Les cœurs séparés
n de AT
prince et le s
aient les feuillages des palmiers, caressant les toits de chaume et réveillant les
epas du jour. Les gardes en uniforme prenaient leur poste, droits et silencieux. Et tout au sommet de cette hiérarchie tra
, c'éta
courageux, qu'il avait le regard franc et le cœur tendre. Mais on disait aussi qu'il rêvait trop. Qu'il passait trop de temps seul
oser des questions était parfois p
rodé d'or, ses cheveux soigneusement coiffés, ses sandales bien ajustées. Tout en lui respir
t de ses pensées. C'était Sory, son servit
oi vous attend dan
hocha
jà de mauva
ais... i
dit Adama avec u
ition. Les regards qui se baissaient sur son passage, les murmures étouffés, les gestes de re
ntre, sur une estrade, trônait son père, droit comme une lance, vêtu d'un tissu noir et or. À ses côtés, la reine Kadid
a et s'inclin
re.
t le roi, sans mê
a ob
a le roi. Il est temps p
qui suivi
les yeux. Il s'attend
? Pourquoi
le doit voir en toi un homme responsable, prêt à gouve
st moi qui
nfin. Son regard ét
chef de Dambala. C'est une alliance str
lle était belle, instruite, respectueuse. Mais il ne l'aim
tégie. Je veux épouser celle que j'aimerai. Q
leva bru
Adama. La couronne n'a que faire de tes poèmes et de
cement sa main su
u moins le tem
oi secoua
ge aura lieu dans un mois. Et c'es
leva à
s je r
tonnerre. Sory, resté en retrait, écarquilla le
? répéta-t-
déplace sur un échiquier. Je suis
nça vers lui
m et que tu respires grâce à mon royaume... tu n'es
. Il savait qu'il allait trop loi
s je p
salle. Même les tambours du de
r pour rester moi-même...
erte, incapable de croire
s larmes aux y
s'il te
rné les talons. Il sortit de la sal
pas encore
pour sauver ce qu'il avait