Les cœurs séparés
: Le murmur
aluaient d'un sourire quand il passait avec ses seaux d'eau, les enfants lui couraient après, criant "Ibrahim, Ibrahim !" et l
er sur lui, curieux, lourds, presque soupçonneux. Certains anciens avai
l, un vieillard s'approcha de lui. Vêtu d'un boubou blanc, le dos
qui n'a pas grandi avec la
arrêta,
de mon m
cha lenteme
ouper du bois pour être des nôtres. Tu p
pas. Kalil s'élo
is le doyen du village. Et j
procha
és de liberté, mais aussi l'arrogance de ceux qui ont gran
a so
a Konaté, fils du r
ilencieux, puis s'assit
a fui. Et il est ici, dans notre vi
enouilla d
espirer. Pour être moi. Et si je dois partir d'
e regarda
. Mais sache que ton passé finira p
sur son épaule, et s'élo
-
silencieux que d'habitude. Il triturait s
u'il y a ? de
le village co
ton ide
x Tierno m'a p
la tête, s
voient ton cœur, ils te jugeront sur ce
Tu me jug
doute. Mais qui ess
rs elle, touché
é au palais. Là-bas, tout est apparence. Ici, je
urit do
c'est ça, aimer.
retomba. Do
, presque à
andé ce que je re
'as-tu
ncore. Mais que je sui
son cœur batt
couvrir ça avec toi. L
. Une chaleur discrète. Mais un mo
-
ert de poussière. Il ne connaissait pas Adama personnellement, mais il portait une annonc
ilence. Puis il ré
rince ici. Seulemen
vent c
s avait atteint les
avait que son calme