule et lui

leine convalescence, et selon Kafuma, ils se

ses yeux s'embuèrent légèrement. Elle plaça une main sur sa poitrin

d'une voix tremblante. J'avais si pe

geait lui aussi. Il prit doucement la mai

ter forts. Ils sont entre de bonnes mains. Kafuma veille

d'un revers de main les larm

elle dans un souffle. Troi

engwa passa un bras autour d'elle et la laissa se calmer contre lui. Pendant un long mo

tête et plongea son rega

ille ? demanda-

aussi inquiète qu'elle fût pour leurs fils, n'avait pas oublié

lle parle désormais, mais elle ne se sou

cha la têt

va-t-on fa

lencieux un insta

a. Il continue de veiller sur elle et esp

nse, bien qu'une lueur de préoccupa

alement. Nous verrons ce

re terminée, mais pour ce soir, il voulait simplement savourer la

our du palais. Ils restèrent là, à contempler la nuit tombante, unis par un même espoir : celui de vo